Logo Et voila le travail header

Travailler en Nouvelle-Zélande

 alt=

Grâce à son cadre de vie agréable, la Nouvelle-Zélande séduit énormément d’expatriés et de voyageurs. Elle apparaît désormais comme une destination de rêve et de refuge aux yeux de tous. Au-delà de sa nature, elle offre un véritable équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Pour travailler en Nouvelle-Zélande, il faut effectuer des démarches administratives et réaliser certaines étapes indispensables.

Travailler en Nouvelle-Zélande

Pourquoi travailler en Nouvelle-Zélande ?

La Nouvelle-Zélande parvient facilement à répondre aux besoins et aux attentes de nombreux expatriés. Selon l’enquête d’HSBC, elle fait partie des 5 pays les plus attractifs du monde. Elle présente une qualité de vie remarquable et accorde beaucoup d’importance à la vie familiale et au développement personnel. Elle possède aussi l’un des marchés économiques les plus dynamiques et les plus stables au monde. 

Malgré la crise du COVID-19, elle se place toujours au 4ème rang des pays développés dotés d’une croissance économique rapide. S’expatrier en Nouvelle-Zélande permet également de profiter de belles opportunités d’emploi dans de nombreux secteurs d’activités très attrayants. De plus, le taux de chômage y est très bas (inférieur à 5 %). 

Par ailleurs, les Kiwis ou les Néo-Zélandais sont réputés décontractés et sympathiques. Ils savent parfaitement ce qu’implique le fait d’intégrer un nouveau monde. Leur accueil chaleureux constitue un atout considérable pour ce pays où il fait bon vivre. Partir travailler en Nouvelle-Zélande offre aussi de véritables opportunités entrepreneuriales. En moins d’une journée, il est possible d’y fonder son propre business avec le minimum de démarches nécessaires. 

Quelles sont les formalités nécessaires pour travailler en Nouvelle-Zélande ?

Pour travailler en Nouvelle-Zélande, il est indispensable de réaliser certaines formalités. À part le passeport, il faut un visa de travail. Il en existe 3 types différents dans ce pays : 

  • le skilled migration visa ;
  • le work visa ;
  • le Visa Vacances Travail (VVT). 

Ce dernier est la meilleure option pour ceux qui désirent à la fois travailler et voyager à travers le pays. En revanche, les autres types de visa sont requis pour y rester de façon permanente. 

Il faut également obtenir auprès d’un opérateur un numéro de téléphone néo-zélandais. L’ouverture d’un compte bancaire est aussi une étape importante à réaliser. Les principales banques du pays sont l’ANZ, l’ASB, la KiwiBank, la BNZ et la Westpac.

Vous devez aussi effectuer une demande d’IRD (Inland Revenu Department) via le site du gouvernement. Il s’agit d’un numéro vous permettant d’y payer facilement vos impôts. Avoir un CV en Anglais est également plus que conseillé pour décrocher rapidement un emploi en Nouvelle-Zélande. 

Quelles sont les conditions de travail en Nouvelle-Zélande ?

Travailler en Nouvelle-Zélande permet particulièrement de concilier vie personnelle et professionnelle. Tous les employeurs sont tenus d’offrir à leurs salariés soit un contrat d’emploi individuel, soit un contrat collectif. Celui-ci comprend bien entendu des congés rémunérés. 

La Nouvelle-Zélande applique une durée de travail de 40 heures par semaine pour un emploi à plein temps. Dans ce dernier cas, vous avez droit annuellement à quatre semaines de congés payés.  En Nouvelle-Zélande, la période de vacances principale se situe entre la mi-décembre et la mi-janvier. 

Le pays respecte aussi un minimum de base pour les pauses. Si vous travaillez uniquement entre 2 à 4 heures dans la journée, vous aurez droit à 10 min rémunérées. Entre 6 à 8 heures de travail, vous aurez droit à 30 min de pause déjeuner et 20 min rémunérées. 

Depuis le début de cette année, le salaire brut minimum est fixé à 21,20 $ par heure. Pour les emplois à temps plein, il est souvent affiché sur une base annuelle. 

Quels sont les secteurs d’activités qui recrutent en Nouvelle Zélande ?

La Nouvelle-Zélande offre un environnement économique très favorable. Elle connaît, en effet, une véritable situation de quasi-plein emploi. Tout comme la plupart des pays, le domaine des services occupe une grande place dans l’économie nationale. Lié intrinsèquement à l’hôtellerie et la restauration, le tourisme en fait notamment partie. 

Le secteur de l’agriculture et de l’industrie forestière représente aussi de véritables piliers pour le pays. Ils recrutent aussi bien des profils peu qualifiés que des profils qualifiés. Environ 15 % des ouvriers agricoles sont, par exemple, des étrangers. 

Comme dans la majorité des pays développés, le domaine des technologies recrute également plutôt bien. Il prévoit de grandes perspectives de croissance dans le monde du travail. Le pays recherche particulièrement des ingénieurs réseaux, des développeurs, des programmeurs, des spécialistes en sécurité informatique, des administrateurs système, etc. 

Les secteurs de la finance, du marketing et du commerce offrent aussi plusieurs opportunités d’emploi à ceux qui maîtrisent l’Anglais. Les domaines de la santé, de la construction, de l’ingénierie et de l’exploitation pétrolière embauchent également beaucoup en Nouvelle-Zélande. 

Comment trouver un emploi en Nouvelle-Zélande ?

Pour travailler en Nouvelle-Zélande, de nombreuses options s’offrent à vous. Que vous souhaitiez postuler sur place ou avant votre arrivée, vous pouvez entamer vos recherches en consultant quelques sites. « Seek », « TradeMe », et « Indeed » sont les plateformes les plus populaires dans ce pays. Vous pouvez y trouver de nombreuses offres d’emploi dans tous les secteurs. 

Si vous recherchez du travail dans un domaine particulier, la meilleure alternative reste de contacter un cabinet de recrutement spécialisé. Pour cela, vous devez uniquement vous présenter et lui envoyer une copie de votre curriculum vitae. Les employeurs néo-zélandais font surtout appel à des agences d’embauche pour trouver des candidats qualifiés pour des fonctions spécialisées. 

Si vous séjournez dans un hôtel ou dans une auberge, vous pouvez également échanger avec le personnel pour vous conseiller. Les journaux locaux comme Dominion Post, New Zealand Herald et Education Gazette postent aussi régulièrement de nombreuses offres d’emploi. Dans vos démarches pour trouver un emploi en Nouvelle-Zélande, faites attention aux nombreuses arnaques. 

Quels sont les types d’emploi en Nouvelle-Zélande ?

En Nouvelle-Zélande, il existe 4 types d’emplois : 

  • Le full time job. Il s’agit d’emploi à temps plein. Il correspond à 40 heures de travail par semaine basé sur des horaires fixes. 
  • Le part time job ou emploi à temps partiel. C’est la meilleure solution si vous désirez à la fois travailler et profiter du pays. Ce type d’emploi permet d’exercer plusieurs emplois en même temps. 
  • Le contract job ou le temporary job. Ce type d’emploi s’apparente souvent davantage à des missions. Il peut durer quelques semaines ou quelques mois. La plupart du temps, il s’agit de métiers ou de missions proposés par les agences de placement ou des emplois de saisonniers. 
  • Le casual job ou vacation. Ce type de contrat est notamment utilisé dans l’univers de la restauration. Vous êtes contacté uniquement lorsqu’on a besoin de vous. Vos horaires de travail ne sont pas toujours les mêmes. 

Grâce à votre visa, vous pouvez travailler en Nouvelle-Zélande selon ces différents types d’emploi.

Envie de changer de métier ?

Reprenez en main votre projet professionnel avec un bilan de compétences 100% en ligne

Voyage en Australie

Faire un PVT en Nouvelle-Zélande : le guide étape par étape

La Nouvelle-Zélande est un endroit qui, pour beaucoup de gens, évoque le bout du monde des images de collines verdoyantes, de Hobbits et de moutons. Mais le pays ne se résume pas à cela. Il est également facile de trouver des montagnes enneigées, une culture maorie/insulaire intéressante, de belles plages désertes, des geysers, des dauphins, des fjords, un style de vie insulaire décontracté, des oiseaux kiwis rares, des volcans et une quantité surprenante de vaches.

Si vous décidez de vous lancer dans un voyage depuis l’Europe pour vous rendre en Nouvelle-Zélande (et je vous y encourage vivement), pourquoi ne pas y rester un moment en profitant du permis vacances-travail (PVT ou WHV en anglais)? Vous trouverez ci-dessous un guide complet sur le programme vacances-travail (PVT) en Nouvelle-Zélande.

Sommaire : Avant de partir pour votre programme vacances-travail en Nouvelle-Zélande À l’arrivée en Nouvelle-Zélande Trouver un logement en Nouvelle-Zélande Travailler en Nouvelle-Zélande Se déplacer pendant vos vacances-travail en Nouvelle-Zélande PVT en Nouvelle-Zélande : Questions fréquemment posées

Avant de partir pour votre programme vacances-travail en Nouvelle-Zélande

Heureusement, vous n’avez pas besoin de faire grand-chose pour préparer votre PVT en Nouvelle-Zélande. Si vous préférez être spontané, la Nouvelle-Zélande est un excellent choix pour faire un PVT .

Voici cependant ce que vous devez savoir avant de partir en PVT en Nouvelle-Zélande:

Comment obtenir son visa PVT pour la Nouvelle-Zélande ?

Si vous avez la chance d’être citoyen d’un des pays participants (le Canada, de nombreux pays de l’UE comme la France, les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres), vous pouvez obtenir un visa vacances-travail (WHV) d’un an, facilement disponible sur le site Internet du gouvernement néo-zélandais consacré à l’immigration .

Quand je dis « facilement disponible », je veux dire que pour la plupart des pays, le nombre de places est illimité (pas de quota) et que vous pouvez faire votre demande à tout moment de l’année. La demande est en ligne, simple à remplir et le délai de traitement est de 48 heures seulement pour la plupart des demandeurs !

Les conditions de la demande de visa vacances-travail indiquent généralement (cela varie selon la nationalité) que vous devez:

  • être âgé de plus de 18 ans et moins de 30 ans (bien que certains programmes autorisent les personnes jusqu’à 35 ans)
  • disposer d’un casier judiciaire vierge
  • avoir un passeport valide pour une période de 3 mois au-delà de la durée du visa que vous demandez
  • être de bonne moralité et en bonne santé
  • disposer d’une preuve de ressources financières (pour subvenir à vos besoins) à présenter à votre arrivée.
  • avoir la preuve d’un vol de continuation depuis la Nouvelle-Zélande ou disposer de suffisamment de fonds pour en payer un.
  • n’avoir jamais participé au programme vacances-travail pour la Nouvelle-Zélande auparavant.

Notez que les demandeurs de PVT n’ont pas besoin d’un emploi réservé en Nouvelle-Zélande.

Comment obtenir un visa vacances-travail de 23 mois en Nouvelle-Zélande ?

Les citoyens britanniques et les Canadiens peuvent choisir un visa de 12 mois ou de 23 mois au moment de la demande. Pour le visa de 23 mois, vous devrez obtenir un certificat médical/de radiographie.

Si vous choisissez l’option du visa de 12 mois et qu’une fois en Nouvelle-Zélande vous souhaitez rester plus longtemps, vous pouvez demander une prolongation si votre premier visa est toujours valide. Vous devrez toujours obtenir un certificat médical/de radiographie. Même avec la prolongation, sachez que vous ne pouvez travailler que pendant 12 mois.

Si votre demande est approuvée, vous recevrez une lettre de visa Vacances-Travail pour la Nouvelle-Zélande.

Pour les français la durée proposée n’est que de 12 mois.

Faut il souscrire à une Assurance voyage pour faire un PVT en Nouvelle-Zélande ?

Il est obligatoire de souscrire une assurance voyage pour faire un PVT en Nouvelle-Zélande (y compris une couverture médicale). Le gouvernement néo-zélandais déclare que les participants aux vacances-travail doivent « maintenir leur assurance médicale pendant leur séjour en Nouvelle-Zélande ».

Il ajoute que « nous pouvons demander à voir la preuve que vous êtes assuré lorsque vous arrivez en Nouvelle-Zélande ». Si vous arrivez en Nouvelle-Zélande sans assurance voyage, vous risquez de ne pas recevoir votre Working Holiday Visa (WHV) .

Ce ne sont pas les seules raisons de souscrire à une assurance voyage pour votre PVT en Nouvelle-Zélande. Même s’il y a peu de chances que quelque chose de malheureux se produise pendant votre voyage, mieux prévenir que guérir.

12 mois, c’est très long pour être loin de chez soi. Personnellement, je ne voyage jamais sans assurance voyage.

Quelle somme d’argent dois je avoir pour faire un PVT en Nouvelle-Zélande?

Comme indiqué précédemment, vous devrez disposer d’une somme d’argent sur votre compte bancaire afin de prouver aux autorités néo-zélandaises chargées de l’immigration que vous pourrez subvenir à vos besoins pendant votre recherche d’emploi une fois dans le pays.

Le montant dépend de votre pays. Reportez-vous au site Web de l’immigration pour connaître le montant exact. Pour prouver ce montant aux autorités néo-zélandaises, vous devrez montrer un relevé bancaire récent.

Où se loger en Nouvelle-Zélande pendant votre PVT?

Il est bon de réserver au moins quelques jours (quatre ou cinq nuits est l’idéal) d’hébergement pour votre arrivée en Nouvelle-Zélande. Pour beaucoup de personnes, il s’agira d’un lit/chambre d’auberge, d’un hôtel ou d’Airbnb

Si vous prévoyez de séjourner dans l’une des principales villes de Nouvelle-Zélande, il est préférable de réserver pour une semaine ou deux afin d’avoir le temps de chercher un logement à long terme.

Vous cherchez à réserver un séjour à Auckland ? voici quelques options :

  • Metro Adventurer Backpackers – Super emplacement central.
  • City Lodge Backpackers Accommodation – Bon rapport qualité-prix pour les couples.
  • Hobson Lodge – Très bien noté sur Booking.com

Quand rechercher un emploi en Nouvelle-Zélande?

Vous envisagez peut-être d’essayer de trouver du travail avant même d’arriver en Nouvelle-Zélande. Oui, c’est possible, mais je vous le déconseille car vous risquer de perdre votre temps. Le type de travail disponible pour les personnes en WHV en Nouvelle-Zélande est, dans l’ensemble, occasionnel.

La plupart de ces employeurs recherchent une aide immédiate et les centaines de voyageurs présents en Nouvelle-Zélande à tout moment sont en mesure de satisfaire cette demande.

Vous pouvez toujours essayer de nouer quelques contacts avant de quitter votre pays d’origine, mais il est peu probable qu’un employeur typique de routards attende que vous ayez parcouru des milliers de kilomètres pour arriver en Nouvelle-Zélande. Après tout, dans le pire des cas, vous pourriez vous dégonfler à la dernière minute ou être rejeté par l’immigration.

Il existe quelques exceptions, comme le placement au pair. Souvent, ces postes sont annoncés à l’avance afin que les parents puissent s’assurer qu’ils choisissent la personne parfaite pour s’occuper de leur(s) enfant(s).

Il y a cependant certaines choses que vous pouvez faire concernant le travail avant de partir :

  • Réécrivez votre CV . Les CV sont toujours un peu différents d’un pays à l’autre, alors assurez-vous que le vôtre a un format et un style similaires à ceux de la Nouvelle-Zélande. Enregistrez votre CV sur une clé USB ou sur Google Drive, afin de pouvoir facilement le mettre à jour et l’imprimer si nécessaire en Nouvelle-Zélande.
  • Assurez-vous que votre téléphone est déverrouillé . Si vous déverrouillez votre téléphone chez vous pour pouvoir utiliser une carte sim néo-zélandaise après votre arrivée, vous gagnerez du temps par la suite. Un numéro de téléphone portable local est important pour trouver du travail.

À l’arrivée en Nouvelle-Zélande

Votre demande de visa vacances-travail (WHV) a été approuvée après un long vol . Bienvenue en Nouvelle-Zélande ! Passer par l’immigration est la première étape incontournable de votre PVT Nouvelle-Zélande.

Passer l’immigration en Nouvelle-Zélande

  • Préparez votre passeport, l’impression de la confirmation du visa et la preuve de vos fonds (un relevé bancaire récent) pour les montrer à l’agent d’immigration à votre arrivée.
  • Il se peut qu’on ne vous demande aucun de ces documents en dehors de votre passeport, mais vous en avez absolument besoin.
  • Si tout va bien, vous recevrez un tampon dans votre passeport indiquant que vous êtes légalement autorisé à travailler en Nouvelle-Zélande jusqu’à l’expiration de votre visa.

CONSEIL – La Nouvelle-Zélande a des règles très strictes concernant les objets qui peuvent être apportés dans le pays. Il est illégal, par exemple, d’apporter la plupart des types de nourriture. Cela inclut des choses comme le fromage et les fruits. Ne prenez pas de risque !

Maintenant, vous êtes probablement arrivé à Auckland, Wellington ou Christchurch. Dans un cas comme dans l’autre, vous vous trouvez dans une ville offrant toutes les commodités dont vous aurez besoin pour commencer votre PVT en Nouvelle-Zélande.

Deux choses dont vous avez besoin et que vous devriez essayer de régler peu après votre arrivée dans le pays :

1. Ouvrir un compte bancaire

Il est essentiel d’avoir un compte bancaire si vous prévoyez de gagner de l’argent pendant votre séjour PVT en Nouvelle-Zélande .

Non seulement il est nécessaire pour obtenir votre numéro IRD (voir ci-dessous), mais il est également utile pour les dépenses quotidiennes car de nombreuses cartes de débit/crédit entraînent des frais élevés lorsqu’elles sont utilisées à l’étranger.

La plupart des cartes bancaires en Nouvelle-Zélande peuvent être utilisées comme des cartes de débit pour payer des marchandises en utilisant le système EFTPOS. J’ai ouvert un compte de base gratuit auprès de la Bank of New Zealand.

J’ai fourni :

  • Mon passeport
  • Un justificatif de domicile
  • Un petit dépôt

Certaines banques facturent des frais mensuels pour leur utilisation. Il semble courant que des frais soient facturés si vous retirez de l’argent à des distributeurs automatiques qui n’appartiennent pas à votre banque.

2. Obtenir un Numéro IRD

Un numéro IRD (Inland Revenue Department) est un identifiant que les travailleurs doivent avoir pour gagner de l’argent en Nouvelle-Zélande. Si vous n’avez pas d’IRD, vous devrez automatiquement payer 45 % d’impôts sur le revenu sur votre salaire.

Depuis 2017, il est possible de demander votre IRD en ligne sur le site de l’Inland Revenue . Cette demande ne peut être effectuée qu’après votre arrivée en Nouvelle-Zélande. Vous aurez besoin de :

  • Les informations relatives à votre passeport
  • Numéro de demande néo-zélandais (figurant sur la lettre de visa)
  • Dernier numéro d’identification fiscale à l’étranger (si vous en avez un)
  • Preuve de l’existence d’un compte bancaire en Nouvelle-Zélande (relevé bancaire indiquant le nom, le numéro de compte et le cachet de la banque).

En ce qui concerne les impôts et les revenus, saviez-vous que vous pouviez avoir droit à un remboursement si vous remplissiez une déclaration d’impôts en Nouvelle-Zélande (ou après votre départ)?

L’une des façons les plus rapides et les plus simples de le faire est d’ utiliser Taxback.com . Le remboursement moyen de leur déclaration d’impôts pour les participants aux vacances-travail en Nouvelle-Zélande est de 500 $.

Transférer de l’argent vers la Nouvelle-Zélande

Il existe une douzaine de méthodes différentes pour accéder à l’argent à travers le monde. En voici quelques exemples:

  • le virement bancaire
  • Cartes de devises prépayées

La façon la plus simple et la plus rentable d’utiliser votre argent depuis votre pays est de l’envoyer en Nouvelle-Zélande via un service spécialisé de transfert d’argent en ligne.

Ces services fonctionnent selon un système de pair à pair dans lequel le site Web hôte ne transfère pas directement l’argent au-delà des frontières, mais réachemine les paiements entre les personnes des pays correspondants. Je recommande :

  • Wise : les frais correspondent à un petit pourcentage du montant à transférer. J’ai utilisé Wise (anciennement transferwise) régulièrement et le transfert entre comptes prend généralement 48 heures. Un transfert à prix réduit (ou gratuit) avec ce lien .
  • CurrencyFair – Frais de transfert fixes de 3 euros et frais de service de 0 à 0,5 % (montant total du transfert). Le premier transfert est gratuit.

Pour ces deux services, les frais sont inférieurs à ceux de toute autre méthode et le taux de change correspond au « taux moyen du marché », c’est-à-dire celui des sites Web de devises en direct comme XE.

Chaque site est également franc en ce qui concerne les frais applicables et le taux de change. En fonction du montant que vous transférez, l’un d’eux peut offrir une meilleure offre que l’autre.

Trouver un logement en Nouvelle-Zélande

L’endroit où vous choisissez de loger dépend entièrement du budget dont vous disposez et de votre plan personnel pour vos vacances-travail en Nouvelle-Zélande.

La vie en auberge de jeunesse en Nouvelle-Zélande

Les auberges sont la forme d’hébergement la plus courante pour les voyageurs en Nouvelle-Zélande. Elles proposent généralement des chambres privées ou partagées avec des salles de bains communes ou privatives. Il y a généralement une cuisine et un espace de vie communs.

Certaines auberges sont beaucoup plus grandes, propres, bruyantes et uniques que d’autres, mais dans l’ensemble, vous trouverez un endroit où dormir pour environ 25-35 $ par nuit, en fonction de divers facteurs, notamment l’emplacement et les installations. Certaines auberges proposent un petit-déjeuner et des bars, d’autres des bains à remous ou des spas.

Parmi les meilleures auberges de jeunesse où j’ai séjourné en Nouvelle-Zélande, citons

  • Hopewell Lodge , Marlborough Sounds
  • Te Nikau Retreat , Punakaiki
  • Lakefront Lodge Backpackers , Lac Tekapo

Choisir son auberge de jeunesse (backpackers)

Il y a des centaines d’auberges dans toute la Nouvelle-Zélande, la plupart dans les villes, mais beaucoup au milieu de nulle part, dans des endroits inattendus. Certaines sont indépendantes, d’autres font partie d’une chaîne comme Base.

Nerveux à l’idée de séjourner dans une auberge de jeunesse ?

Si vous n’avez jamais séjourné dans une auberge de jeunesse, partager votre chambre et des installations ne vous attire probablement pas . Pourtant, les auberges de jeunesse sont le meilleur moyen de rencontrer des voyageurs de tous âges, de toutes nationalités et de tous horizons…. C’est aussi l’endroit le moins cher pour un séjour temporaire, et de loin !

Dans votre première auberge à Auckland, Wellington ou Christchurch, beaucoup de gens seront dans la même situation que vous : ils viennent d’arriver en Nouvelle-Zélande et sont à la recherche d’un travail ou d’un voyage.

D’autres seront à mi-chemin de leur voyage, ou tout à fait à la fin. Quoi qu’il en soit, vous pourrez vous faire des amis et obtenir des conseils de personnes qui sont, ou ont été, dans une situation similaire à la vôtre.

Autres possibilités d’hébergement temporaire pour des vacances-travail en Nouvelle-Zélande

Airbnb est une alternative aux auberges de jeunesse. Airbnb vous permet de louer une chambre ou un lieu entier dans des endroits populaires ou inhabituels dans toute la Nouvelle-Zélande. Les prix peuvent être très raisonnables par rapport aux auberges pour les couples ou les groupes de voyageurs.

Les voyageurs disposant d’un budget plus important peuvent envisager de réserver un hôtel pour y séjourner occasionnellement. Dans ce cas, je vous recommande vivement de rechercher ceux qui disposent d’une kitchenette pour que vous puissiez au moins préparer vos propres repas.

Hébergement long séjour en Nouvelle-Zélande

La plupart des auberges acceptent les voyageurs en long séjour. Certains voyageurs travaillent localement et souhaitent simplement vivre dans l’auberge pour des raisons de commodité et de coût (il est souvent possible de négocier un tarif long séjour moins cher). D’autres décident de rester et de travailler dans l’auberge en échange d’un logement.

Sinon, vous avez la possibilité de trouver un logement privé. Soit par le biais d’annonces privées sur Internet (Trade Me est populaire), soit par le biais d’une agence de location.

Vous pouvez également vous regrouper avec d’autres voyageurs de votre auberge si vous trouvez d’autres personnes désireuses de faire la même chose.

Il est également possible de trouver des emplois avec un logement inclus ou proposé en échange d’un travail. Voir la section « Travail » pour plus d’informations.

Travailler en Nouvelle-Zélande

Il est temps de gagner de l’argent ! La Nouvelle-Zélande dispose d’un marché du travail occasionnel abondant, bien que la disponibilité et le type de travail varient tout au long de l’année.

Quels jobs pour les PVT en Nouvelle-Zélande ?

Les emplois les plus courants pour les voyageurs en Nouvelle-Zélande sont ceux de nature occasionnelle ou dans des secteurs à forte rotation, comme l’hôtellerie, le tourisme et l’agriculture. Bien sûr, il y a des exceptions (des voyageurs décident d’occuper des emplois de bureau dans les villes), mais c’est la tendance générale.

N’oubliez pas que le programme WHV n’offre qu’un visa d’un an (avec possibilité de prolongation pour certaines nationalités), ce qui limite quelque peu votre employabilité.

Une autre chose à garder à l’esprit est ce qu’est réellement le WHV – des vacances-travail. Ces programmes ont été conçus pour permettre aux gens de voyager à long terme dans un pays et de travailler occasionnellement pour compléter leurs budget.

Heureusement, la Nouvelle-Zélande possède d’énormes secteurs du tourisme et de l’agriculture, qui offrent de nombreuses possibilités d’emploi aux voyageurs.

D’après mon expérience, la majorité des vacanciers qui travaillent trouvent du travail dans des bars, des restaurants, des auberges (réception et nettoyage), des stations de ski, des magasins, des bureaux (travail temporaire), dans des fermes (cueillette des fruits et autres travaux manuels) et aussi chez des particuliers en tant qu’au pair.

Où trouver du travail ?

Mes trois meilleures pistes pour trouver du travail sur un WHV en Nouvelle-Zélande sont:

  • Trademe.co.nz
  • Backpacker Board

Vous pouvez également consulter les panneaux d’affichage des auberges de jeunesse, les journaux locaux et les sites Web des entreprises.

Travailler en échange d’un logement

Certains de ces emplois seront rémunérés, d’autres seront en échange d’un hébergement et/ou d’une pension (nourriture). Le travail d’échange n’est pas nécessairement mauvais ; il peut vous permettre de trouver un logement très facilement et rapidement et vous fera très probablement vivre une expérience unique en Nouvelle-Zélande.

L’une des possibilités d’échange de travail les plus courantes est celle des auberges de jeunesse ; beaucoup d’entre elles recherchent des nettoyeurs pour travailler 2/3 heures par jour en échange d’un lit dans un dortoir.

C’est une bonne affaire si vous avez besoin de quelque chose pour vous dépanner pendant que vous cherchez un travail rémunéré à long terme ou si vous ne savez pas quoi faire. L’hébergement représente souvent la plus grosse dépense quotidienne, donc le fait de le supprimer peut vraiment aider votre budget, surtout s’il est proche de la fin de votre voyage et/ou est assez bas !

Le WWOOFing en Nouvelle-Zélande

En parcourant les offres d’emploi, vous verrez peut-être des postes faisant référence à la recherche d’un « WWOOFer ». Les termes WWOOFer et WWOOFing sont utilisés de manière assez vague en Nouvelle-Zélande, mais ils font référence au programme World Wide Opportunities on Organic Farms (parfois appelé plutôt Willing Workers on Organic Farms).

L’idée de faire travailler des personnes pendant un certain nombre d’heures par jour en échange du gîte et du couvert est si répandue que les Kiwis utilisent souvent le terme pour faire de la publicité pour des aides, même s’ils ne font pas partie de l’organisation.

Le programme WWOOF proprement dit exige que vous payiez pour vous inscrire et recevoir les listes d’hôtes. Il convient de noter qu’une « ferme biologique » (un autre terme vague !) peut désigner aussi bien une ferme laitière qu’une retraite de yoga avec un potager biologique.

Quoi qu’il en soit, vous êtes sûr de vivre une expérience unique en Nouvelle-Zélande, où que vous vous trouviez, d’autant plus que de nombreux hôtes mènent ce que l’on pourrait appeler un « mode de vie alternatif ».

Je n’ai jamais participé à un véritable WWOOFing et j’ai entendu de bonnes et de mauvaises histoires. La plupart sont bonnes, mais il est clair que certains hôtes font travailler leurs WWOOFers plus que d’autres.

Fruit picking en Nouvelle-Zélande (Cueillette de fruits)

Si vous n’êtes pas opposé à un travail un peu dur (et sale) et que vous avez besoin d’un peu d’argent, pensez à la cueillette des fruits. Les principales régions de cueillette de fruits sont la Bay of Plenty et Hawke’s Bay sur l’île du Nord et Marlborough sur l’île du Sud.

Il y a de nombreuses auberges dans ces régions qui sont populaires auprès des voyageurs qui travaillent pendant la saison de cueillette. Par conséquent, certaines ressemblent plus à des grandes collocs qu’à des auberges.

Se déplacer pendant vos vacances-travail en Nouvelle-Zélande

L’une des principales raisons pour lesquelles je considère que la Nouvelle-Zélande est une destination idéale pour de nombreux types de voyageurs est la multitude d’options de transport. Que vous décidiez de voyager pendant six mois ou seulement deux semaines pendant vos vacances-travail, il existe un moyen de transport pour vous.

Mieux encore, à moins que vous n’arriviez pendant une période de vacances (décembre/janvier, Pâques) ou un événement sportif, il n’est pas nécessaire de s’y prendre longtemps à l’avance.

Louer une voiture ou un camping-car en Nouvelle-Zélande

Idéal pour les courts séjours en Nouvelle-Zélande.

Avec votre propre moyen de transport, vous pourrez voyager autant que vous le souhaitez et voir exactement les sites qui vous intéressent.

Les règles de location en Nouvelle-Zélande sont assez souples. L’âge minimum pour certaines entreprises est de 18 ans. Il y a cependant quelques règles plus contraignantes. Le conducteur principal doit généralement posséder une carte de crédit. Aussi les jeunes conducteurs (oins de 25 ans) peuvent avoir à payer plus par jour qu’un conducteur plus âgé. Ils auront également un coût de réduction de franchise plus élevé.

N’oubliez pas qu’il existe quelques routes (comme 90 Mile Beach dans le Northland) que la plupart des sociétés de location de voitures ne vous autorisent pas à emprunter.

Ace est la compagnie de location de voitures que je recommande. Jucy, Spaceship et Escape proposent tous d’excellentes locations de camping-cars dans de nombreux endroits en Nouvelle-Zélande.

Acheter une voiture ou un camping-car en Nouvelle-Zélande

Idéal pour les personnes qui souhaitent bénéficier d’une flexibilité maximale pendant leurs PVT en Nouvelle-Zélande.

Envisagez sérieusement cette option si vous visitez la Nouvelle-Zélande pendant trois mois ou plus. Le marché des voitures d’occasion en Nouvelle-Zélande permet d’acheter et de vendre facilement et rapidement une voiture bon marché (moins de 1 000 dollars).

L’assurance automobile n’est pas obligatoire. Mais si vous choisissez d’en souscrire une, les prix sont assez raisonnables.

>> Article à lire : Guide et conseils pour acheter une voiture en Nouvelle-Zélande?

Bus et navettes de Nouvelle-Zélande

Idéal pour voyager entre les villes et les chefs-lieux, visiter les attractions principales , les distances courtes et directes, les routes panoramiques.

Si vous avez simplement besoin de vous rendre d’une ville à une autre pour le travail ou pour rendre visite à un ami, il existe des compagnies de bus et de navettes qui peuvent vous aider pour un coût vraiment raisonnable.

Si vous faites du WWOOFing en Nouvelle-Zélande, ce type de transport vous conviendra particulièrement bien. Bien sûr, vous pouvez aussi voyager en Nouvelle-Zélande pour vos loisirs en utilisant ces moyens de transport, mais votre expérience sera un peu limitée. Je le dis par expérience !

SKIP propose des services de bus bon marché sur l’île du Nord, tandis qu’Atomic Travel exploite des lignes sur l’île du Sud. InterCity est le service de bus national de la Nouvelle-Zélande.

Le transport ferroviaire en Nouvelle-Zélande Le réseau ferroviaire de la Nouvelle-Zélande n’est pas très étendu, mais il y a trois itinéraires principaux qui attirent les visiteurs, principalement pour les paysages environnants plutôt que pour la commodité.

Le TranzAlpine est considéré comme l’un des meilleurs trajets ferroviaires au monde. Il relie Christchurch à Greymouth sur la côte ouest sauvage de l’île du Sud en quatre heures et demie.

Les billets pour le TranzAlpine, le CoastalPacific et l’Overlander sont disponibles auprès de KiwiRail.

Bus Hop-on, hop-off

Idéal pour : Les voyageurs sociaux, les courts voyages intenses, un équilibre entre le voyage indépendant et le voyage organisé, les non-conducteurs.

Ah, l’omniprésence des bus à montée/descente. Ils conviennent parfaitement à ceux qui souhaitent avoir de la compagnie et ne pas être stressés par l’organisation, mais ne veulent pas être dans un bus touristique. Ces bus proposent des itinéraires de sentiers battus sur les deux îles, avec de nombreuses options d’itinéraires différents.

Le prix du pass bus ne comprend que le transport en bus et les arrêts touristiques. Aucun frais d’hébergement ou d’attraction/activité n’est inclus.

Certains abonnements offrent des expériences spéciales que vous n’auriez peut-être pas pu vivre autrement – l’abonnement East As de Kiwi Experience vous donne l’occasion de rencontrer des familles maories locales et de faire une visite complète du Marae local (complexe de maisons de réunion religieuses).

Comment fonctionnent les bus Hop-on-Hop-off en Nouvelle-Zélande ?

L’idée est d’acheter un pass et d’utiliser le bus comme moyen de transport (qui s’arrête aux attractions et aux activités en cours de route) et pour rencontrer d’autres voyageurs.

Le chauffeur fait office de quasi-guide touristique et peut réserver à l’avance les auberges et les activités. La compagnie de bus « recommandera » une auberge avec laquelle elle a généralement conclu un accord de parrainage. Il s’agit souvent de grandes chaînes d’auberges telles que Base.

Si vous trouvez un arrêt qui vous plaît, vous pouvez y rester et prendre un autre bus pour vous rendre à votre prochaine destination. Le voyageur type de ces bus a moins de 35 ans et cherche à compléter son voyage par quelques nuits tardives en cours de route.

Bien sûr, il y a toujours une variété de types de personnes et d’âges dans chaque bus, donc si vous ne vous sentez pas à l’aise avec celui dans lequel vous êtes, vous pouvez toujours descendre et réserver un autre bus.

Les principaux fournisseurs de services de navettes sont Stray et Kiwi Experience. Ce dernier a une réputation plus fêtarde que l’autre, mais à part cela, ils sont assez similaires.

Compagnies de voyage traditionnelles

Idéal pour : les voyages courts et sans stress, la rencontre avec d’autres voyageurs.

Je ne vais pas m’étendre sur les voyages organisés, car je suis sûre que les avantages et les inconvénients sont assez évidents ; vous êtes un adepte des voyages organisés ou non.

Il existe une grande variété de circuits en Nouvelle-Zélande, depuis les voyages de luxe autour du vin et de la gastronomie jusqu’aux excursions de base en camping et en trekking/tramping.

À première vue, les prix peuvent sembler très élevés, mais n’oubliez pas que la plupart du temps, ce coût comprend l’hébergement et certains repas.

Parmi les voyagistes, citons Flying Kiwi (camping) et Relaxing Journeys (petits groupes).

PVT en Nouvelle-Zélande : Questions fréquemment posées

De combien d’argent ai-je réellement besoin pour un pvt en nouvelle-zélande .

Tout d’abord, je ne peux pas vous recommander de prendre moins d’argent que ce que le gouvernement néo-zélandais exige…. mais, d’un point de vue pratique, il est bon de calculer combien les premiers mois en Nouvelle-Zélande vous coûteront au cas où vous ne trouveriez pas de travail aussi rapidement.

Un lit d’auberge de jeunesse coûte en moyenne 30 dollars. Multipliez ce chiffre par 30 pour obtenir le coût mensuel moyen de votre hébergement. Multipliez ce chiffre par deux ou trois et vous obtiendrez un bon montant  » tampon « .

Pour ce qui est de la nourriture, si vous venez de France ou du Canada, convertissez en dollars néo-zélandais ce que vous dépensez habituellement par semaine pour calculer le coût hebdomadaire de la nourriture. Oui, les prix des aliments sont un peu différents ici et là, mais dans l’ensemble, ils sont proches. Ce chiffre vous donnera au moins une estimation du coût de la vie.

Combinez vos frais de logement et de nourriture, plus une réserve de trois ou quatre cents NZ$ pour couvrir les frais de voyage et les dépenses supplémentaires. Vous aurez ainsi une idée du coût de base de la vie en Nouvelle-Zélande pendant quelques mois.

Puis-je me rendre en Nouvelle-Zélande avec un billet aller simple ?

Oui, vous le pouvez. Les conditions du gouvernement néo-zélandais stipulent que vous pouvez arriver avec un billet aller simple mais que vous devez avoir suffisamment de fonds à l’entrée pour acheter un billet d’avion de retour. C’est un peu vague. Mais je dirais un minimum de 1000 $NZD, ce qui laisse une marge d’erreur.

Personne ne veut m’accompagner en Nouvelle-Zélande et j’ai peur de voyager seul. Est-ce que je vais me sentir seul ?

À moins que vous ne soyez vraiment asocial et que vous ne restiez pas dans les auberges, il est peu probable que vous vous sentiez seul. D’abord, beaucoup de gens voyagent seuls en Nouvelle-Zélande, vous ne serez pas le seul. Les auberges sont des lieux de rencontre. Tant que vous êtes amical et ouvert à la rencontre de nouvelles personnes, tout ira bien.

N’oubliez pas que vous avez toujours au moins une chose en commun : l’envie de voyager et d’explorer de nouveaux endroits ! Cela peut sembler intimidant, mais la majorité des voyageurs sont des personnes très accueillantes et acceptantes.

Vous constaterez probablement que vous ne voyagerez pas seul longtemps.

N’est-ce pas un peu effrayant de partir vivre à l’autre bout du monde ?

Peut-être, mais je vous assure que la Nouvelle-Zélande est l’un des pays les plus accueillants et les plus faciles à visiter ou à vivre pour un premier voyageur.

L’idée d’aller vivre dans un pays étranger peut sembler effrayante lorsque vous êtes assis chez vous à faire des recherches en ligne, mais dès que vous aurez atterri, vous vous rendrez compte que ce n’est pas si étranger que ça.

Essayez d’ignorer les inévitables personnes qui vous diront à quel point vous êtes courageux (pour aller vivre dans un autre pays développé ? Je n’ai jamais compris cela), mais si vous n’y arrivez pas, regardez la Nouvelle-Zélande de plus près en utilisant Google Streetview. Regardez Queen Street à Auckland ou Courtenay Place à Wellington et vous vous sentirez bientôt moins intimidé.

Avant de partir, vous pouvez tout planifier dans les moindres détails si vous le souhaitez. La merveille de l’Internet ! À votre arrivée ou à tout moment par la suite, vous pouvez facilement envoyer un message whatsapp à votre famille ou à un ami si vous êtes toujours inquiet.

Si les choses ne se passent vraiment pas bien pour vous, vous pouvez rentrer en avion. Ce n’est pas la fin du monde. Je vous conseille vivement d’essayer et de voir si c’est pour vous, vous pourriez être surpris.

Que faire si je ne trouve pas de travail pendant mon PVT en Nouvelle-Zélande ?

Comme expliqué précédemment, il existe de nombreuses possibilités de travail occasionnel en Nouvelle-Zélande. Si vous n’êtes pas difficile, il ne vous faudra pas longtemps pour trouver un poste. Gardez un œil sur les panneaux d’affichage des auberges et sur le site Web du Backpacker Board et agissez RAPIDEMENT.

Si vous êtes prêt à travailler pour un logement, c’est encore mieux ! Même temporairement, cela peut vraiment vous aider sur le plan financier et vous permettre d’acquérir une expérience professionnelle dans la NZ.

Faites nous savoir que vous avez aimé ce post 🤩

Cliquez sur les étoiles pour noter cet article

Note moyenne 0 / 5. Nombre de votes 0

Pas encore de vote, votre vote compte double 😉

En route vers votre prochaine aventure

Nouvelle-Zélande

PVT Nouvelle-Zélande

Pvt pour la nouvelle-zélande : infos et détails de procédure d'obtention.

La Nouvelle-Zélande  est le pays idéal pour partir dans le cadre du  Programme Vacances Travail , mais pour que cette expérience se déroule au mieux, une bonne dose d’organisation est nécessaire. Vous souhaitez visiter la Nouvelle-Zélande pour toute une année en étant autorisé à travailler sur place ? Dans ce guide, vous trouverez toutes les informations utiles sur le  PVT en Nouvelle-Zélande 🙂

Qu’est-ce qu'un PVT ?

Le  Permis Vacances Travail , que l’on appelle également  Working Holiday Visa , est un dispositif qui a été mis en place pour favoriser les échanges culturels entre différents pays (environ une quarantaine), en encourageant les jeunes à voyager dans d’autres pays. Ce visa d’immigration temporaire permet à certaines personnes de partir à l’étranger pour découvrir un nouveau pays, tout en ayant la possibilité de  travailler sur place pour financer leur séjour. Il n’est pas nécessaire d’avoir trouvé un employeur avant le départ, le PVT sert avant tout à faire un séjour touristique, pour découvrir un nouveau pays 🙂

Le PVT Nouvelle-Zélande permet aux voyageurs de  30 ans ou moins  (35 ans pour les Canadiens) de séjourner dans le pays pendant une durée maximale d’ un an (23 mois pour les Canadiens). De nombreux métiers sont accessibles avec un PVT, mais il n’est pas possible d’accepter un emploi permanent. Les voyageurs peuvent également étudier lors d’un PVT en Nouvelle-Zélande, en suivant des formations courtes ou des cursus de  6 mois maximum .

Pourquoi choisir la Nouvelle-Zélande pour un PVT ?

activites nouvelle zelande

La  Nouvelle-Zélande est l’une des destinations les plus populaires pour les personnes qui souhaitent bénéficier du Programme Vacances Travail, et ce pour plusieurs raisons. Ce pays très isolé, assez peu étendu et majoritairement composé de deux îles fait rêver beaucoup de voyageurs grâce à ses paysages superbes et très variés, entre  plages ,  volcans ,  montagnes impressionnantes,  fjords et grandes étendues sauvages et luxuriantes, qui abritent une faune particulièrement diversifiée 🙂 Le climat, agréable toute l’année, est une véritable invitation aux voyages !

Visiter la Nouvelle-Zélande , c’est aussi partir pour un pays extrêmement sûr, où vous pourrez faire la connaissance d’une population très accueillante et découvrir l’histoire et la culture du peuple  maorie , les habitants de ces îles depuis plusieurs millénaires. 

La Nouvelle-Zélande est sans doute l’un des meilleurs pays au monde pour pratiquer des  activités en plein air . Certains itinéraires de  randonnées , comme la Milford Track, sont célèbres dans le monde entier, et les voyageurs peuvent également découvrir les panoramas incroyables du pays à l’occasion de treks en VTT, d’excursions en kayak ou encore en faisant de la plongée dans des spots tout simplement magiques. Les amateurs de sensations fortes ne seront pas en reste et pourront s’adonner au saut en parachute, au parapente, au saut à l’élastique, au surf et à bien d’autres activités 😀

Quelle Assurance PVT pour la NOUVELLE-ZÉLANDE ? 💬

Concernant les assurances PVT pour la Nouvelle-Zélande , je vous recommande la formule Chapka Cap Working Holiday accessible dès 36 €/mois et offrant toutes les garanties d’assurance et d’assistance nécessaires. Elle propose aussi une couverture solide pour voyager sans soucis : couverture médicale complète , Responsabilité Civile, assistance rapatriement, frais de recherche et de secours, téléconsultation 24 h/24 et 7 j/7, assurance bagages, avance de caution pénale, couverture Covid…

Les conditions d’accès au PVT Nouvelle-Zélande

Les PVT pour la Nouvelle-Zélande sont particulièrement accessibles. Contrairement à d’autres pays par exemple, il n’y a pas de quota annuel pour les Français, les Belges et les Canadiens, c’est pourquoi à partir du moment où un voyageur respecte les conditions et fait sa demande dans les règles, il y a de très grandes chances qu’il obtienne son visa temporaire.

voyager en nouvelle zelande

Les conditions pour obtenir un PVT Nouvelle-Zélande  sont les suivantes :

  • Être âgé de  18 à 30 ans au moment de la demande (pour les ressortissants canadiens, la limite d’âge est de 35 ans). C’est la date de dépôt du dossier qui fait foi, il est donc encore possible d’être accepté et de partir séjourner en Nouvelle-Zélande l’année de ses 31 ans, tant que la demande a été faite à temps 🙂
  • Disposer d’un passeport valide . Ce passeport devra être valide pour une durée d’ au moins 15 mois après votre arrivée en Nouvelle-Zélande (également pendant au moins 15 mois après la date indicative de début de séjour que vous devrez indiquer lors de votre demande de PVT).
  • Disposer d’ au moins 4 200 dollars néo-zélandais  (environ 2 500 €) sur un compte en banque. C’est le montant nécessaire pour prendre en charge les frais au moins pour le début du voyage, le temps de trouver un travail. Même si c’est plutôt rare, un justificatif bancaire peut être demandé lors de l’arrivée.
  • Disposer d’un  billet d’avion-retour  ou de suffisamment d’argent pour le payer (environ  1500 dollars néo-zélandais  supplémentaires).
  • Faire un PVT en Nouvelle-Zélande  pour la première fois . SI vous avez déjà obtenu un PVT Nouvelle-Zélande par le passé, vous ne pourrez pas en obtenir un nouveau, même si vous n’êtes finalement pas parti la première fois. En revanche, les personnes qui ont déjà fait un ou plusieurs autres voyages dans d’autres pays dans le cadre d’un PVT restent éligibles.
  • Voyager  sans personne à charge .
  • Disposer d’une  assurance voyage  adaptée aux besoins de personnes qui partent en Nouvelle-Zélande pour une période prolongée.

L’assurance PVT pour la Nouvelle-Zélande

La Nouvelle-Zélande fait partie des pays où  les frais médicaux sont parfois très élevés , bien plus qu’en France. Pendant un voyage en dehors de l’Europe, vous aurez pratiquement toujours besoin d’une  assurance voyage  pour disposer d’une protection suffisante en cas de pépin.

informations

Attention : si dans certains cas, les assurances liées aux cartes bancaires peuvent être acceptables pour voyager dans un autre pays, ce n’est pas le cas dans le cadre d’un PVT, puisque ces assurances n’offrent une couverture que pendant une durée maximale de 3 mois .

Dès l’obtention d’un PVT pour la Nouvelle-Zélande, vous devrez donc souscrire une  assurance PVT Nouvelle-Zélande , car un justificatif pourra vous être demandé par les services de l’immigration à votre arrivée. Il est donc impératif de disposer d’une assurance PVT qui prendra au minimum en charge les frais de soins, d’hospitalisation et de rapatriement  pour toute la durée de votre séjour en Nouvelle-Zélande.

Certaines compagnies comme  Chapka Direct  ou  ACS  proposent des formules spécialement conçues pour les personnes qui font un PVT en Nouvelle-Zélande ou dans un autre pays.  Cap Working Holiday  de Chapka ou  Globe PVT d’ACS   offrent toutes les garanties d’assurance et d’assistance pour partir en toute sérénité dans le cadre d’un Programme Vacances Travail, pour moins de 40 € par mois.

Faire la demande d’un PVT pour la Nouvelle-Zélande

Le processus de demande de PVT pour la Nouvelle-Zélande est simplifié, il peut être effectué en environ 30 minutes . La demande s’effectue en ligne sur le   site officiel de l’immigration de Nouvelle-Zélande , en plusieurs étapes :

  • La préparation des documents,
  • La création du compte,
  • Le remplissage du formulaire de la demande,
  • La soumission de la demande et le paiement des frais de visa,
  • L’obtention du PVT.

1. Les documents demandés

partir en nouvelle zelande

Avant toute chose, préparez les  documents nécessaires pour compléter la demande de PVT  :

  • Votre passeport , qui devra être valide pour au moins 15 mois après la date indicative que vous allez renseigner dans le formulaire. Ce passeport devra être le même que celui que vous allez présenter à l’immigration lors de votre arrivée sur place. Au besoin, faites-le renouveler avant de faire votre demande.
  • Une deuxième pièce d’identité  (carte d’identité nationale, permis de conduite ou certificat de naissance)
  • Une  carte bancaire  (Visa ou Mastercard) pour effectuer le paiement des frais d’émission du visa pour valider votre demande. Cette carte ne doit pas forcément être au même nom que le demandeur. Les cartes type Electron ou Maestro ne sont pas acceptées.

2. La création du compte

Sur le site de l'immigration néo-zélandaise , choisissez tout d’abord votre  pays de résidence dans la liste pour accéder à la page d’inscription, sur laquelle vous pourrez cliquer sur  «  Apply Online » et créer un compte  pour débuter la demande de PVT.

Dans ce formulaire très classique, vous devrez renseigner votre nom, votre email, choisir un pseudonyme et un mot de passe, ainsi qu’une question de sécurité qui vous permettra de récupérer votre compte en cas d’oubli des informations d’identification.

Cochez ensuite la case pour accepter les conditions d’utilisation (Terms of Use), et cliquez sur «  Register » pour valider la création du compte. Un message vous informera que votre création de compte a bien été effectuée et que vous devez consulter le mail qui vous a été envoyé pour la confirmer 🙂

3. Le formulaire de demande

Quand vous serez bien connecté à votre compte, vous pourrez véritablement débuter la demande en accédant au formulaire.

Faites très attention à ne pas faire d’erreurs  lors du remplissage du formulaire avant de le valider. Les services de l’immigration vérifieront toutes ces informations et en cas d’erreur, vous recevrez un mail vous demandant de faire des rectifications . Cela rallongera le délai d’obtention de votre PVT, et pourra même entrainer un refus dans certains cas !

Ce formulaire se divise en plusieurs rubriques :

  • Personal , où vous devrez donner toutes vos informations personnelles
  • Health , où vous devrez répondre à des questions concernant votre santé
  • Character , où vous devrez répondre à des questions spécifiques, notamment sur vos antécédents judiciaires
  • WHS Specific  (Working Holiday Scheme Specific), où vous devrez répondre à des questions concernant vos éventuels précédents voyages en Nouvelle-Zélande.

En haut de page, vous pourrez voir que ces quatre catégories disposent chacune d’un onglet. Une croix rouge indique que des informations sont manquantes, tandis qu’un rond bleu indique qu’une catégorie est bien complétée. En bas de page, vous pourrez trouver des boutons «  Save » et «  Complete Later » , qui pourront vous permettre d’enregistrer votre demande pour la terminer plus tard là.

Cette première rubrique est elle-même divisée en 3 sous-parties :

  • Personal Details : Vous devrez tout d’abord donner toutes les informations concernant votre état civil (nom, date de naissance, genre, pays de naissance…). Attention, les caractères spéciaux c omme les accents et les cédilles sont automatiquement effacés et vous devrez les remplacer par des caractères classiques. Ensuite, c’est l’adresse  qui est d emandée. Cette adresse doit bien se trouver dans le même pays que celui de votre passeport. La case « suburb » est obligatoire, mais pour une adresse française, indiquez simplement le nom ou le surnom de votre quartier. Ici encore, évitez les cédilles et les accents, et vérifiez bien qu’aucun caractère n’a été effacé avant de valider. Vous devrez également donner vos informations de contact . Seule l’adresse mail est obligatoire, mais il est plus sûr de renseigner également un numéro de téléphone, qui pourra dans certains cas permettre aux services de l’immigration de Nouvelle-Zélande de vous contacter directement et ainsi de gagner du temps en cas de besoin. Indiquez votre numéro avec son  indicatif international  (pour la France, écrivez 33 à la place du 0 qui débute votre numéro).
  • Identification : L’étape suivante sera de renseigner les détails concernant votre passeport . Indiquez le numéro de votre passeport (situé en haut à droite au-dessus de la photo) ainsi que sa date d’expiration. Il s’agit d’un des éléments les plus importants de la demande, il faut donc être très attentif à ne pas faire d’erreurs. Une  deuxième pièce d’identité  est également demandée (permis de conduire, certificat de naissance ou carte d’identité en cours de validité).
  • Occupation Details : Cette rubrique optionnelle permet de donner des informations sur le précédent métier exercé, la durée d’inactivité et d’autres renseignements concernant l’activité professionnelle.

Cette deuxième grande rubrique aborde des questions de  santé . Vous devrez répondre à des demandes concernant vos antécédents médicaux (cancer, maladie cardiaque, maladie mentale, tuberculose, hospitalisation…). Si vous répondez positivement à l’une de ces questions, vous devrez ensuite donner plus de détails. Dans certains cas précis, les services de l’immigration pourront vous demander de passer une visite médicale .

Si dans les 5 dernières années, vous avez séjourné pour une durée de 3 mois ou plus dans un ou plusieurs pays fortement touchés par la tuberculose, une radio des poumons pourra être demandée.

Cette troisième catégorie est consacrée aux éventuels  antécédents judiciaires  ou autres soucis rencontrés dans d’autres pays. Vous devrez notamment indiquer si vous avez déjà fait de la prison, si vous avez déjà subi une enquête ou été jugé dans un autre pays, et si vous avez déjà fait l’objet d’une procédure d’expulsion.

Ici encore, si vous répondez de manière positive à l’une des questions, de plus amples informations vous seront demandées. N’essayez pas de cacher certaines informations, car cela entrainera un refus de votre demande de visa.

Avoir un  casier judiciaire  ne vous empêchera pas d’obtenir un PVT Nouvelle-Zélande, tant que rien ne vous empêche légalement de vous rendre sur le territoire de ce pays 🙂

WHS Specific

Cette dernière rubrique concerne plus spécifiquement vos précédents contacts avec les  services de l’immigration de Nouvelle-Zélande .

Ces questions servent principalement à vérifier que vous êtes bien éligible à cette demande de Working Holiday Visa :

  • Avez-vous déjà effectué une demande de PVT NZ ?
  • Disposez-vous des fonds suffisants ?
  • Quand prévoyez-vous d’arriver en Nouvelle-Zélande ?
  • Êtes-vous déjà venu en Nouvelle-Zélande, et si oui, quand ?
  • Avez-vous assez d’argent pour acheter un billet retour ?
  • Remplissez-vous toutes les conditions exigées par votre pays de résidence pour les PVT ? (Actuellement, aucune condition n’est requise pour les ressortissants français, belges ou canadiens)

4. L'envoi de la demande et le règlement des frais de visa

obtenir un pvt nouvelle zelande

Quand vous aurez bien rempli l’intégralité du formulaire, vous pourrez cliquer en bas de page sur «  Submit » . Même si un rond bleu est bien présent devant chaque rubrique, je vous recommande de rester vigilant et de vérifier que vous n’avez commis aucune erreur .

Vous arriverez ensuite sur une nouvelle page où vous aurez de nombreuses cases à cocher. En cochant celles-ci, vous vous engagez notamment à :

  • Ne pas avoir fait de fausse déclaration
  • Avoir compris toutes les questions de ce formulaire
  • Être conscient du délai de traitement nécessaire
  • Autoriser les autorités néo-zélandaises à enquêter pour vérifier l’exactitude des renseignements
  • Quitter le pays à la fin de la période de PVT, sous peine de poursuites et d’exclusion…

Cocher ces cases vous engagera sur l’honneur . Pour valider cette déclaration, vous devrez une fois de plus cliquer sur « Submit » . Attention, après cette validation, plus aucune modification de votre demande ne sera possible.

Deux options sont ensuite proposées : «  Pay Now »  et «  Pay Later » . Si vous choisissez de payer plus tard, vous pourrez vous reconnecter quand vous le souhaitez, mais vous ne pourrez pas pour autant modifier les informations que vous aurez données plus tôt. Vous pourrez ensuite procéder au paiement sécurisé . Le montant à régler est de 420 $ NZ, avec en plus une taxe touristique de 35 $ NZ, soit un total de  455 $ NZ , environ  265 € . Ce paiement peut être effectué avec une carte Visa  ou  Mastercard .

Une fois le paiement effectué, vous serez redirigé vers le site de l’immigration et vous pourrez voir une récapitulation de la transaction (vous pouvez sauvegarder cette page pour plus de sécurité). Ensuite, vous recevrez une réponse généralement en quelques jours, mais dans certains cas le délai peut s’étendre à 2 mois. En attendant, vous pouvez vous connecter à votre compte pour vérifier le statut de votre demande 🙂

5. La réception du PVT

C’est par email que vous recevrez l’annonce d’acceptation de votre  PVT Nouvelle-Zélande . Conservez précieusement cet email , car il contient des informations qui vous serviront par la suite !

Connectez-vous à nouveau à votre compte sur le site de l’immigration de Nouvelle-Zélande , où vous pourrez constater que le statut de la demande est passé en «  Approved » . En bas, cliquez sur le lien «  Working Holiday Schemes » correspondant à votre pays, puis sur  «  View eVisa » sur la page suivante. Vous pourrez ensuite imprimer directement ce visa, ou enregistrer la page au format HTML pour l’imprimer plus tard 🙂

Bien préparer votre départ en Nouvelle-Zélande

nouvelle zelande

Voici quelques éléments importants à prendre en compte  avant votre départ :

  • Acheter votre billet d’avion sans attendre . Pour trouver les meilleures offres, n’hésitez pas à réserver plusieurs mois à l’avance.
  • Souscrire une  assurance PVT  pour la Nouvelle-Zélande, qui sera valable pendant tout votre séjour.
  • Si vous allez  conduire en Nouvelle-Zélande, vous devrez disposer d'un permis de conduire international en plus de votre permis national. D'ailleurs, n'hésitez pas à consulter mon article sur la   location de van en Nouvelle-Zélande pour trouver toutes les infos nécessaires 😉
  • Si vous quittez votre logement, n’oubliez pas de  résilier vos abonnements  (électricité, gaz, Internet…)
  • N’oubliez aucun des  documents qui vous seront demandés en Nouvelle-Zélande. Je vous recommande de vous les expédier par email pour les conserver au format dématérialisé et pouvoir les récupérer au besoin.

Pour éviter les mauvaises surprises, pensez aussi à vous renseigner au mieux sur tout ce qui vous attend pendant un long séjour en Nouvelle-Zélande. Pour être parfaitement préparé, informez-vous notamment sur :

  • Les hébergements  en Nouvelle-Zélande, les types de logements, comment rechercher un logement et les prix des loyers.
  • Le  climat  en Nouvelle-Zélande
  • Le  coût de la vie  quotidienne en Nouvelle-Zélande (qui est assez similaire à celui en France)
  • Le  marché du travail  (salaire minimum, horaires, types de contrats…) pour être prêt à ce qui vous attend lors de votre  recherche d’emploi  en Nouvelle-Zélande.
  • L’ouverture d’un  compte en banque  en Nouvelle-Zélande, parfois compliquée pour les personnes qui ne peuvent pas justifier d’un domicile.
  • Les modalités pour s’abonner à  Internet  et au téléphone en Nouvelle-Zélande…

Les démarches en arrivant en Nouvelle-Zélande

voyage pvt nouvelle zelande

À partir de la date de validation de votre PVT, vous aurez  12 mois pour débuter votre séjour en Nouvelle-Zélande. Faites bien attention à n’oublier aucun document, même si dans les faits il est assez rare que les attestations d’assurance ou bancaires soient demandées 😉

Quelques démarches importantes vous attendent à votre arrivée :

  • L’inscription au consulat de Wellington , qui n’est pas obligatoire, mais pourra vous permettre de simplifier certaines démarches et d'entrer en contact avec les autorités françaises pour obtenir de l’aide en cas de besoin.
  • L’ouverture d’un compte en banque , qui sera nécessaire pour toucher un salaire.
  • La demande d’un numéro IRD . Pour avoir le droit de travailler en Nouvelle-Zélande, vous aurez besoin de ce numéro. Certains employeurs l’exigent, et dans tous les cas le demander vous permettra de payer moins d’impôts. Cette demande s’effectue en ligne sur   ce site .
  • Quel est le prix d’un Working Holiday Visa pour la Nouvelle-Zélande ?

Lors de la demande, vous devrez effectuer un règlement de  420 dollars néozélandais  auquel il faut ajouter la taxe IVL (International Visitor Conservation and Tourisme Levy) de 35 dollars néozélandais, soit au total d’ environ 265 € .

  • Quelle est la durée maximale d’un PVT en Nouvelle-Zélande ?

12 mois  pour les Français et les Belges,  23 mois  pour les Canadiens.

  • Quels métiers sont accessibles avec un PVT Nouvelle-Zélande ?

Il est possible d’exercer un travail à temps plein ou à temps partiel. De nombreux domaines sont accessibles, mais les plus courants sont du type job de vacances ou travaux agricoles, notamment dans le domaine viticole.

  • Quand faut-il faire la demande pour un PVT Nouvelle-Zélande ?

Entre 2 et 12 mois  avant votre départ en Nouvelle-Zélande. Même si le traitement des dossiers est généralement bien plus rapide, le délai entre la demande et l’obtention du visa peut être de  2 mois . Après l’obtention du PVT, vous disposerez d’un délai de  12 mois  pour débuter votre PVT. Évitez de demander un  PVT NZ  si vous n’êtes pas certain de pouvoir partir en temps et en heure, car vous n’aurez plus jamais la possibilité de faire une autre demande.

  • Peut-on quitter le pays pendant un PVT Nouvelle-Zélande ?

Oui, autant de fois que souhaité tant que la durée de validité du PVT n’est pas écoulée.

  • Est-ce que l’assurance voyage est obligatoire pour un PVT Nouvelle-Zélande ?

Oui, une couverture maladie, hospitalisation et rapatriement est exigée.

  • Quelles sont les principales causes de refus d’un PVT NZ ?

La grande majorité des demandes sont acceptées, les refus concernent généralement des soucis de santé ou liés à des décisions judiciaires.

C'est tout pour cet article sur le  PVT Nouvelle-Zélande . J'espère que vous avez maintenant toutes les informations nécessaires démarrer les procédures de demande de PVT 🙂 Si vous n'êtes pas encore certain de la destination où vous voulez partir pour votre PVT, vous pouvez aussi consulter mes articles sur le  PVT Colombie  et le  PVT Australie pour vous aider à choisir !

auteur emmanuel voyageavecnous

Les voyages ? Une passion ! Depuis 2013 (déjà !) je partage mes aventures sur ce blog voyage et je vous donne des conseils pour préparer vos prochaines escapades en Europe et un peu partout dans le monde !

Où partir au soleil en Octobre ? Nos conseils

Les derniers articles

Location de voiture en Corse

Visiter Amsterdam en 4 jours

Bali en novembre

D’autres articles qui pourraient vous intéresser

Que faire à Wellington ?

Que faire à auckland , les plus belles plages de nouvelle-zélande, road trip en nouvelle zélande, 0 commentaires, soumettre un commentaire.

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Commentaire *

Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.

Soumettre le commentaire

Nos conseils et bons plans

Inscrivez-vous et recevez chaque mois nos conseils et bons plans pour inspirer vos prochaines aventures !

Votre vote a bien été enregistré.

Le Permis Vacances Travail (PVT) en Nouvelle-ZÉlande

Avec votre permis vacances travail partez pour une aventure exceptionnelle d’un an en Nouvelle-Zélande ! la formule du PVT est proposée aux ressortissants français de 18 à 30 ans qui souhaitent visiter la Nouvelle-Zélande tout en effectuant de petits jobs.

Qu’est ce que le pvt en Nouvelle-zélande? 

Chaque année, de plus en plus de jeunes âgés de 18 à 30 ans quittent leur pays pour se rendre en Nouvelle-Zélande grâce au PVT (permis vacances travail), qui permet de partir vivre et aussi travailler au pays des kiwis pour une durée d’un an maximum.

Ce visa est payant (208$NZ), rapide à obtenir (entre 3 jours et 1 semaine après la demande) et n’est soumis à aucun quota.

Une fois le PVT délivré, vous avez 12 mois pour entrer sur le territoire néo-zélandais et ainsi valider votre permis ou WHV (Working Holiday Visa, équivalent anglophone du PVT). Il est possible (selon des conditions bien précises) de le prolonger de 3 mois.

Le Permis Vacances Travail (PVT) Nouvelle-Zélande vous permet:

  • D’étudier ou de suivre des stages jusqu’à 6 mois au total
  • De travailler dans le secteur professionnel de votre choix dès lors qu’il s’agit d’un emploi légal et non permanent
  • D’entrer et sortir de Nouvelle-Zélande à volonté durant l’année de validité de votre visa.

Comment obtenir votre WHV en Nouvelle Zélande?

La demande de PVT en Nouvelle-Zélande s’effectue exclusivement par internet, suivez le guide !

1/ Connectez-vous sur le site suivant (en anglais) : https://www.immigration.govt.nz/secure/default.htm , et cliquez sur le lien register here  pour créer votre compte. 2/ Remplissez le questionnaire en ligne avec soin et validez votre demande. 3/ Vous recevrez un e-mail automatique vous invitant à consulter le résultat de votre demande sur le site internet de l’Immigration de Nouvelle-Zélande. 4/ Connectez-vous à l’aide d’un login et mot de passe pour visualiser et imprimer les détails de votre visa ; conservez ce document accompagné de votre passeport pendant toute la durée de votre PVT.

Conditions d’obtention du WHVA en Nouvelle-Zélande?

  • Être agé de 18 à 30 ans inclus à la date du dépôt de la demande de visa
  • Être titulaire d’un passeport français valide au moins 15 mois après votre première arrivée en Nouvelle-Zélande.
  • Ne pas avoir déjà participé au Programme Working Holiday en Nouvelle-Zélande.
  • Ne pas être accompagné de personnes à charge
  • Disposer des ressources financières nécessaires pour subvenir aux besoins au début du séjour : 4 200 NZ$, soit 2500 euros
  • Disposer obligatoirement d’une assurance santé, rapatriement et hospitalisation qui vous couvrira pendant toute la durée de votre séjour ; en effet en Nouvelle-Zélande les frais de santé sont beaucoup plus élevés qu’en France
  • Avoir pour but principal de visiter la Nouvelle-Zélande, le travail et les études étant des intentions secondaires.

Renouvellement du WHV en Nouvelle-Zélande

Il est possible de prolonger de 3 mois supplémentaires votre PVT en Nouvelle-Zélande, si vous pouvez justifier de 3 mois de travail minimum dans les domaines de l’horticulture et la viticulture. Ce n’est que dans ces cas précis que vous êtes éligible au Working Holidaymaker Extension Visa. Cette demande faite obligatoirement sur place ne peut pas se faire en ligne et doit être envoyée à un bureau d’Immigration de Nouvelle-Zélande, accompagnée des pièces suivantes :

  • Le formulaire de demande rempli et signé : SSE Work Visa Application NZ (form 1153)
  • Les preuves de vos travaux dans l’horticulture et la viticulture
  • La preuve d’achat de billet retour (ou le cas échéant des fonds nécessaires pour l’acheter)
  • Le paiement des frais demandés

Billets d’avion WHV pour la Nouvelle-Zélande

Bien choisir votre vol pour la Nouvelle-Zélande est la première étape pour réussir votre aventure et optimiser votre budget! Nous avons sélectionné pour vous les compagnies aériennes régulières qui proposent les billets d’avion WHV au meilleur tarif pour la Nouvelle-Zélande  à destination des jeunes de moins de 30 ans, des étudiants ou détenteurs d’un Permis Vacances Travail (PVT ou WHV).

Les avantages de nos billets d’avions Jeune & WHV :

Ces billets à tarifs négociés ont des conditions spéciales pour vous offrir une flexibilité que n’offrent pas les billets classiques !
  • Un billet d’avion aller simple ou aller-retour valable un an maximum, en adéquation avec la durée maximale du permis
  • Vous fixez une date de retour fictive, puis vous changez de date gratuitement auprès des compagnies (sous réserve de disponibilités dans la même classe tarifaire de réservation, attention mieux vaut s’y prendre le plus tôt possible !)
  • Une  franchise de bagages de 30 à 35 kilos  (selon les compagnies) en soute par personne
  • Si vous souhaitez combiner des destinations, nous proposons des escales gratuites en Asie (Bangkok, Singapour, Hong Kong, Dubaï, Abu Dhabi et bien d’autres en fonction des compagnies) sur votre trajet aller ou retour vers la Nouvelle-Zélande

En conclusion, plus tôt vous réservez, meilleur sera le prix de votre billet !

Le PVT un visa pour travailler en Nouvelle-Zélande un an

Vous avez entre 18 et 30 ans  et une irrésistible envie d'aller voyager et travailler en Nouvelle-Zélande ? Le PVT (Programme ou Permis Vacances Travail, aussi appellé Visa Vacances Travail ou Working-Holiday Visa (WHV)) est fait pour vous. Il vous permet de rester jusqu'à un an sur place et reste simple à obtenir.

La demande de PVT (Working Holiday Visa) pour la Nouvelle-Zélande se fait intégralement en ligne sur le site Immigration New Zealand . Il coûte seulement 245 NZ$ (soit environ 145€). Ce coût augmentera à partir du 1er juillet 2019 et passera à 280 NZ$ (soit environ 162€).

Les conditions à remplir

  • Être citoyen français ou titulaire d’un passeport français valide au moins 3 mois après la date de départ de Nouvelle-Zélande.
  • Avoir entre 18 et 30 ans au moment de la demande (jusqu’à la veille des 31 ans).
  • Ne pas avoir d’enfant à charge.
  • Posséder un billet de retour  ou les fonds nécessaires pour l’acheter.
  • Détenir au moins 4,200 NZ$ sur votre compte pour subvenir à vos besoins sur place.
  • Répondre aux critères de santé requis.
  • Posséder une assurance santé/rapatriement/hospitalisation  valable pour toute la durée de votre séjour.
  • Ne pas avoir déjà bénéficié d’un WHV en Nouvelle-Zélande.

Vos droits avec le PVT

Comme dit plus haut, le PVT vous donne le droit de vivre et voyager en Nouvelle-Zélande pendant 1 an. Concrètement, qu'est-ce que ça veut dire ?

  • Une fois votre demande de visa approuvée, vous aurez un délai de 12 mois pour vous rendre en Nouvelle-Zélande. Par exemple si vous l'obtenez le 31 décembre 2019, vous aurez jusqu'au 31 décembre 2020 pour arriver sur le territoire.
  • Une fois en Nouvelle-Zélande, votre PVT sera valable 12 mois à compter de votre date d'arrivée. Par exemple si vous arriver sur le territoire le 1er septembre 2019, vous pourrez rester jusqu'au 31 août 2020.
  • Le PVT vous donne le droit d'entrer et sortir de Nouvelle-Zélande autant de fois que vous le voulez durant sa période de validité - pratique pour aller faire un saut en Australie, en Nouvelle-Calédonie ou aux îles Fiji !
  • Côté travail, le PVT donne le droit de travailler pour un nombre illimité d'employeurs, dans n'importe quel domaine. Seule contrainte : vous ne pourrez pas signer de CDI, mais seulement des CDD n'excédant pas la période de validité de votre visa.
  • Le PVT vous donne aussi le droit de suivre une formation ou de faire des études, pendant 3 mois maximum.
  • Contrairement à certains pays, le Working Holiday Visa en Nouvelle-Zélande n’est soumis à aucun quota, le nombre de places pour les français répondant aux conditions ci-dessus est donc illimité.
  • Les délais de réponse sont généralement assez courts (quelques jours à une semaine). Une fois la demande faite, vous avez 12 mois pour mettre les pieds sur le territoire.
  • Parmi les exigences de critères de santé, on vous demandera de passer une visite médicale si vous avez séjourné plus de 3 mois dans un pays présentant un risque élevé de Tuberculose dans les 5 ans précédant votre demande (voir la liste des pays NON concernés).
  • Vérifiez que toutes les informations données soient parfaitement exactes à celles figurant sur votre passeport.

Faire ma demande de PVT : les 3 étapes

  • Etape 1 : l'inscription - Faites votre demande directement sur le site Immigration New Zealand . Avant toute chose, munissez-vous de votre passeport et de votre carte bancaire (vous n'en avez pas ? notre article sur la demande de passeport ). Pour info, penser à noter votre nom d'utilisateur, mot de passe et la réponse à la question secrète.
  • Etape 2 : la demande - Ici vous devrez remplir plusieurs champs : Personal, Health, Character et Working Holiday Specific. Une fois qu’une partie sera complète, une petite coche verte remplace la croix rouge.
  • Etape 3 : le paiement - Attention, ce n’est qu’une fois le paiement des 280 NZ$ effectué que la demande sera envoyée pour être étudiée. Il s’effectue uniquement par carte Visa ou Mastercard. Renseignez les informations demandées. Si tout se passe bien, vous devriez être renvoyé sur une page site de l’immigration précisant que votre paiement a bien été effectué.

Si vous vous rendez sur votre compte sur le site de l’immigration néo-zélandaise, vous pouvez voir que votre statut indique « Application Received » et que le statut du paiement indique « Received ». Votre demande sera étudiée et vous devriez recevoir une réponse sous plusieurs jours (parfois le jour même), sauf si des pièces supplémentaires sont demandées (visite médicale, radio des poumons, etc.). Si tout est bon, vous recevrez un mail de l’immigration indiquant que votre demande de Working Holiday Visa en Nouvelle-Zélande a été acceptée. On vous donnera également un « Client number » et un « Application number ». Conservez précieusement ce mail.

Quels sont les papiers à présenter à la douane ?

Pour passer la douane, divers documents peuvent vous être demandés (certificat d'assurance, relevé bancaire...). En général, seul votre papier d'obtention du visa est nécessaire, mais il est tout de même plus prudent d'être muni de tous les documents car le droit d'entrée sur le territoire néo-zélandais peut vous être refusé.

Renouveler son PVT

Vous voulez rester plus longtemps en Nouvelle-Zélande ? Si durant votre PVT vous avez travaillé au moins 3 mois dans l'horticulture  (ramassage des récoltes, taille des vignes...), vous pouvez demander une extension de 3 mois. Notre article  et info sur le site de l'immigration

...

Votre décision est prise, le PVT est fait pour vous ? Alors suivez le guide étape par étape, et récoltez toutes les informations dont vous aurez besoin :

  • La Bible PVT des Frogs
  • L'assurance santé spéciale PVT
  • Notre Starter Pack PVT à Auckland

Matthieu Clémence lune de miel nz

Tout simplement merci Frogs, 3 semaines de road trip sur les 2 Iles pour une Lune de Miel qui était parfaite de A à Z. Plus qu'une relation clients/ Agent, vous avez su cerner et répondre à nos attentes et souhaits...

Rose-Hélène Tasman Valley

Les Frogs, une Agence qui associe COMPETENCES / CONNAISSANCE du PAYS / CONFIANCE car très empathique et à l'écoute des souhaits de ses clients. En cas d'imprévu, vous aurez toujours (dimanche matin pour nous !) un interlocuteur...

Tristan Rotorua NZ

Ecoute, conseil, réactivité, organisation. De superbes vacances dans un très beau pays ! On en redemande ! Grande qualité des documents et des check-lists diverses. 

Christèle Blue Springs NZ

Il me manque les mots pour qualifier notre voyage en Nouvelle Zélande, c'était tellement magnifique !! Tous les quatre sommes totalement tombés sous le charme de ce pays et de ses habitants ! Quant à Frogs et vous Marion , c'était tellement parfait...

Florence Cape Reinga NZ

Nous avions déjà voyagé en NZ avec Frogs il y a 3 ans. Nous avions été ravis du service pour la location de camping-car et la proposition itinéraires et d'activités.

partenaires et associations

voyage nouvelle zelande travail

  • 🎥 Guide vidéo PVT OZ
  • 👷🏽 Guide Meilleurs Jobs 2024/25
  • 🇦🇺 Pack ALL IN MATE
  • Le Grand Comparatif Assurances PVT 2024/25
  • 🎁 Formation blogging voyage offerte
  • De Voyageur à Blogueur™ (formations)
  • Blog Voyage Rentable™ (formation)
  • Pack BLOGUEUR PRO™ 🔱 2.0

Travailler en Nouvelle-Zélande [Guide complet] : Combien j’ai économisé en 5 mois ?

Tout savoir sur le travail en nouvelle-zélande : marché de l'emploi, meilleurs secteurs et mon récit d'expérience..

travailler en nouvelle zelande blog

Si tu souhaites partir vivre en Nouvelle-Zélande pour une année,  il y a de fortes chances qu’en bon PVTiste, tu doives te mettre à la recherche d’un emploi. Or, travailler en Nouvelle-Zélande n’a pas grand-chose à voir avec le marché de l’emploi tel qu’on le connait chez nous, du moins, en tant que travailleur saisonnier.

Des secteurs les plus accessibles aux détenteurs d’un WHV à la recherche concrète d’un job, en passant par les salaires et les bons plans, ce “guide du travail en Nouvelle-Zélande” se veut complet et pratique.

Le tout en partageant ma propre expérience. Je suis arrivé avec 500€ en poche, et après 5 mois de dur labeur, j’ai pu économiser plus de 10 000 NZD pour pouvoir m’acheter mon van et partir en road trip à travers les 2 îles . Et oui, je dirai combien j’ai économisé exactement, je te connais ! (le but n’étant pas de m’en vanter, mais te montrer que c’est possible, même si ça n’a pas toujours été facile).

Je te partagerai aussi comment maximiser tes chances de décrocher un bon job pour économiser assez pour voyager le plus vite possible en 3 étapes qui, j’espère, t’aideront concrètement durant ton Visa Vacances Travail au pays des Kiwis !

Travailler en Nouvelle-Zélande | Sommaire & épingle

Sommaire de l'article

Et pour les backpackers ?

Le salaire minimum brut et les taux d’imposition, les impôts : comment récupérer ses taxes en nouvelle-zélande (tax back), les conditions pour travailler en nouvelle-zélande, comment trouver un travail en nouvelle-zélande , 1. l’horeca : hôtellerie – restaurants – cafés, 2. la construction et le bâtiment, 3. le fruit picking et le travail en ferme, 4. le bénévolat : helpx – wwoofing – workaway, 1. s’éloigner des grandes villes, 2. privilégier les jobs qui promettent beaucoup d’heures, 3. réduire tes dépenses quotidiennes, vivre et travailler en nouvelle-zélande : mon bilan, mes conditions de travail et mon quotidien, derniers conseils pour ta recherche d’emploi.

travailler-en-nouvelle-zelande-job

Partir travailler en Nouvelle-Zélande : le contexte

Avec un taux de chômage de 4% , des paysages et des décors dignes du Seigneur des Anneaux, un accès au visa Vacances Travail sans quota, la Nouvelle-Zélande attire forcément des dizaines de milliers de francophones chaque année. (Environ 25 000 Français et 8 à 900 Belges (on fait ce qu’on peut les gars).

Mieux, il y a quelques années, la Nouvelle-Zélande lançait une campagne visant à encourager des personnes qui avaient des compétences dans des secteurs professionnels recherchés à venir s’installer.

Assez logiquement, ces métiers en pénurie sont souvent des emplois qui demandent un niveau d’études ou de formations assez poussées (ingénieur, chef de projet en construction, dans l’informatique, le secteur médical, etc.)

Tu peux d’ailleurs toujours trouver ces listes sur le site de l’immigration ainsi que des informations supplémentaires sur le site careers.govt.nz .

Pas de stress, il y a largement de la place pour tout le monde. La Nouvelle-Zélande compte énormément sur la main d’oeuvre que nous représentons.

Malheureusement, j’ai rapidement remarqué une réelle différence par rapport au travail en Australie , les salaires.

Il est globalement encore plus simple de trouver un job en N-Z qu’en Australie (car oui, je considère que même en Oz, ça reste simple, il faut juste le vouloir, être flexible et débrouillard).

voyage-australie-nouvelle-zelande-assurance-blog-side

Lire l’article “pourquoi j’ai choisi cette assurance ?”

[Si tu dois encore faire ton choix (ou renouveler prochainement) Je t’invite aussi à découvrir et sauvegarder notre Grand Comparatif sur les assurances PVT (Australie, Nouvelle-Zélande, Canada,..) en détail. Ce comparatif est, à ma connaissance, le plus complet et récent. Et surtout, le seul qui te permet de comparer et souscrire au même endroit aux 4 plans aux meilleurs tarifs possibles en ligne. ⤵️]

assurance-pvt-australie-comparatif-bannière

Certaines régions viennent même à manquer de main d’oeuvre, notamment dans l’agriculture ou dans le fruit picking. Exemple concret lorsque j’y étais, la saison de picking de kiwis commençait en avril sur l’île du Nord (Bay of Plenty), et le gouvernement a déclaré un “labour shortage” (pénurie de main d’oeuvre) pour cette région presque instantanément.

Cependant, il est plus compliqué de trouver un BON travail qui permettra d’accumuler les heures à un taux horaire plus élevé que le “ minimum wage ” fixé à 23,15 NZD brut de l’heure depuis le 1er avril 2024. Ce montant est régulièrement mis à jour (chaque année, il semblerait), sur le site officiel du gouvernement néo-zélandais .

Concernant le taux d’imposition et les taxes appliquées aux WHV (qui sont prélevées à la source) et tu trouveras les taux de taxation sur le site de l’Inland Revenue Department .

À “mon époque”, en travaillant 40 heures par semaine au salaire minimum (autour des 19NZD/h), tu pouvais donc gagner 3 276 NZD par mois soit 2 738,83 NZD net.

Dans mon cas, j’avais décroché un job qui payait relativement bien, autour des 23-24NZD/h (hors heures supplémentaires), les plus grosses semaines, je gagnais entre 1200 et 1300 NZD (net), mais c’était au prix de semaines interminables de 50h ou plus (et donc en cumulant des heures supp payées 150% ou plus).

Le prix à payer acheter un bon van en Nouvelle-Zélande ?

travailler en nouvelle zelande van

La vanlife néo-zélandaise

Si ton objectif est de mettre un maximum d’argent de côté durant un PVT, sache que l’Australie paie bien mieux que la Nouvelle-Zélande, avec des secteurs qui peuvent te permettre de travailler énormément aux bonnes saisons, et ainsi gagner plus de 1000 AUD/sem.

Si jamais tu hésites entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande, mon guide Réussir son PVT Australie pourrait potentiellement t’intéresser, car j’y couvre tout cela en profondeur.

Revenons-en à la Nouvelle-Zélande, ce qui est merveilleux avec le système fiscal néo-zélandais, c’est que hormis entrer ton numéro de compte bancaire dans ton espace myIRD , tu n’as rien à faire.

L’année fiscale néo-zélandaise s’étend du 1er avril au 31 mars de l’année suivante . Via ton IRD, le gouvernement sait exactement ce que tu as perçu. Étant donné que tu es taxé chaque semaine en fonction du montant perçu, ton taux d’imposition peut varier. Mais tout est régularisé automatiquement à la fin de l’année fiscale.

Si tu as été trop taxé, l’argent arrivera sur ton compte quelques semaines après la fin de l’année fiscale, c’est comme ça que j’ai récupéré 1400 NZD par magie un beau matin . En revanche, si tu n’as pas été suffisamment taxé, tu seras obligé de verser le montant qui te sera communiqué.

Bref, pour conclure ce point, la question n’est donc pas de savoir si tu vas trouver un travail, mais plutôt d’apprendre comment chercher un job mieux rémunéré. Ce qu’on va voir juste après les conditions.

Avant de te rendre disponible sur le marché de l’emploi, il te faudra remplir les conditions suivantes :

  • être détenteur d’un visa de travail valable, dans notre cas, le PVT Nouvelle-Zélande
  • Avoir ouvert un compte en banque local (nécessaire pour le point suivant)
  • Demander son numéro IRD

Ce à quoi on pourrait rajouter un CV adapté à ce qu’attendent les employeurs kiwis ainsi qu’un numéro de téléphone néo-zélandais.

J’ai d’ailleurs écrit un article où je détaille comment s’occuper de ces démarches ainsi que ma première d’installation et de vie en Nouvelle-Zélande .

Pour le CV, le gouvernement a spécialement créé le site “ careers.govt.nz ” pour aider les chercheurs d’emploi à s’adapter au marché kiwi.

NOTE : Si tu n’as pas encore entamé les préparatifs d’avant-départ, où que tu es en plein dedans, j’ai également écrit (oui, j’écris beaucoup, sorry), un guide complet sur toutes les démarches à suivre dans l’ordre avant de partir en Nouvelle-Zélande .

En cherchant.

Ok, ça, c’était la réponse facile et qui ne t’aide pas beaucoup.

Pour commencer, il faut savoir qu’ il y a des secteurs qui sont plus propices que d’autres à engager détenteurs d’un visa de travail temporaire , et c’est qu’on va voir maintenant, avec quelques fourchettes de salaires.

Les secteurs professionnels les plus accessibles aux WHV

C’est probablement l’un des secteurs qui recrutent le plus de voyageurs et de travailleurs saisonniers.

Les hôtels, restaurants, bars, etc. recrutent toute au long de l’année, cependant, ces à l’approche de la saison estivale (synonyme de haute saison touristique) que les employeurs renforcent les effectifs.

Des postes de serveurs, commis de cuisine (kichen hand), derrière le bar sont principalement disponibles au printemps (de septembre à décembre, je dirais), mais également tout au long de l’été. Que ça soit dans les grandes villes comme Auckland, Wellington ou Christchurch, mais aussi dans les stations balnéaires comme à Paiha, Tauranga, etc.

C’est d’ailleurs une bonne manière de progresser en anglais tout en économisant.

Les salaires dans l’Horeca : forcément, ça dépend de l’expérience, de la région, etc. Mais souvent, les salaires pour les PVTistes sont proches du minimum wage (parfois même moins en non déclaré). La raison est que ce sont des emplois qui nécessitent peu d’expérience tout en étant très recherchés.

L’hospitality (tourisme) Les jobs liés au tourisme suivent la même logique. Postuler en printemps est une bonne période. Les agences de locations de véhicules (tout sur la location de van en Nouvelle-Zélande ici ), les stations de ski durant l’hiver, ou simplement les agences voyage recrutent pas mal pour préparer l’été également.

Où chercher ? ➤ Backpackerboard ➤ Careers dans “related jobs” ➤ Seek ➤ Trademe ➤ Indeed Le bouche-à-oreille, aller déposer des CV’s ou les groupes FB sont aussi des moyens de décrocher des jobs.

Secteur que j’ai privilégié dans un premier temps en Australie. Les avantages sont surtout des salaires plus élevés, la possibilité d’accumuler beaucoup d’heures, et souvent ça n’exige pas un niveau d’anglais très élevé.

Cela s’obtient donc au prix d’un travail souvent difficile, laborieux, répétitif et qui exige une bonne endurance. Mais la paie peut en valoir la peine.

Si tu as de l’expérience dans le bâtiment (maçon, électricien, charpentier, etc.), tu peux rapidement obtenir des salaires très intéressants (30 NZD/h ou plus). Surtout si tu obtiens des certifications ou des diplômes reconnus en Nouvelle-Zélande.

Salaires dans le bâtiment : c’est très variable, surtout que le salaire minimum évolue pas mal ces dernières années, donc le marché bouge aussi. Disons que tu peux obtenir du 20 à du 23 NZD/h. Et ça peut évidemment monter si tu fais des heures supplémentaires.

Où chercher ?  ➤ Seek ➤ Trademe ➤ Backpackerboard ➤ Indeed ➤ Hays

Impossible de passer à côté du travail devenu le symbole du backpacker, le fruit picking ou le ferme en ferme.

travailler en australie fruit picking

Mes 3 mois de fruit picking en Australie

La récolte de fruits et l’aide aux fermiers locaux est l’une des raisons pour laquelle le Programme Vacances Travail a été créé. C’est un secteur qui recrute toute l’année à condition d’être prêt à se déplacer sur les 2 îles.

Les principales régions de fruit picking sur l’île du Nord :

  • Bay of Plenty
  • Hawke’s Bay

Les zones de récoltes de l’île du Sud :

Les salaires en fruit picking : Les jobs en ferme (que ça soit du picking, du pruning ou du thining) sont soit payés au rendement (en fonction de ta rapidité (kilos récoltés, arbres plantés ou coupés, etc.) soit à l’heure. Pour le rendement, ne pas confondre travailler rapidement et “bâcler pour aller plus plus vite”, les fermiers ont l’habitude et n’hésitent pas à licencier sur le champ (littéralement). Mais même si tu es payé(e) au rendement, le salaire minimum est d’application. Impossible de donner une fourchette, trop de paramètres indépendants entrent en compte, certains peuvent gagner plus de 1000NZD par semaine, d’autres gagneront péniblement le minimum.

Où chercher ?  ➤ Picknz ➤ Backpackerboard ➤ Pinckingjobs ➤ TradeMe Il y a également des groupes FB dédiés au fruit picking en N-Z. Et le démarchage en personne se fait aussi beaucoup.

Le travail sur base de volontariat est très répandu en Océanie. On peut trouver des centaines d’opportunités et d’hôtes  la recherche d’aide sur les plateformes HelpX ou Wwoofing .

Le principe est de travailler environ 5 heures par jour en échange d’être logé, nourri et blanchi. Et généralement, ça signifie vivre avec une famille kiwi et en profiter pour découvrir leur mode de vie, leur culture et échanger.

J’ai moi-même passé mes 2 derniers mois et demi à vivre chez l’habitant, j’ai d’ailleurs rédigé un guide complet avec mes retours d’expérience sur le HelpX / Wwoofing en Nouvelle-Zélande .

D’abord environ 2 semaines à Cheviot, sur l’île de Sud. Puis 2 mois sur l’île du Nord, chez Don et Sue, et j’en des super souvenirs.

travailler en nouvelle zelande wwoofing

Mon premier HelpX sur l’île du Sud

Trouver un job mieux payé en 3 étapes

Pour moi, il y a 2 types de chercheurs d’emploi “PVTiste” :

  • Ceux qui cherchent un petit job sympa avec un certain confort de vie, une bonne vie sociale, en pouvant sortir, etc. (c’est ce que j’ai fait à Perth pendant 5 mois quand j’étais en colocation et j’ai adoré cette période)
  • Ceux qui veulent maximiser leur temps et vraiment dédier une période donnée à économiser un maximum pour profiter pour la suite

J’étais clairement dans la 2e catégorie à mon arrivée en N-Z, et si j’ai pu économiser 15 000 NZD en 5 mois, c’était en respectant ces 3 points que j’ai très sobrement appelé la technique de “l’isolé déterminé” :

Le premier conseil que j’ai reçu de la part de Léo, mon hôte Couchsurfing lorsque je suis arrivé, c’est de quitter Auckland si je voulais trouver un job bien payé.

Et ça parait logique, la concurrence est bien plus grande à Auckland ou Wellington que dans un petit village perdu d’Hawkes Bay.

C’est pour cette raison qu’après 5-6 jours, le temps de m’occuper des démarches, je suis parti vers Napier, avec mes 500 NZD restants. J’avais obtenu séance d’informations pour un job dans une usine après être tombé sur un post dans un groupe FB (groupe international).

[optinform]

Promettre, c’est facile, on est d’accord. Mais d’une manière ou d’une autre, cherche à te renseigner sur le job qui t’intéresse et la possibilité d’accumuler des heures.

L’annonce à laquelle j’avais postulé décrivait le job comme “physically demanding, repetitive, hard work, long hours (up to 70 hours per week during peak season), isolated area.”

Bon nombre de backpackers renonceraient déjà en lisant ça. J’avais pour objectif d’économiser au moins 10 000 NZD en 5 mois, car je voulais un van, mais aussi assez pour profiter durant le road trip pour lequel Theresa me rejoindrait (ma copine, qui était encore aux études en Allemagne durant mon PVT).

Donc ce n’était pas avec 700NZD par semaine que j’allais y arriver.

Et, c’est donc comme cela que j’ai réussi à économiser environ 15 000 NZD (14 800, pour être exact). Ce qui m’a aussi permis de m’acheter mon premier appareil photo “pro” d’occasion et de découvrir la photographie !

  Voir cette publication sur Instagram   Une publication partagée par 🇧🇪 ᴊᴇʀᴇᴍʏ | ʙʟᴏɢᴜᴇᴜʀ ᴠᴏʏᴀɢᴇ (@jeremybackpacker) le 18 Juin 2019 à 4 :01 PDT

C’était au prix de 5 mois très intenses et durant lesquels j’étais très isolé, donc ça n’est pas quelque chose pour tout le monde. Je détaille un peu les circonstances plus bas. Mon but n’est pas de faire croire que c’était facile, loin de là.

Travailler en nouvelle zelande pauvre

Un compte en banque à renflouer tu dis ?

C’est intimement lié au fait de “fuir” les grandes villes. Car louer un logement ou une colocation en ville sera clairement plus cher que dans un petit village perdu. À cela s’ajoutent les sorties hebdomadaires, tous les petits extras qu’on s’accorde, etc.

Deux jours après la séance d’info, j’apprenais que j’étais pris pour du packing, il était temps, car une semaine plus tard, à la veille de ma première paie et après avoir avancé ma semaine de logement, mon compte en banque passera en négatif haha (ne rien dire à sa mère à ce moment-là !)

Pour le logement, il y avait un caravan park (un camping payant) à 15 minutes de mon lieu de travail géré par un couple de Kiwis adorables.

Ils me proposaient une caravane aménagée pour 180 NZD par semaine, ce que je trouvais un peu cher, et je leur ai dit “Je suis ici pour 5 mois, si vous me la laissez à 150 per week, je reste ici, sinon je continue mes recherches”.

Et j’avais donc économisé économisé 30 NZD x 4 x 5 = 600 NZD avant même de commencer à travailler.

Et un logement à soi, à 15 min en vélo du travail (car oui, j’ai acheté un vélo seconde main pour 70NZD aussi), pour 150NZD par semaine, c’était déjà une belle victoire.

Ce n’était pas le grand luxe, je devais utiliser les douches et la cuisine du camping (donc communs), mais j’avais mon espace à moi, avec électricité, wifi, frigo, télé, lit double, etc. Bon si, le grand luxe, disons-le.

partir travailler en nouvelle zelande

Travailler en vivant dans une caravane pendant 5 mois en NZ, done.

On va parler du bilan “financier”, et notamment de mes dépenses hebdomadaires, qui étaient principalement :

  • Logement : 150 NZD
  • Nourriture* : +- 70 NZD * Je n’étais pas encore 100% végétarien à l’époque, mais je réduisais déjà drastiquement ma consommation de viande/poisson, ce qui aide pas mal à réduire les dépenses alimentaires. Il n’y avait un qu’un “New World” dans mon village, qui était donc plus cher qu’un Pack N Save.
  • Téléphone : 12,5 NZD
  • Extras (manger à l’extérieur, etc.) : 15 NZD

Soit un total de 247,5 NZD (140€) par semaine.

Les premières semaines, c’était assez lent, je faisais assez peu d’heures, même à 24NZD/heure (brut), je ne gagnais que 500 NZD.

Ensuite, j’ai commencé à faire des semaines de 40 heures, et là je commençais à gagner +- 850$ par semaine (après taxes).

Mais une fois que le pic de production est arrivé (cela a duré environ 7 semaines sur les 5 mois), j’ai fait jusqu’à 70h / sem. Je travaillais presque 12h/jour avec des heures supplémentaires et des samedis mieux payés (150%), je montais donc à 1100-1300 NZD par semaine (en étant bien plus taxé, ce qui explique pourquoi j’ai retouché autant à la fin de l’année fiscale).

Et c’est durant ces 7 à 9 semaines que j’économisais jusqu’à 8-900 NZD chaque semaine. Pour finalement, au bout de 5 mois, avoir économisé un total de 14 800 NZD, soit 8 300€.

Comme je le disais, c’était tout sauf facile, je me levais à 5h tous les matins (qu’on fasse 4h ou 12h, on démarrait à 6h) et je rentrais à 18h30 (durant le pic). Je devais ensuite prendre ma douche, me faire à manger, préparer le lunch du lendemain, et je m’endormais éclaté à 21h. Et ce, 6 jours par semaine. Pendant 6 – 7 semaines.

Je ne sais pas trop ce que je « packais », et je m’en foutais, mon job c’était ça . À longueur de journée. Ce mec fait honte à notre profession, je te garantis qu’on packait un carton tous les 10-12 secs par moment, et même si en vidéo ça a l’air ok, fais ça 10h avec des caisses de 15-20kgs…

On avait des pauses de 15 min toutes les 2h30, et voilà.

J’ai cependant eu la chance de tomber sur l’un des meilleurs campings de la région. Je n’ai sincèrement jamais vu de camping aussi bien entretenu, équipé, et propre que celui où j’ai résidé. Les gérants m’adoraient et cet endroit m’a permis de tenir le coup, car c’était très calme, avec des grands espaces verts.

vivre et travailler en nouvelle zelande

Mon humble logement (dénommé Hilton, haha)

Les quelques Kiwis qui y habitaient étaient également des personnes adorables, et je rencontrais très régulièrement d’autres voyageurs de passages avec qui je finissais pas discuter certaines soirées.

J’étais à côté d’une piscine et d’une salle de sport, ce qui m’occupait pas mal aussi !

Paradoxalement, je ne conseille pas cela à tout le monde. C’est certain qu’avec une telle somme j’ai pu m’acheter un super van, profiter pleinement d’un mois et demi de road trip et n’ai plus eu à travailler (autre que du helpx) avant de rentrer.

Mieux, en revendant le van je suis même rentré en Belgique avec une belle petite somme.

Mais, comme déjà dit, la plupart du temps, j’étais le seul backpacker, le travail était très physique et usant mentalement. Le travail à la chaine en usine est assez inhumain (du moins, où j’étais).

C’est la raison pour laquelle les autres backpackers ne faisaient que quelques semaines.

Je me suis dépassé mentalement, ça oui. J’ai tenu, dans une région pas très accueillante ni habituée aux étrangers. (Certains villages de Maoris sont loin d’être ceux qui sont présentés sur les brochures pour touristes, mais c’est une réalité, alcool, drogues,..).

Mais je sors grandi de cette expérience et d’avoir tenu le coup. Je peux te dire que dès la première semaine de road trip avec Theresa, au volant de mon propre van sur la 90 miles beach, j’avais tout oublié de ces 5 mois de travail.

road trip nouvelle zelande 90 miles beach

La vie, la vraie

Et rentrer à la maison avec quelques milliers d’euros après 8-9 mois en Nouvelle-Zélande et 500€ de départ, c’est incroyable je trouve . Et il est là l’objectif de cet article, te montrer que c’est possible .

Maintenant, à toi de voir si tu préfères gagner “moins” mais davantage profiter de l’expérience, ce que parfois je me dis que j’aurais dû faire, quand je repense à mes 5 mois à Perth ou à mes 3 mois de fruit picking en Australie, desquels je garde une expérience humaine incroyable.

Bref, j’espère que cet article t’aura apporté des informations utiles et pratiques sur le marché du travail en Nouvelle-Zélande ainsi qu’un regard plus concret sur à quoi peut ressembler la vie de backpacker, bien que mon cas soit un peu singulier, je te l’accorde !

Si tu apprécies ce blog et que tu veux me donner un petit coup de pouce, n’hésite pas non plus à :

  • Me faire part de tes questions, tes conseils ou tes remarques via l’espace commentaires. Ou simplement me faire savoir tu as apprécié l’article, ça fait toujours plaisir pour le temps investi !
  • recommander ou partager   cet article ou ce blog  si l’occasion se présente (en réponse à une question dans un groupe FB, par exemple) ou simplement en parler, le bouche-à-oreille m’aide beaucoup en tant que blogueur indépendant. (Et si tu tiens un blog, tu peux mentionner ce blog et je viendrai jeter un oeil donc, dis-le-moi!)
  • Penser à mon code partenaire JEREMYAVA si tu choisis de souscrire au plan santé WHV de GobyAVA  (tu peux aussi le recommander à tes potes, ça m’aide beaucoup!).

Partir travailler en Nouvelle-Zélande | les liens pratiques : ✈️ Pour réserver ton vol,  NZVoyages  (-10€ avec JEREMYNZ) 🚑 Pour partir bien assuré : le  Plan Santé WHV de GobyAVA  (5% avec JEREMYAVA) 🛏 Pour réserver ton logement :  Booking  ou  Airbnb 🚐 Si tu souhaites réserver ton van / camping-car par toi-même  Motorhome Republic 📸 Pour me retrouver et échanger :  Instagram

Merci de m’avoir lu jusqu’ici en tout cas !

Backpackeusement,

Ça devrait aussi t'intéresser !

Assurance pvt (australie, nouvelle-zélande,..) – le grand comparatif 2024/25, assurance pvt nouvelle-zélande : bien choisir son assurance whv [guide 2023/24], partir en nouvelle-zélande : préparer son pvt en 9 étapes , laisser un commentaire annuler la réponse.

Sauvegarde mon nom, mon email et mon site pour mon prochain commentaire.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées .

20 Commentaires

' src=

Salut Jeremy ! Merci pour cet article ! J’ai une petite question qui va peut être paraitre stupide, mais existe t-il des lieux où il est possible de travailler (ainsi recevoir un salaire) ET d’être logé ? Je pensais au fruit picking où il sera éventuellement possible de travailler la journée et dormir dans la ferme ou autre. Voilà Voilaà 🙂

' src=

Hello Margaux,

Oui, ça existe, c’est même assez courant pour les jobs destinés aux PVTistes / backpackers vu que tu dédies tes journées à travailler pour économiser, c’est plus simple de vivre sur place où à proximité (puis tu vis avec d’autres voyageurs, donc c’est une sacrée expérience).

Sinon il y a aussi le principe du helpx, j’ai un article sur le sujet également.

Au plaisir,

' src=

Coucou Jeremie,

J’ai vriament adoré lire ton expérience là bas. Dis moi, si jamais tu souhaites immigré là-bas, c’est quoi les procédures ? Et aussi, es ce que tu pense que ça serait un bon choix de rester en NZ?

Bonjour Leticia,

Pour être honnête avec toi, j’ai adoré mon PVT en Nouvelle-Zélande, mais j’étais également content de rentrer après. Ça reste l’autre-bout du monde et il y a moins de voyageurs solo qu’en Australie, par exemple.

Je pense sincèrement qu’avant de se poser ce type de question, il faut aller vivre sur place pendant X mois (via PVT par ex) puis voir si c’est ce que l’on veut.

' src=

Salut Jérémy ! Déjà merci beaucoup pour cet article, il est utile et bien écrit, c’est la deuxième ou troisième fois que je le lis. Je suis actuellement en NZ, à Christchurch, je suis arrivé à l’arrache dans une auberge de jeunesse à 70$ la nuit, je douille un max. J’aime beaucoup ta solution de vivre dans une caravane aménagée pour si peu. Es ce que tu sais si ça se fait encore ? Sur Internet les caravan park coutent au moins aussi cher, voire plus cher que les chambres dans l’auberge de jeunesse… Un tuyau ? Es ce que tu connaitrai un caravan park comme celui où tu était, mais dans l’île du Sud ? Je suis prêt à bouger, je n’ai pas encore de travail. Merci encore pour ton article !

Hello amigo !

Ouch 70$ ça pique oui. Je ne sais pas si je l’explique dans cet article-ci, mais je suis arrivé en NZ et j’avais trouvé un hôte Couchsurfing pour une semaine, et j’en ai profité pour faire un maximum de recherches pour un job (en dehors des grandes villes ça paie mieux en général), et une fois que j’avais trouvé, je me suis rendu dans ce petit bled perdu de Wairoa, où j’ai fini par trouvé ce bon plan logement / caravane (que j’ai bien négocié vu que c’était pour une longue période).

Donc je te conseillerais plutôt de trouver un bon plan job (surtout qu’ils manquent de main d’oeuvre en Océanie depuis 2 ans et demi) ET ENSUITE de trouver un logement à proximité, plutôt que de chercher un logement d’abord (où il n’y aura pas forcément de job intéressant).

Puis comme expliqué, si tu prends un logement pour X mois, il ne faut pas hésiter à négocier sur le prix, pour eux c’est souvent intéressant d’avoir des locataires “long terme” aussi.

Pas vraiment de plan logement dans le sud non, on y est allé essentiellement pour le road trip, mais il y avait pas mal de plans HelpX / workaway de mémoire (ça peut dépanner).

EN espérant t’avoir apporté quelques pistes !

' src=

Salut jeremy !

Merci beaucoup pour ce blog !Je prévois de partir en octobre 2022 si la crise sanitaire me le permet….

J’ai cependant quelques questions pour pouvoir partir là-bas notamment sur mon statut (j’avais prévu de juste faire un road trip en van de 4/ 5mois et pas forcément travailler car j’économise depuis 1 an déjà pour partir) J’aimerais pouvoir discuter avec toi sur d’autres points.

Merci pour le temps que tu prendras à me lire.

Hello Mélissandre !

Je te le souhaite sincèrement !

Niveau statut, moi je te recommande fortement le Working Holiday Visa (si tu remplis toutes les conditions), c’est de loin la meilleure option et la plus simple pour passer une année en NZ. Mes connaissances / mes compétences s’arrêtent à ce visa-là. Donc si tu penses à d’autres types de visa, je peux difficilement t’aider, simplement car je ne suis pas qualifié pour.

En plus de ça, je crains que la réouverture de pays comme l’Australie ou la NZ ne se fassent qu’à des conditions très strictes et progressivement (selon certains types de visa), donc il faudra suivre cela de près.

' src=

Bjr à toi. Très beau ton exposé et ton expérience. Je voulais savoir si tu es sans papier du genre Visa tourisme il s’est expiré et que tu ne veux rester en NZ. C’est quoi la procédure ? Merci de me répondre

Bonjour Cédric !

Je n’ai jamais été dans cette situation donc je peux difficilement te conseiller. Ce qui est certain que je te déconseille de rester sans visa car tu serais dans l’illégalité. Soit il faut refaire une demande de visa (tourisme ou autre) depuis la N-Z, soit aller dans un autre pays le temps de refaire une demande pour un nouveau visa néo-zélandais.

' src=

C’est sur qu’ils veulent plus d’ingenieurs et de personnes à haut poste quand le salaire est d’en general taxé à 46 % pour les revenus de ces gens là souvent supérieur à 70k venez vous êtes les bievenues !

Je t’avoue ne pas trop comprendre le but de ton message, si ce n’est décourager ceux qui aimeraient s’expatrier ?

Après, entre-nous, ce blog étant surtout dédié aux backpackers, peu s’envolent avec l’intention de finir ingénieur.

Il n’y a pas que l’argent qui compte, je serais prêt à gagner moins pour vivre dans un endroit où je me sentirai plus épanoui.

' src=

salut Geremy, j’ai lu avec beaucoup d’intérêt ta story. Trop cool ton abnégation et ta détermination. Nous ici aux UAE nous vivons pratiquement la même expérience. mais dis grand Geremy, je suis intéressé par le voyage en Nouvelle Zélande. comment faire? Quelles conditions faudrait-il remplir pour y arriver? C’est quoi la signification de PVT stp?. Merci encore pour ta belle story

Bonjour Mamouda,

(Petite précision, moi c’est Jérémy, mais tu salueras Gérémy de ma part, haha).

J’explique les bases du PVT (Permis Vacances Travail) en Nouvelle-Zélande ici : https://www.jeremybackpacker.com/pvt-nouvelle-zelande/ Ainsi que tous les préparatifs ici : https://www.jeremybackpacker.com/partir-en-nouvelle-zelande/

Enfin, tu retrouveras la liste des pays éligibles (c’est à dire qui ont accès à ce visa PVT) ici : https://www.immigration.govt.nz/new-zealand-visas/options/work/thinking-about-coming-to-new-zealand-to-work/working-holiday-visa

Bon courage !

' src=

Bravo mec pour ton abnégation. Je suis aussi en nouvelle zelande et je me demandais si ton usine fonctionne en suivant les saisons où pas du tout? Desolé pas assez de data pour regarder la vidéo (tu dois savoir ce que c’est). Ca m’intéresserait de travailler dans ce genre de boulot pour financer mon voyage en asie. Merci bien et continues à voyager de la sorte

Yo Romain, merci de m’avoir lu ! Yes, c’est saisonnier et ça ne reprend pas avant novembre. La raison pour laquelle je ne cite (volontairement) pas l’usine, c’est parce qu’ils ne veulent plus de backpackers “malheureusement”. Ça fait 3-4 ans qu’ils en prennent et malgré un contrat de 3 mois minimum, la majorité des backpackers se barrent (parfois sans prévenir) après 3-4 sem max. Et ils se retrouvent en sous effectif.. Durant ma saison là-bas on a démarré à 8-9 et la preuve en est après 4 sem 6 étaient partis.. Et j’ai été le seul à faire plus de 3 mois.. Mais y a des plans picking où tu peux bien gagner aussi et en plus tu auras le côté “famille” entre backpackers qui là-bas m’a clairement manqué, bon courage amigo !

' src=

Ah ça m’a rappelé des souvenirs ton article ! Après 3 mois en NZ j’ai décidé de rester 6 mois au lieu des 6 prévus mais il me restait 100NZD donc pas le choix, boulot! Je me suis tapée l’usine de packing pendant 5-6 semaines avec les 12h de boulot samedi et dimanche compris et les 3 premiers jours, je me suis dis que je ne tiendrais pas. En plus, interdiction d’utiliser des écouteurs et de discuter, on devait être focus focus focus. Heureusement, on était que des backpackers et l’ambiance était malade (quand la manager en chef n’était pas là pour nous engueuler haha) et l’entreprise avait loué tout un camping rien que pour les travailleurs donc c’était chouette de voir les gens le matin en se levant à 5h 😊 Bref, merci pour cet article qui m’a rappelé ma fierté aussi d’avoir tenu et les chouettes rencontres que j’y ai fait 😊

Hello Garance ! Merci pour ton commentaire 🙂 Yes c’est clairement le genre d’épreuve dont on sort grandi et très fier ! La solidarité et l’esprit “famille” entre backpackers, c’est également avant tout ce que je retiens de mes périodes boulot en Australie, du coup ça reste clairement de super expériences humaines. Mais dans ce cas-ci c’était vraiment pas le cas, d’où la question à la fin que je soulève “est-ce que ça valait la peine d’user 5 mois de PVT pour autant en chier?” Alors oui pour le van et le roadtrip mais malheureusement pas vraiment de positif à garder de cette période en tant que telle. 🙂

' src=

Franchement, j’applaudi mec ! La Belgique est fier de toi ! Tout est possible, ilnfaut se donner la volonté et le courage quand on veut quelque chose et tu as su le prouver. J’ai suivi tes story insta et la légende Taun, la team grille pain… (papyjacko sur IG , On a déjà échangé un peu pendant ton séjour en caravane)

Merci beaucoup mec, ça fait plaisir. Yes en PVT tout est possible, faut juste vraiment le vouloir et s’en donner les moyens. Voyager n’est pas tout rose et c’est cette réalité que je m’efforce de partager autant que je peux.

Yes je vois très bien qui t’es no worries amigo haha 🙂

Des cookies sont utilisés sur ce blog pour te garantir la meilleure expérience. Continue pour accepter. D'accord En savoir plus.

travailler-en-nouvelle-zelande-job

  • Nouvelle Zélande
  • Se connecter
  • S'inscrire
  • Guide de l'expatrié
  • Les visas professionnels en ...

Les visas de travail en Nouvelle-Zélande

Visas de travail pour la Nouvelle-Zélande

La Nouvelle-Zélande, réputée pour offrir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée, figure souvent en tête de liste des pays où il est le plus souhaitable d'émigrer. Toutefois, si vous souhaitez séjourner en Nouvelle-Zélande plus de quelques mois, vous devrez demander un visa . Il existe de nombreuses possibilités de visa de travail en Nouvelle-Zélande , et vous devez déterminer quel visa correspond le mieux à vos compétences, ainsi qu'à l'objectif et à la durée de votre séjour.

Auparavant, l'un des moyens les plus populaires d' émigrer de manière permanente en Nouvelle-Zélande pour y vivre et y travailler consistant à demander un Skilled Migrant Category Resident Visa (visa de résident de la catégorie des migrants qualifiés), mais ce processus de demande est sur le point d'être remanié. En 2022, la Nouvelle-Zélande a annoncé le nouveau Straight to Residence Visa, le Work to Residence Visa, et a introduit le système de la liste verte, que nous allons détailler ci-dessous.

Le Skilled Migrant Category Resident Visa (visa de résident pour les migrants qualifiés)

Le visa de résident pour les travailleurs qualifiés de la catégorie des compétences est une autorisation de séjour permanente qui permet à ses titulaires de travailler, étudier et vivre en Nouvelle-Zélande. Ce visa est accessible aux personnes âgées de 55 ans ou moins qui possèdent des compétences qui sont jugées bénéfiques pour l'économie de la Nouvelle-Zélande. Les membres de la famille, y compris les partenaires et les enfants, sont également éligibles pour immigrer en Nouvelle-Zélande en tant que titulaires de ce visa.

L'admissibilité est évaluée selon un système de points et les candidats doivent obtenir un score supérieur à 180 points pour pouvoir soumettre une demande de visa à partir de novembre 2022. La compétence en anglais est également un critère important. Ce visa est principalement destiné aux personnes qui ont l'intention d'être employées en Nouvelle-Zélande. Les travailleurs indépendants ou ceux qui cherchent à établir une entreprise peuvent envisager de demander un visa de résident entrepreneur.

Même s'il n'y a pas d'exigence selon laquelle vous devez avoir une offre d'emploi pour obtenir ce visa, avoir une offre d'emploi peut augmenter considérablement votre score de points dans le système décrit ci-dessus et améliorer vos chances d'obtenir le visa.

La procédure de demande de visa de résident pour les migrants qualifiés se compose de quatre étapes :

  • Présenter une expression d'intérêt (Expression of Interest- EOI)

L'expression d'intérêt est une demande initiale qui permet à Immigration New Zealand d'évaluer vos compétences, vos qualifications et votre capacité globale à vous installer en Nouvelle-Zélande à l'aide d'un système de points. Il est important de vérifier votre score avec l' indicateur de points avant de remplir une EOI pour voir si vous pouvez prétendre au visa. Si vous obtenez 100 points ou plus, vous êtes éligible pour soumettre une EOI.

Actuellement, toute personne ayant moins de 180 points n'est pas admise dans le groupe de sélection, mais cela pourrait changer en fonction des besoins économiques et de l'immigration dans le pays. La soumission d'une EOI est gratuite et la procédure devrait prendre environ deux heures. Vous pouvez soumettre une EOI en ligne après avoir créé un compte en ligne avec Immigration New Zealand .

      2. Invitation à déposer une demande

Après une interruption des nouvelles expressions d'intérêt en raison de la pandémie de Covid-19, Immigration New Zealand a rouvert son système d'EOI en novembre 2022. Comme un grand nombre d'EOI est attendu, le traitement des demandes et la prise de contact avec les candidats pourraient prendre plus de temps que d'habitude. L'immigration évaluera l'exactitude de votre demande de points et, si vous remplissez les critères, vous serez invité à soumettre une demande de visa.

     3. Soumettre une demande

Vous recevrez un formulaire de demande de séjour dans la catégorie des migrants qualifiés. Remplissez-le et envoyez-le à Immigration New Zealand avec les frais d'application et les documents justificatifs nécessaires. Si l'anglais n'est pas votre langue maternelle, vous devrez peut-être passer un test d'aptitude en anglais.

Les documents requis sont les suivants : 

  • Une photo du/des demandeur(s) ;
  • Une copie des passeports des demandeurs ;
  • Certificats de police pour tout membre de la famille âgé de 17 ans ou plus.

D'autres documents peuvent être demandés, tels que

  • Documents d'emploi ;
  • Relevés de notes/attestations de qualifications ;
  • Documentation relative à l'expérience professionnelle pour vous et votre partenaire ;
  • Preuves de votre relation avec votre partenaire ;
  • Preuves de votre niveau d'anglais ou les résultats d'un test d'anglais.

     4. Décision relative à la demande

Immigration New Zealand prendra la décision finale quant à savoir si vous remplissez tous les critères. Ceux-ci comprennent l'identité, le caractère, la santé, la langue, l'âge et les compétences. La décision finale peut prendre jusqu'à six mois, mais ce délai est susceptible d'être modifié.

Bon à savoir :

Le Ministry of Business Innovation and Employment envisage des changements pour la catégorie des migrants qualifiés, qui pourraient être mis en place à l'avenir.

A lire également Travailler en Nouvelle-Zélande

Visas "Straight to Residence" et "Work to Residence"

Immigration New Zealand a élaboré une Green List qui permet aux expatriés de déterminer si leur spécialité est éligible à un visa "Tier 1 Straight to Residence" ou "Tier 2 Work to Residence". La Green List permet de déterminer les qualifications, les enregistrements ou les expériences requises pour chaque secteur d'activité ou fonction. Ce système vise à simplifier le processus d'immigration pour les candidats qualifiés travaillant dans des secteurs en manque de main-d'œuvre en Nouvelle-Zélande.

Afin de se qualifier pour la catégorie Tier 1, il est nécessaire de travailler pour un employeur accrédité ou d'avoir reçu une offre d'emploi de la part d'un tel employeur, et de répondre aux exigences de la liste verte relatives à votre fonction. Si vous possédez déjà un visa de travail et que vous êtes présent en Nouvelle-Zélande, vous pouvez demander le visa "Straight to Residence" pendant votre séjour, ou effectuer votre demande depuis l'extérieur du pays. Tout comme pour la catégorie des migrants qualifiés, les candidats doivent avoir moins de 55 ans, satisfaire aux exigences de la langue anglaise et peuvent inclure des personnes à charge et des conjoints dans leur demande.

Comme pour la catégorie Tier 1, la catégorie Tier 2 offre également une opportunité aux individus ayant travaillé au moins deux ans dans une profession de la liste verte Tier 2 (et répondant à toutes les exigences de la liste pour cette profession) de demander la résidence dans le cadre de la catégorie Work to Residence à partir de septembre 2022.

Autres options de visa en Nouvelle-Zélande

Si le Skilled Migrant Resident Category Visa ou la Green List ne correspondent pas à votre situation, il existe d' autres catégories de visas de travail pour la Nouvelle-Zélande . Toutefois, plusieurs d'entre eux ont des spécificités, donc il est recommandé de vérifier la liste complète en ligne pour savoir si l'un de ces visas convient à votre situation. Voici une sélection des visas de travail disponibles :

Visa de travail pour entrepreneur

Si vous souhaitez créer votre propre entreprise en Nouvelle-Zélande plutôt que d'être employé, ce visa est la meilleure option . Pour y être admissible, vous devez investir 100 000 dollars néo-zélandais, avoir un plan d'affaires et être en mesure de marquer 120 points sur l'échelle de points. Ce visa permet aux personnes sélectionnées de rester jusqu'à trois ans en Nouvelle-Zélande et autorise l'inclusion de partenaires et d'enfants à charge.

Dans certaines circonstances, si votre entreprise relève des secteurs de la science ou des technologies de l'information et de la communication, l'immigration peut renoncer à l'exigence d'un investissement en capital de 100 000 dollars néo-zélandais.

Visa de travail post-études

Ce visa est destiné aux personnes qui viennent de terminer leurs études en Nouvelle-Zélande . Il permet aux demandeurs de rester et de travailler dans le pays pendant trois ans, en fonction de leur diplôme . Dans cette catégorie, le partenaire du demandeur peut également demander un visa de travail, tandis que les enfants peuvent étudier gratuitement en tant qu'étudiants nationaux.

Visa de travail pour les talents (arts, culture, sports)

Demandez ce visa si vous possédez un talent exceptionnel dans les arts, les sports ou d'autres domaines culturels. Les candidats doivent être parrainés et soutenus par une organisation néo-zélandaise reconnue dans leur domaine. Ce visa permet aux candidats retenus de travailler pendant 30 mois et, s'ils sont approuvés pour la résidence, de rester indéfiniment. Il est destiné aux personnes de moins de 55 ans et ne peut pas inclure les conjoints ou les enfants, bien qu'ils puissent demander leur propre visa en fonction de leur relation avec vous.

A lire également Voyager en Nouvelle-Zélande

Visa de travail pour les artistes

Ce visa est destiné aux personnes travaillant sur un projet spécifique en Nouvelle-Zélande pour une durée limitée. Les demandeurs doivent posséder des compétences qui ne sont pas disponibles dans le secteur du divertissement en Nouvelle-Zélande. Les demandeurs peuvent rester dans le pays pour toute la durée du projet et doivent travailler pour l'employeur auprès duquel le visa a été demandé.

Visa de travail pour le partenaire d'un Néo-Zélandais

Ce visa est destiné aux personnes dont le partenaire est citoyen ou résident néo-zélandais. Pour être éligible à cette catégorie de visa, vous devez prouver que votre relation est authentique et stable. Si le visa est accordé, vous pouvez travailler et étudier pendant trois mois en Nouvelle-Zélande. Les candidats retenus peuvent bénéficier de ce visa pendant deux ans, mais avant son expiration, ils peuvent demander à résider en Nouvelle-Zélande sur la base de leur partenariat.

Visa vacances-travail

La durée de votre visa vacances-travail varie selon votre pays d'origine, mais il vous permet généralement de travailler tout en voyageant à travers la Nouvelle-Zélande . Ce visa est réservé aux personnes âgées de 18 à 35 ans et ne constitue généralement pas une option à long terme. Il est destiné aux personnes travaillant de manière plus occasionnelle dans le secteur du tourisme ou de l'horticulture tout en suivant un itinéraire touristique. Pour plus d'informations, consultez notre article sur le visa Vacances-Travail en Nouvelle-Zélande .

Visa de nomade numérique

Bien que la Nouvelle-Zélande ne dispose pas actuellement d'un visa de nomade numérique, les nomades numériques et les travailleurs à distance peuvent demander un visa de visiteur ou un visa Vacances-Travail, qui leur permet de rester dans le pays pendant 12 mois (ou jusqu'à 23 mois s'ils viennent de juridictions comme le Royaume-Uni ou le Canada). Selon certaines informations, le ministère de l'entreprise, de l'innovation et de l'emploi (MBIE) envisage de créer une catégorie de visa pour les nomades numériques en 2022.

Veedushi

Détentrice d'un diplôme approfondi de langue française, j'ai été journaliste à Maurice pendant 6 ans. Je compte plus d'une dizaine d'années d'expérience en tant que rédactrice web bilingue à Expat.com dont cinq au poste d'assistante éditoriale.

Le programme Vacances-travail en Nouvelle-Zélande

L'idée de vivre à l'étranger pendant un an, de trouver de petits boulots pour pouvoir ...

Visa vacances-travail : comment ça marche ?

Vous avez envie de découvrir la Nouvelle-Zélande tout en ayant la possibilité de travailler ...

Travailler en Nouvelle-Zélande

Au fil des années, la Nouvelle-Zélande est devenue une destination de choix pour les professionnels ...

Se déplacer à Auckland

Se déplacer à Auckland peut être difficile, y compris pour les habitants locaux, mais il est ...

Se loger en Nouvelle-Zélande

Il y a de fortes chances pour que vous ne vous lanciez pas directement dans l'achat d'un bien ou la ...

Se loger à Auckland

Auckland est une belle ville côtière au climat doux et à la population diversifiée ...

Elargissez votre recherche à tout le forum Nouvelle Zélande

voyage nouvelle zelande travail

Radio les français dans le monde

Travailler en Nouvelle Zélande, le guide complet

Comment décrocher un emploi en Nouvelle Zélande ? Comment obtenir un permis de travail ? Quelles sont les conditions de travail ? Lepetitjournal.com vous propose un guide complet de ce qu'il faut savoir pour travailler en Nouvelle Zélande en 2023. 

travailler en nouvelle zélande en 2023, un jeune dans un café au téléphone

Comprendre le marché de l’emploi en Nouvelle Zélande  

À partir des années 1890, le paysage économique et social de la Nouvelle-Zélande change rapidement . Le pays se lance dans la révolution industrielle, ce qui attire de nouveaux immigrants, venus d’Europe. A cette même époque, le pays entreprend d’importantes réformes de fond concernant la législation du travail et la protection sociale. La Nouvelle-Zélande devient ainsi en quelques années l’État le plus avancé du monde en matière sociale. Au début du XXème siècle, de nouvelles mesures sont prises par le gouvernement libéral de Dock Seddon, puis par le gouvernement travailliste de Michael Savage : la semaine de 48 heures (1894) puis de 40 heures (1935), des systèmes de retraites (1898), de la sécurité sociale généralisée (1938). 

Dans les années 1980, le gouvernement lance un vaste chantier de réformes économiques et sociales pour dynamiser la compétitivité du pays et s’ouvrir au marché mondial. Dans les années 2000, face à l’insuffisance de compétitivité de l’économie néo-zélandaise, l’heure est à la restauration d’une démocratie industrielle et pro-syndicale. En 1985, 43,5% de la main-d'œuvre totale est syndicalisée. Dans les années 2010, le pays a un secteur tertiaire puissant, représentant 70% du PNB, mais son secteur primaire reste primordial (agriculture, élevage, horticulture, pêche et forêts) avec 149.000 salariés, soit 6,8% de la main d’œuvre totale. De plus, les petites et moyennes entreprises sont très nombreuses, surtout dans le milieu agricole . L’économie de la Nouvelle-Zélande est même qualifiée de « micro-business ».  Aujourd’hui, le marché du travail se porte plutôt bien, mais reste « tendu » . La fermeture des frontières du pays pendant la pandémie de Covid-19 a créé un fort besoin de main d’œuvre que le pays essaye de pallier.

« Le monde entier connaît des pénuries de main-d'œuvre en ce moment. Depuis la réouverture de nos frontières, le gouvernement a pris un certain nombre de mesures pour aider les entreprises à recruter à l'international pour combler ces pénuries. (…) Nous avons approuvé plus de 94000 postes pour le recrutement international, accordant plus de 40000 visas vacances-travail. (…) », a déclaré Michael Wood, ministre de l’immigration en décembre 2022.  

Fin 2022, le taux de chômage est à 3,4%, soit un tout petit peu au-dessus de son plus bas niveau historique. Le gouvernement est particulièrement agressif pour freiner l’inflation. 

auckland vue du ciel

La « liste verte » de l’emploi en Nouvelle-Zélande 

Bonne nouvelle, une liste verte « green list » a été mise en place par le gouvernement. Si votre fonction s’y trouve et que vous possédez les qualifications ou l’expérience requises, vous pourrez peut-être obtenir un permis de séjour immédiatement ou après deux ans de travail en Nouvelle-Zélande. « La green list sera à nouveau examinée à la mi-2023. » précise le ministre de l’immigration. 

Depuis mars 2023, la liste (disponible ici)  a été élargie à : 

  • Superviseurs de construction civile 
  • Monteurs d’installation au gaz 
  • Grutiers qualifiés 
  • Opérateurs de machines civiles 
  • Mécanicien automobile qualifiée 
  • Techniciens qualifiés en télécommunications 
  • Tous les enseignants du secondaire (en plus des spécialisations déjà sur la liste verte) 
  • Enseignants du primaire

Trouver un emploi en Nouvelle Zélande 

Avant de commencer vos recherches, préparez votre CV. Voici quelques conseils pour réaliser un CV néo-zélandais : 

  • Rédigez en anglais bien sûr, utilisez le vocabulaire de votre secteur
  • Il n’est pas étonnant d’avoir un CV de 2 ou 3 pages
  • L’expérience professionnelle et les compétences priment sur les diplômes. Autrement dit, les études, c’est secondaire.
  • Pour vos expériences professionnelles, commencez des plus récentes au plus anciennes. Ne lésinez pas sur le détail (pertinent)
  • Attachez beaucoup d’importance aux références (au moins deux sont conseillées) 

Pour rechercher un emploi, notez que la plupart des emplois requièrent un minimum de niveau d'anglais. Plusieurs outils sont possibles pour vos recherches  : 

  • Les moteurs de recherche en local, comme Seek , Indeed, ou Trademe jobs  
  • Les agences de recrutement comme Adecco, bravo hospitality  
  • Le réseau social LinkedIn, n’oubliez pas de bien mettre à jour votre profil
  • La chambre de commerce et d'industrie française  : 
  • Les sites du gouvernement néo-zélandais ou de l’ambassade  de France 

une femme traverse la rue à Wellington

Les conditions d’entrée en Nouvelle Zélande 

Pas de surprise, pour travailler en Nouvelle Zélande, il faut avoir un visa de travail . 

  • Depuis le 4 juillet 2022, sachez que les employeurs néo-zélandais souhaitant recruter des travailleurs migrants doivent être accrédités par l’immigration. Pour les travailleurs étrangers, cela signifie qu’ils ne pourront plus travailler que pour des entreprises bénéficiant de cette accréditation (nommée AEWV). Cette nouvelle règle supprime les visas existants et impose de nouvelles règles. Seuls les employeurs accrédités peuvent donc inviter un travailleur migrant à demander un visa de travail. 
  • L’alternative est le VVT (Visa Vacances Travail ou Working Holidays Visa) : Il faut avoir entre 18 et 30 ans. Il vous permet de voyager et / ou travailler dans le pays pendant une durée d’un an.  Les conditions sont de prouver avoir un peu d’argent sur un compte bancaire, être en bonne santé, et souscrire à une assurance. Avant la fin de votre visa, vous pouvez chercher du travail et transformer votre voyage en expatriation… 
  • Autre possibilité, un visa pour les Investisseur s (« Active Investor Plus) : l’une des conditions est de conserver 15 Millions NZD en Nouvelle-Zélande pendant une période de 48 mois. 
  • Vous pouvez aussi choisir d’entreprendre en Nouvelle Zélande , via un visa entrepreneur. Mais attention, les critères sont stricts et peu de demandes sont approuvées par l’immigration. 

Que savoir sur le contrat de travail en Nouvelle Zélande 

La législation du travail en Nouvelle-Zélande provient de deux sources : le droit écrit (Lois du Parlement) et le « common law » (principes élaborés par les cours et les tribunaux). La loi la plus importante est celle de 2000 sur les relations du travail. Le contrat de travail est très largement à durée indéterminée. La durée déterminée doit être justifiée. Le contrat comprend généralement les conditions de salaire, de congés, les devoirs et responsabilités, les heures de travail, la santé, la sécurité, la politique de l’entreprise.  

Connaître les conditions de travail en Nouvelle Zélande  

L'horaire de travail habituel est de 40 heures , mais les employeurs et les employés ont toute latitude pour décider d'horaires de travail plus ou moins longs pendant la semaine. Des arrangements sont courants comme les horaires flexibles, le télétravail, le congé parental rémunéré. Le paiement des heures supplémentaires se règlent entre employeurs et employés. Les employés peuvent choisir s'ils veulent se joindre à un syndicat ou pas. Il est interdit de refuser un emploi à cause d'une adhésion ou d'une non-adhésion à un syndicat.

Le 1er avril 2023, le salaire minimum néo-zélandais est passé de 21,20 $NZ à 22,70 $NZ (brut). Cela représente un salaire brut de : 181,60 $ pour une journée de 8 heures ; 908 $ pour une semaine de 40 heures.

Les contributions sociales sont payées par l'employeur. Le paiement des cotisations de sécurité sociale en Nouvelle-Zélande se fait par le biais de l'impôt sur le revenu (PAYE). Si le salarié est membre de KiwiSaver ( un système d’épargne/retraite ), l'employeur doit verser au moins 3 % sur le compte KiwiSaver  Concernant les congés, les employés ont droit à 4 semaines de congés payés par an et les jours fériés. Après six mois d’ancienneté, vous avez également droit à des congés de maladie, de deuil ou encore un congé parental rémunéré. Niveau retraite, le National Superannuation Scheme permet à tous les Néo-Zélandais de prendre leur retraite à 65 ans. Il est important de noter qu’il n'y a pas d'âge légal pour prendre sa retraite et il est illégal de forcer une personne à la retraite à cause de son âge.

Les grands espaces de la Nouvelle Zélande 

La culture professionnelle de la Nouvelle-Zélande 

Il faut savoir que 14% de la population néo-zélandaise s’expatrie, la venue de travailleurs étrangers est donc plutôt bienvenue. Les entreprises de moins de 20 salariés sont très nombreuses, ce qui permet une certaine proximité entre salariés et la hiérarchie peut être horizontale. L’égalité des chances mais surtout la méritocratie sont des valeurs importantes en entreprise en Nouvelle Zélande. Autre élément intéressant, il n'y a pas ou peu de négociation. Toute discussion commence donc à des niveaux réalistes.

Les Néo-zélandais sont aussi réputés comme ouverts et amicaux, appréciant les personnes qui entreprennent et s’entraident.

L’action, le partage d’idées et la prise d’initiative sont toujours bien vues , sans se mettre en avant. Enfin, l’équilibre vie personnelle / vie professionnelle est très important. De fait, privilégiez les horaires d’ouverture et anticipez les rendez-vous. Arrivez à l’heure. Ne travaillez pas plus de 5 jours par semaine sauf exceptions. 

Sur le même sujet

voyage nouvelle zelande travail

Tout savoir sur le KiwiSaver : le système d’épargne néo-zélandais

Vue sur Auckland

S'expatrier en Nouvelle-Zélande : l’importance de bien choisir son KiwiSaver

Capucine Canonne, journaliste spécialisée dans l'expatriation

Flash infos

L'annuaire.

voyage nouvelle zelande travail

Le Paris French Eatery Auckland

Découvrez les candidats aux French Business Awards 2021 :spécialisé dans la cuisine française traditionnelle, les galettes salées et les crêpes sucrées,Le Paris vous transportera tout droit dans un bistro parisien...

New Zealand Services

New Zealand Services

New Zealand Services vous accompagne dans tous vos projets en Nouvelle-Zélande: investissements, immigration, études, séjours linguistiques, entrepreneuriat… Notre équipe vous conseille et vous guide à chaque...

voyage nouvelle zelande travail

La Petite Fourchette Auckland

Inspirée de l'authentique « Boulangerie-Pâtisserie » que l'on retrouve dans n'importe quelle ville de France, La Petite Fourchette contribue à apporter ce petit bout de France à Auckland. Supportez La Petite...

L'agenda

voyage nouvelle zelande travail

Concert : Joie de Vivre, New Zealand Herald Premier Series

Dans le cadre des séries Joie de Vivre organisées par Auckland Philarmonia, la Nouvelle-Zélande aura la chance d’accueillir Louis Schwizgebel, pianiste francophone de renom le jeudi 12 septembre àl’Auckland Town...

voyage nouvelle zelande travail

Les musiciens du groupe Arimatu vous invitent à célébrer l'indépendance du Chili à Auckland!

Venez célébrer l'indépendance du Chili avec le groupe Arimatu le 21 septembre prochain, pour une soirée de musique folklorique chilienne au Tennis Club deKohimarama. Musique live ! Arimatu interprétera des...

© lepetitjournal.com 2024

  • Qui sommes nous

Contacter lepetitjournal

  • Ouvrir une édition
  • Signaler un abus

Nos partenaires

  • CrowdFunding Immobilier

Suivez-nous sur les réseaux

  • Plan du site  -
  • Mentions légales

Working-Holiday-Visas.com

PVT Nouvelle-Zélande

Obtenir son VISA PVT NOUVELLE-ZÉLANDE

La Nouvelle-Zélande est la destination idéale pour toutes celles et ceux qui sont à la recherche d’une nature sauvage et de paysages à couper le souffle !

Petit pays très isolé géographiquement, la Nouvelle-Zélande est composée principalement de deux îles (l’Ile du Nord  et l’Ile du sud). Son plus proche voisin, l’Australie, est à 2 000 km au nord-ouest. Les deux pays ont toujours eu des relations très étroites et ont beaucoup de points communs.

Malgré sa petite superficie, la Nouvelle-Zélande dispose d’une diversité de paysages incroyables et uniques : grandes étendues verdoyantes, lacs et rivières, monts enneigés, fjords, volcans, plages paradisiaques…

La faune et la flore t'étonneront également par leur richesse. Prépare-toi à rencontrer des kiwis, oiseaux nocturnes et emblèmes des Néo-Zélandais, des kéas (perroquets montagnards), des wetas (insectes pouvant aller jusqu’à la taille d’une souris !) et des tuataras (reptiles ancestraux), entre autres.

En partant en Nouvelle-Zélande, tu iras également à la rencontre des peuples Maoris, la population autochtone dont la culture a profondément marqué l’identité du pays.

La meilleure façon de visiter la Nouvelle-Zélande est de posséder ton propre véhicule. C’est un pays idéal à découvrir au volant d'un campervan ! On voyage à son rythme et on profite de la nature. Il est d’ailleurs assez facile de trouver un van d’occasion et de le revendre à la fin du séjour. Pour faire des étapes durant ton roadtrip, n’hésitez pas à t'arrêter dans les campings qui ne sont pas chers et avec d'excellents services.

Les principales villes de la Nouvelle-Zélande sont Auckland (la capitale économique), Christchurch et Wellington (la capitale administrative). En ville, la plupart des voyageurs en Visa Vacances-Travail se retrouvent dans les backpackers (auberges de jeunesse).

Côté boulot, le PVT - Permis Vacances Travail  te permet d’accéder très facilement aux petits jobs saisonniers comme le fruit-picking (cueillette de fruits et de légumes) dans les fermes et vergers ou le travail dans les vignes ou encore en hiver la station de ski à Queenstown offre des opportunités de jobs en tous genres (restauration, hôtellerie, moniteur de ski, garde de jeunes enfants en crèche etc.). N’espère pas gagner beaucoup d’argent, juste de quoi financer ton séjour, mais par contre tu découvriras des régions étonnantes et tu pourras  aller à la rencontre des Néo-Zélandais qui sont réputés pour être très amicaux et accueillants .

En Nouvelle-Zélande tu ne disposes plus de couverture médicale ! Ni par l'assurance sociale de ton pays ni par celle de la Nouvelle-Zélande...

Tarifs médecin à ta charge si tu n'as pas d'assurance : - Le généraliste : env. 50 NZ$/visite (env. 30 €). - Le spécialiste : env. 140 NZ$/visite (env. 83€).

Une assurance PVT / WHV = Pas de frais de ta poche !

Compare les assurances PVT

Comment obtenir ton PVT Nouvelle-Zélande ?

Tout comme son cousin australien, le PVT pour la Nouvelle-Zélande est l'un des plus faciles à obtenir !

Il n'y a pour l'instant aucun quota annuel défini et tu peux postuler à tout moment de l'année.

La procédure se fait entièrement sur internet et la réponse est très rapide (quelques jours).

Visite la Nouvelle-Zélande en campervan :

Photos Nouvelle-Zélande

twitter-icon

Downtown Wellington

Shepherd's chapel, maison hobbit, lake tekapo, mount taranaki, nesselwang allgau, statue mauri, le pvt dans le monde.

> PVT Australie

> PVT Nouvelle-Zélande

> PVT Canada

> PVT Japon

> PVT Argentine

> PVT Corée du Sud

> Les autres destinations

Quel PVT choisir ?

  • PVT pour les Français
  • PVT pour les Belges
  • PVT pour les Canadiens
  • TOUTES LES DESTINATIONS
  • PVT AUSTRALIE
  • PVT NOUVELLE-ZÉLANDE
  • PVT ARGENTINE
  • COMPARATIF ASSURANCES
  • PRÉPARE TON VOYAGE

pvtistes logo

  • Destinations
  • Infos pratiques
  • Offres d’emploi
  • Assurances voyage
  • Nos bons plans
  • Créer un compte
  • S'identifier

voyage nouvelle zelande travail

  • Offres d'emploi
  • Emplois sauvegardés
  • Candidatures envoyées
  • Notifications
  • Visualiser mon CV
  • Mettre à jour mon CV
  • Tableau de bord
  • Mes offres d'emploi
  • Publier une offre d'emploi
  • Candidatures reçues
  • Badge d'employeur vérifié
  • Acheter des crédits
  • Recherche CVthèque
  • Accès à la CVthèque
  • Acheter des crédits CV

voyage nouvelle zelande travail

  • Posez votre question

Trouver un travail en Nouvelle-Zélande

Que recherchez-vous sur pvtistes.net ?

fr

Le PVT est un moyen incroyable de découvrir la Nouvelle-Zélande. Mais pour bien profiter du “V” de votre Visa Vacances Travail , il faut pouvoir financer son voyage.

Dans ce dossier, nous allons donc nous focaliser sur la recherche d’emploi en Nouvelle-Zélande. Car qui dit nouveau pays, dit adaptation. En effet, la culture et le monde du travail en Nouvelle-Zélande sont bien spécifiques. C’est pourquoi, dans ce dossier, nous abordons des points pratiques afin de vous aider au mieux à trouver un travail en Nouvelle-Zélande.

Alors quel type d’emploi chercher ? Est-ce que la Nouvelle-Zélande recrute dans ma branche ? Que faire si mon niveau d’anglais est insuffisant ? Comment chercher et trouver un travail en Nouvelle-Zélande ? Que mettre dans mon CV pour décrocher peut-être l’emploi de mes rêves ? C’est à toutes ces questions (et beaucoup d’autres) que nous vous proposons de répondre dans ce dossier.

Dossier publié initialement en juillet 2014, dernière mise à jour en février 2024.

Règles en matière d’emploi (type d’emplois, salaires, congés…)

Un visa valide.

Cela va probablement de soi mais il peut être utile de rappeler que pour travailler en Nouvelle-Zélande, il vous faudra un visa valide (un PVT, par exemple). C’est aussi le cas pour tout volontariat dans lequel vous recevez quelque chose en contrepartie (logement, repas).

Avant de commencer à travailler, vous devez au préalable obtenir un numéro IRD (Inland Revenu Department). C’est un numéro pour les impôts néo-zélandais qui sont prélevés à la source. Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter ce dossier : Obtenir son IRD number .

Les impôts sont prélevés directement à la source. Si vous ne faites pas de demande d’IRD, vous pourriez être taxé directement à 45% (le plus gros échelon d’imposition). Généralement, vous serez prélevés à 10,5% (si vous gagnez moins de 14 000 dollars par an). Pour en savoir plus sur les impôts en Nouvelle-Zélande, vous pouvez consulter cet autre dossier : Les impôts en Nouvelle-Zélande .

Le salaire minimum

Le 1er avril 2024, le salaire minimum passera à 23,15 $ brut par heure en Nouvelle-Zélande. Le salaire est parfois affiché sur une base annuelle pour des emplois à plein temps.

Pour effectuer une conversion (en salaire annuel ou en salaire horaire par exemple), vous pouvez vous servir de ce convertisseur en ligne : Salary Calculator .

Si vous faites du fruit picking et que vous êtes payé à la pièce (« bin rate »), vous devez au moins être payé au salaire minimum. Si ça n’est pas le cas, vous devez demander à votre employeur de vous payer plus. Autrement, il est en situation d’illégalité. Il en est de même pour les emplois rémunérés à la commission. Vous devez au moins être rémunéré au salaire minimum dans ce cas.

Si vous travaillez à l’occasion de jours fériés, votre employeur doit vous payer 1,5 fois votre salaire régulier. Si un jour férié tombe lors d’une journée de travail et que votre employeur vous donne congé, il doit vous payer votre salaire régulier. Beaucoup de jours fériés tombent un lundi en Nouvelle-Zélande.

En Nouvelle-Zélande, vous êtes, la plupart du temps, payés à la semaine en fonction du nombre d’heures exact que vous avez presté . Toutefois, vous ne recevez pas de bonus si vous travaillez les week-ends, si vous faites des heures supplémentaires, ou si vous travaillez de nuit. Toutes vos heures seront payées au même salaire (sauf si vous travaillez un jour férié, comme mentionné précédemment).

Les types d’emplois que vous pouvez occuper

Le full time job Le full time job est un emploi à plein temps basé sur 30-40 heures de travail rémunérées par semaine. Vous avez, la plupart du temps, des horaires fixes chaque semaine.

Le part time Le part time est un emploi à temps partiel. Il peut être utile, à votre arrivée, de travailler en part time pour obtenir une référence ( referee ) néo-zélandaise tout en vous dégageant suffisamment de temps pour continuer à chercher un autre emploi. Il est possible d’avoir plusieurs emplois en même temps, mais cela nécessite de l’organisation et des horaires plutôt réguliers dans vos deux emplois.

Permanent job Le permanent job est l’équivalent d’un CDI. Il peut être full-time ou part time . Attention, en tant que pvtistes, vous ne pouvez pas accepter de permanent job ! Toutefois, si vous voyez une offre qui vous intéresse, ne laissez pas le terme “permanent job” vous arrêter. Les Néo-Zélandais sont assez flexibles et vous pourriez tout à fait proposer à votre employeur de signer un contrat “fixed term” (voir ci-dessous) de 12 mois (ou moins) si vous le souhaitez !

Contract job / Temporary job / Fixed term job

Ces emplois sont temporaires et peuvent durer quelques jours, semaines ou mois. C’est souvent le cas des emplois obtenus via les agences de placement et des emplois de saisonniers (en fruit picking ou dans le tourisme, par exemple). Des contrats temporaires permettent de vous faire plusieurs expériences. Entre deux contrats, vous avez l’occasion de partir découvrir d’autres régions du pays !

Casual job / Vacation

On pourrait traduire ce terme par « extra ». Vos horaires ne sont pas toujours les mêmes, ils évoluent au fil des semaines et il n’y a pas d’heures garanties d’emploi.

Attention, casual work (ou casual position ) ne signifie pas que vous travaillerez peu d’heures. Parfois, vous pouvez aisément faire l’équivalent d’un full time , voire plus. Les contrats en casual sont particulièrement courants dans la restauration. On vous appelle quand on a besoin de vous. Mais si tous les employés d’une entreprise ont ce type de contrat, on peut vous appeler souvent !

Peut-on travailler comme freelance en Nouvelle-Zélande avec un PVT ?

Oui ! Et pour en savoir plus, on vous invite à consulter notre dossier complet sur le travail en freelance en Nouvelle-Zélande .

Elles sont fixées avec votre employeur au moment de l’embauche. Néanmoins, un minimum de base doit être respecté :

  • 10 minutes rémunérées si vous travaillez de 2 à 4 heures dans la journée.
  • 10 minutes rémunérées et 30 minutes non rémunérées (pause déjeuner) si vous travaillez entre 4 et 6 heures pendant la journée.
  • 2 fois 10 minutes rémunérées et 30 minutes non rémunérées (pause déjeuner) si vous travaillez entre 6 et 8 heures dans la journée.

A mesure que vous travaillez, vous cumulez généralement des congés payés. En Nouvelle-Zélande, les travailleurs à plein temps ont droit à 4 semaines de congés payés par an.

Les congés payés sont parfois inclus dans la paie, en particulier si vous êtes en emploi de type casual ou Temporary . Dans ce cas, 8 % de vos revenus bruts sont ajoutés comme « Casual Holiday Pay ». Si vos congés payés sont versés avec votre salaire, les vacances que vous prenez ne seront pas rémunérées.

Si vous occupez un emploi en full time ou en part time , vous accumulez normalement des congés payés qu’il vous est possible de prendre à peu près quand vous le souhaitez. Vous devez bien sûr en parler à votre employeur et le prévenir. Notez que la période entre la mi-décembre et la mi-janvier correspond à la période de vacances principale en Nouvelle-Zélande. Si vous êtes l’une des dernières personnes arrivées dans l’entreprise, il sera difficile pour vous d’obtenir des congés pendant cette période.

Si vous ne prenez pas de congé d’ici la fin de votre contrat, vous recevrez le montant cumulé en même temps que votre dernier salaire.

voyage nouvelle zelande travail

L'équipe de pvtistes.net vous informe depuis 2005 sur tous les aspects d'un PVT et vous accompagne dans vos projets de mobilité à l'international ! The pvtistes.net team has been around since 2005, guiding thousands of young adults through all aspects of their working holiday!

Connectez-vous pour pouvoir voter.

Les Guides de pvtistes.net

Nos guides des pvtistes sont disponibles gratuitement au format PDF, pour que vous puissiez les consulter à tout moment, même sans connexion !

voyage nouvelle zelande travail

Les articles importants sur le PVT Nouvelle-Zélande

(101) commentaires.

voyage nouvelle zelande travail

{{like.username}}

Chargement...

Articles recommandés

voyage nouvelle zelande travail

Nouvelle-Zélande à la carte

Visa Nouvelle-Zélande

Tous les visas pour la nouvelle-zélande.

Différents visas pour la Nouvelle-Zélande sont possibles selon le motif et la durée de votre voyage. Les formalités pour les séjours de moins de 3 mois changent à compter du 1er octobre 2019, et les passagers devront être en possession d’un NZeTA (New Zealand Electronic Travel Authority).

Au-delà de 3 mois, il faut faire une demande de visa qui dépendra avant tout du but de votre séjour. Nous avons repris les principaux visas que la Nouvelle-Zélande propose aux voyageurs.

Visa Nouvelle-Zélande

NZeTA - Visa tourisme de moins de 3 mois

Pour toutes les arrivées en Nouvelle Zélande à compter du 1er octobre 2019, les passagers devront être en possession d’un NZeTA, qu’il sera possible d’obtenir soit via une application mobile, avec un coût de 9 NZD, soit sur le site internet de l’immigration néo-zélandaise au prix de 12 NZD.


Une taxe IVL de 35 NZD (International Visitor Conservation an Tourism Levy) devra être réglée en même temps sur le même formulaire.

Télécharger des informations sur la NZeTA en français PDF 160KB

voyage nouvelle zelande travail

Faire une demande de NZeTA

La demande de NZeTA doit obligatoirement être faite avant votre départ. Elle devra avoir été acceptée par l’immigration pour être valide. Nous vous conseillons de la faire au moins une semaine avant la date de votre départ. La demande de NZeTA s’effectue via une application mobile ou directement sur le site de l’immigration.

voyage nouvelle zelande travail

Télécharger les questions de la demande de NZeTA en français PDF 2MB

voyage nouvelle zelande travail

La taxe IVL

L’IVL (International Visitor Conservation an Tourism Levy) est une taxe obligatoire de protection de l’environnement et du développement touristique pour toutes les personnes qui effectuent un voyage en Nouvelle-Zélande. Le montant de l’IVL est de 35 NZD, facturé en même temps que le NZeTA. L’objectif de cette taxe est de participer au développement du tourisme en Nouvelle-Zélande à travers le financement de projets de protection de l’environnement, et de l’amélioration des infrastructures touristiques. Plus d’info sur le site du gouvernement

Visa Nouvelle-Zélande

Visitor Visa

Si vous souhaitez faire un séjour de plus de 3 mois vous devrez obtenir un visa de longue durée, ou “Visitor Visa”, avant votre arrivée. Les informations et documents à fournir varient selon la durée totale du séjour. Un formulaire complet, disponible sur le site des services de l’immigration , est à envoyer à l’ambassade de Londres. Le coût est d’environ 150 € ou CHF

Nouvelle-Zélande

Working Holiday Visa ou PVT

Le Working Holiday Visa (WHV), ou Permis-Vacances-Travail, est un visa longue durée d’un an destiné aux Français ou Belges (pas pour la Suisse) âgés de 18 à 30 ans, qui veulent découvrir la Nouvelle-Zélande et travailler. Le WHV a une validité d’un an et permet d’avoir un emploi sur une courte période, d’étudier à l’université, mais surtout de visiter la Nouvelle-Zélande et de découvrir sa culture. Le coût est de 455 NZ$. (lire la suite)

voyage nouvelle zelande travail

Visa étudiant

Le Student Visa est un visa destiné à étudier à plein-temps pendant plus de 3 mois en Nouvelle-Zélande. Il est ouvert à tout le monde : il n’impose aucune limite d’âge. Ce visa permet en outre de travailler jusqu’à 20 heures par semaine.

  (lire la suite)

Visa Nouvelle-Zélande

Les autres visas néo-zélandais

La politique migratoire de la Nouvelle-Zélande est très favorable aux personnes qui souhaitent venir s’installer dans le pays. Afin d’encourager les arrivées, Les autorités néo-zélandaises ont prévu une très grande quantité de visas, qui permettent de travailler temporairement, sur une longue durée, et même de façon permanente.

Vous trouverez toutes les possibilités sur le site de l’immigration 

Vie Pratique

  • Le dollar néo-zélandais
  • FAQ Nouvelle-Zélande
  • Saisons et Climat
  • Quand Partir ?
  • Traversée île du Nord - île du Sud

Découvertes

  • Le Top 10 de la Nouvelle-Zélande
  • Carte de Nouvelle-Zélande
  • La France en Nouvelle-Zélande
  • Les Maoris en Nouvelle-Zélande
  • La Terre du Milieu
  • Le sport en Nouvelle-Zélande
  • Activités nautiques
  • Les animaux
  • La ligne de changement de date

Comment travailler en Nouvelle Zélande ?

La Nouvelle Zélande attire chaque année des milliers de français. Au-delà du cadre de vie idyllique, l’archipel peut compter sur un faible taux de chômage (3,5%) et un marché du travail actif. Certes, les salaires sont globalement plus bas qu’en France, mais il n’est pas compliqué de trouver un emploi. Vous souhaitez partir travailler en Nouvelle Zélande ? Mode(s) d’emploi vous donne quelques conseils bien pratiques !

voyage nouvelle zelande travail

Qui n’a pas rêvé de travailler au pays des hakas, du rugby et du Seigneur des Anneaux ? La Nouvelle-Zélande offre, en plus, un cadre enchanteur et un marché de l’emploi relativement ouvert pour les Français qui veulent y tenter leur chance. En route chez les Kiwis !

Quel visa demander ?

Pour travailler en Nouvelle Zélande, plusieurs solutions s’offrent à vous :

Pour les jeunes âgés de 18 à 30 ans, le visa Vacance-Travail peut être un bon choix. Pour obtenir ce passeport, il faut cependant remplir certaines conditions : ne pas avoir de personnes à charge, ne jamais avoir bénéficié de ce visa auparavant, avoir un pécule minimum de 2500 euros, posséder une assurance santé, répondre aux critères de santé, et avoir pour projet de visiter le pays (trouver un emploi étant un objectif secondaire). La demande de visa peut se faire sur internet , et la procédure totale coûte une centaine d’euros. Depuis quelques années, il n’y a plus de quota pour l’obtention de ce type de visa en Nouvelle Zélande. La durée du vacance-travail est de 12 mois, renouvelable 3 mois.

Pour les jeunes diplômés (Bac +3 minimum), âgés de 20 à 35 ans, et désireux de trouver un emploi qualifié en Nouvelle Zélande, il est possible de demander un Silver Fern Job Search Visa , sans avoir d’offre d’embauche au préalable. Attention toutefois, il faut avoir un pécule de 2750 Euros, et seuls 300 visas de ce type sont délivrés chaque année. La durée du visa n’est que de 9 mois. Passé ce délai, si vous n’avez pas trouvé d’emploi qualifié dans votre branche, vous ne pourrez plus rester en Nouvelle Zélande. Au contraire, si vous avez décroché LE job, il vous faudra demander un Silver Fern Practical Experience Visa . Ce visa permet de rester travailler sur l’archipel deux années supplémentaires.

Pour les étudiants étrangers ayant terminé leur cycle d’étude en Nouvelle Zélande, il leur est possible de prolonger le séjour pour acquérir une expérience professionnelle. Dans ce cas, le visa adéquat est le visa de travail post-diplôme permettant de travailler 12 mois en Nouvelle Zélande, quel que soit l’employeur, ou entre deux et trois ans si le visa est lié à un employeur en particulier.

L’ Essential Skills Work Visa est réservé aux étrangers bénéficiant d’une promesse d’embauche de la part d’une entreprise justifiant son impossibilité à trouver un candidat local. Ce visa est valable 5 ans, mais il est lié à l’employeur.

Enfin, le work to residence visa s’adresse aux étrangers souhaitant immigrer en Nouvelle Zélande, et qui peuvent faire valoir un talent très recherché (sport de haut niveau, ingénierie, recherche, restauration, etc.).

Trouver un emploi

Pour décrocher un visa de travail, il est parfois nécessaire d’avoir déjà une promesse d’embauche. Pas toujours facile depuis la France. Les sites d’offres d’emploi peuvent être d’une grande aide dans ce cas de figure. Il existe deux principaux sites :

  • trademe.com

Ainsi qu’une dizaine de sites secondaires :

Viser le marché caché

Sur place, de nombreuses offres d’emploi sont diffusées dans les journaux locaux, dans les auberges de jeunesses (Backpackers), les commerces, etc. Il faut aussi prendre en compte le fait que les trois quarts des postes ne font pas l’objet d’une diffusion publique : c’est le marché caché. Il ne faut donc pas hésiter à envoyer son CV un peu partout.

Le CV est un point à ne pas négliger. Il doit être rédigé en anglais et détaillé les expériences passées, les références des anciens employeurs et les compétences linguistiques.

  • Comment rédiger un CV en anglais ?
  • Comment rédiger un mail de candidature en anglais ?

Autres formalités

Pour exercer un emploi en Nouvelle Zélande, il est nécessaire d’obtenir un numéro IRD auprès de l’Inland Revenue (administration fiscale). Sans ce numéro, l’employeur ne pourra pas vous verser de salaire. Cette démarche peut se faire sur internet. D’autre part, dans le cas d’un visa Vacances-Travail, il est obligatoire de contracter une assurance de santé privée. Dans le cadre d’un séjour supérieur à 24 mois, il faut aussi pouvoir fournir un certificat médical et une radio des poumons.

Pour aller plus loin

Le site des services de l’immigration Le site du ministère de la santé Le site de l’ambassade de France en Nouvelle Zélande Formulaire pour le numéro IRD

Bonjour, Mon ami est en Nouvelle Zélande, il est dirigeant d ‘entreprise.

Je suis une artisan d ‘art, j ‘aimerais peu être bien m ‘installer en NZ ensuite ouvrir un lieu d ‘expositions créations d ‘art . Quel type de visa dois je demander ? Merci

Bonjour, Peut-on parler du TIN ? (Foreign Tax Identification number) Pour ouvrir un compte bancaire en NZ chez ANZ par exemple, on me demande ce numéro. A quoi ça sert ?

Nous avons besoin de vous !

Nous lançons une enquête pour mieux vous connaître et améliorer notre média.

La newsletter des recruteurs

En cliquant sur « S'inscrire », vous acceptez les CGU et la politique de traitement de vos données personnelles.

Vous êtes recruteur ?

Articles connexes, vie de rh : « le jour où j’ai pris un aller simple pour l’irlande », expatriation : comment envoyer vos collaborateurs à l’étranger , entreprises : comment accompagner vos collaborateurs partis travailler à l’étranger, recrutement : comment attirer des talents internationaux , marché du travail 2023 : quelle place pour les seniors , entreprises : quels leviers pour viser le plein-emploi , thèmes populaires.

logo tourdumondiste

Types de visas

Visitor visa, working holiday visa, voyager avec un mineur, billet de continuation, traveller declaration, contacts utiles.

Les visas pour la Nouvelle Zélande, guide de voyage en ligne

NZeTA, Visitor Visa et Working Holiday Visa pour la Nouvelle-Zélande

  • par Geoffrey
  • 6 février 2024

P our entrer en Nouvelle-Zélande, votre passeport doit être valable encore trois mois après la fin de votre séjour. Vous devez avoir un billet de continuation ( Voir notre dossier Voyager sans billet de retour ). Vous devez obligatoirement obtenir un NZeTA ou un visa avant votre arrivée dans le pays.

Les différents types de visas pour la Nouvelle-Zélande.

Nationalités

Depuis le 1er octobre 2019, les Français, les Belges, les Suisses et les Canadiens doivent obligatoirement obtenir une New Zealand Electronic Travel Authorization (NZeTA) pour entrer en Nouvelle-Zélande. Cette autorisation s’applique également aux visiteurs en transit dans les aéroports du pays ou les passagers des bateaux de croisières.

La NZeTA coûte 17 $NZ (9,50 €). En même temps que l’NZeTA, vous devrez payer la taxe de séjour, l’International Visitor Conservation and Tourism Levy (IVL) d’un montant de 35 $NZ (20 €).

La NZeTA est valable 2 ans et permet de multiples entrées dans le pays. Avec cette autorisation, vous pouvez rester 90 jours en Nouvelle-Zélande.

Restrictions

Cette autorisation ne permet pas de travailler en Nouvelle-Zélande.

Comment faire la demande

Elle s’effectue depuis le site officiel de l’immigration néo-zélandaise ou depuis les applis iOS et Android . Attention aux faux sites que vous pourrez trouver sur Google. Si un site ne comporte une extension .gov, ce n’est pas un site officiel. Vous devez faire votre demande d’NZeTA avant votre arrivée. Même si le délai de réponse peut être de moins de dix minutes, prévoyez toujours plus de 72 heures de marge pour faire votre démarche. Vous devrez télécharger votre passeport et remplir un questionnaire d’éligibilité. Ensuite, vous payerez en ligne par carte bancaire.

Vous pouvez suivre l’avancement de votre demande via le site officiel. Si celle-ci est approuvée, il suffit de l’imprimer. À votre arrivée, vous devrez remplir une fiche de renseignement et les douaniers pourront vous demander votre NZeTA. Il faut aussi pouvoir justifier de moyens suffisants durant votre séjour à hauteur de 1 000 $NZ (555 €) par mois et par personne ou 400 $NZ (222 €) si vous avez déjà payé votre logement ou êtes logé gratuitement. Enfin, les visiteurs sont invités à signer une promesse de respect de la nature et des hommes : le Tiaki.

Prolongation

Vous ne pouvez pas prolonger votre NZeTA. Vous devrez donc quitter le pays avant la fin de la période de 90 jours. Cependant, avant l’expiration de l’autorisation, vous pouvez sortir du territoire (vers l’Australie par exemple) pour refaire une demande d’NZeTA et ainsi acquérir le droit de rester à nouveau 90 jours. Vous ne pouvez voyager en Nouvelle-Zélande que 6 mois sur une période de 12 mois.

Dans quel cas ?

Si vous prévoyez de voyager plus de 90 jours en Nouvelle-Zélande, vous devez faire une demande de Visitor Visa.

Le Visitor Visa coûte 211 $NZ (118 €).

Vous pouvez rester jusqu’à 9 mois sur place sur une période de 18 mois. Ce visa simple entrée peut être modifié en entrées multiples si vous en faites la demande justifiée.

Comment faire la demande ?

La démarche se fait depuis le site de l’immigration néo-zélandaise. Les conditions sont les mêmes que pour l’NZeTA sauf qu’on vous demande, en plus, de télécharger une photo d’identité (deux photos pour la demande papier). Le délai de réponse est d’environ un mois. Vous pouvez également faire votre demande par courrier.

Vous pouvez demander 3 mois supplémentaires pour rester 12 mois au total sur une période de 24 mois si :

  • vous avez besoin de plus de temps pour terminer votre itinéraire.
  • vous ne pouvez pas quitter la Nouvelle-Zélande pour un raison indépendante de votre volonté.
  • vous avez fait une demande de résidence pour la première fois.

Le Working Holiday Visa (WHV) ou Programme Vacances Travail (PVT) permet aux jeunes Français, Belges et Canadiens de venir seuls en Nouvelle-Zélande pour voyager et/ou travailler sans être invités par une entreprise. Il permet des entrées multiples.

Le PVT coûte 420 $NZ (235 €).

Après l’obtention, vous avez 12 mois pour activer votre PVT. Celui-ci s’active dès votre passage à l’immigration néo-zélandaise. À partir de ce moment, vous pouvez séjourner les 12 prochains mois en Nouvelle-Zélande.

Vous devez remplir les conditions suivantes pour demander un PVT :

Être âgé de 18 ans révolus à 30 ans lors du dépôt de la demande.

Ne jamais avoir bénéficié d’un PVT pour la Nouvelle-Zélande auparavant.

Être titulaire d’un passeport en cours de validité et justifier de la possession d’un billet retour (ou des moyens financiers équivalents).

Justifier de 4 200 $NZ (2 300 €) pour subvenir à vos besoins au début de votre séjour.

Avoir souscrit une assurance couvrant les risques maladie, maternité, invalidité et hospitalisation pour la durée de votre séjour.

Comment faire la demande ?

La demande se fait en ligne . Vous obtenez une réponse en moins d’un mois par mail (généralement deux semaines). Si votre demande est accordée, vous recevez un eVisa par email.

Vous pouvez prolonger votre PVT de 3 mois à condition d’être sur le sol néo-zélandais au moment de votre demande et d’avoir travaillé au moins trois mois dans une entreprise d’horticulture ou de viticulture.

Pour sortir du territoire et voyager en Nouvelle-Zélande, un mineur accompagné par au moins un de ses parents doit présenter :

  • un passeport valide durant toute la durée du séjour (au moins 6 mois après la date d’entrée dans le pays)
  • un document prouvant que vous êtes bien le père ou la mère de l’enfant et titulaire de l’autorité parentale (actes d’état-civil, livret de famille)

Si vous voyagez avec votre enfant et que vous êtes séparé ou divorcé, l’autorisation de sortie de territoire signée par l’autre parent ne sera nécessaire que si une interdiction de sortie du territoire a été déclarée auprès de la préfecture ou de la sous-préfecture.

Si l’enfant voyage sans aucun de ses parents ou titulaire de l’autorité parentale, il doit présenter :

  • le formulaire d’autorisation de sortie de territoire signé par l’un des parents titulaires de l’autorité parentale
  • la photocopie de la pièce d’identité du parent signataire

Formulaire D'autorisation De Sortie De Territoire

En route pour l’aventure !

Lors d’un voyage à l’étranger, si vous n’avez pas de billet aller-retour, vous devez parfois prouver que vous quitterez bien le pays. (Voir notre dossier Voyager sans billet de retour ) En Nouvelle-Zélande, vous devez disposer d’un billet de sortie ou à destination d’un pays tiers.

Nous avons réalisé une grande enquête du 24 au 27 février 2020, auprès de 596 voyageurs ayant visité la Nouvelle-Zélande. Nous leur avons demandé s’ils avaient dû montrer un billet de continuation et, si oui, à quel moment.

70 % des répondants n’ont jamais eu à fournir de preuve de sortie du pays.

Parmi les 30 % des voyageurs qui ont dû présenter un billet de continuation :

67 % ont dû le présenter à la compagnie aérienne avant l’embarquement vers la Nouvelle-Zélande

31 % ont dû le présenter à la douane de l’aéroport à l’arrivée

2 % ont dû le présenter à un agent des douanes en arrivant à un port maritime

Tous les passagers entrant en Nouvelle-Zélande ont la possibilité de remplir une Déclaration du voyageur en Nouvelle-Zélande au lieu d’une carte d’arrivée pour passagers en version papier. Les passagers en transit international n’ont pas besoin de remplir de déclaration.

Pour protéger la biodiversité, les lois bio sanitaires de la Nouvelle-Zélande sont très strictes. On vous recommande de les respecter rigoureusement pour éviter l’amende de 400 $NZ (220 €) ou l’interdiction d’entrée sur le territoire. Il est interdit d’introduire des fruits, des légumes frais, de la viande, des plantes, des produits laitiers…

De manière générale, déclarez à l’arrivée tous les produits représentant un risque sanitaire. Par exemple, pensez à déclarer les chaussures de randonnée et le matériel de camping.

Voir la liste complète des produits interdits

Ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris

Adresse : 103, rue de Grenelle, 75007 Paris. Métro : Varenne ou Solférino

Téléphone : 01 45 01 43 43

Email : embassy.nz.fr @gmail.com

Horaires d’ouvertures : le lundi de 10h à 13h et de 14h à 17h, et du mardi au vendredi de 9h à 13h et de 14h à 17h.

Ambassade de Nouvelle-Zélande à Bruxelles

Adresse : avenue des Nerviens, 9-31, Bruxelles 1040

Téléphone : (32-2) 512-10-40

Email : [email protected]

Horaires d’ouvertures : du lundi au vendredi de 9h à 13h et de 14h à 17h

Consulat de Nouvelle-Zélande

Adresse : 2 Chemin des Fins, 1218 Le Grand-Saconnex, Genève

Téléphone : (022) 929-03-50

Email : [email protected]

Horaires d’ouvertures : du lundi au vendredi de 8h30 à 13h et de 14h à 17h

Haut Commissariat de la Nouvelle-Zélande

Adresse : 150 Elgin St, Suite 1401, Ottawa K2P 1L4

Téléphone : (613) 238-5991

Email : [email protected]

Horaires d’ouvertures : du lundi au vendredi de 8h30 à 16h30

Consulat Général de la Nouvelle-Zélande

Adresse : 1050 West Pender Street, Suite 2250, Vancouver, Colombie-Britannique V6E 3S7

Téléphone : (604) 684-7388

Email : [email protected]

Horaires d’ouvertures : du lundi au vendredi de 9h30 à 13h. Sur rendez-vous uniquement

Autres dossiers sur la Nouvelle-Zélande

Que faire

Louer un monospace, un 4×4, un van ou un camping-car

Comparez les prix des locations en Nouvelle-Zélande avec Motorhome Republic .

  • Aller au menu
  • Aller au menu mobile
  • Aller au contenu
  • Emplois et concours Emplois et concours
  • Salle de presse Salle de presse
  • Archives et traités Archives et traités

voyage nouvelle zelande travail

  • Augmenter la taille de la police
  • Réduire la taille de la police
  • Ajouter notre fil RSS

Nouvelle-Zélande

  • Partager sur Twitter
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur Linkedin

Aidez-nous à améliorer encore notre service en répondant à notre enquête. Accéder au questionnaire

Merci d'avoir répondu à notre enquête.

Dernière mise à jour le : 28 mars 2024 - Information toujours valide le : 19 septembre 2024

Dernière Minute

Sécurité, entrée / séjour, santé, infos utiles, voyages d’affaires.

Ariane

Date de publication : 28 mars 2024

Urgence Attentat – Vigilance renforcée pour les ressortissants français à l’étranger

Publié le 28/03/2024

Compte tenu du relèvement, sur l’ensemble du territoire national, de la posture du plan Vigipirate au niveau Urgence attentat, une vigilance renforcée est recommandée à l’ensemble de nos ressortissants résidant ou de passage à l’étranger.

Risques encourus et recommandations associées

Si le niveau de criminalité de droit commun reste faible en Nouvelle-Zélande, les précautions d’usage doivent toutefois être observées, la délinquance prenant de l’ampleur dans les grandes villes (présence de gangs à Wellington, Christchurch, et surtout Auckland) ainsi qu’à proximité des sites touristiques et des plages.

Le risque de vols dans les véhicules (notamment les camping-cars et « camper vans ») existe sur l’ensemble du territoire. Il est donc fortement déconseillé de laisser ses effets personnels (argent, passeports, documents, etc.) dans un véhicule sans surveillance.

Il est rappelé aux voyageurs, et en particulier aux randonneurs et aux campeurs, qu’une vigilance accrue doit être accordée durant les étapes nocturnes où des vols ou attaques peuvent survenir. Le camping sauvage doit être évité. La réglementation variant selon les régions, il est recommandé de bien s’informer sur les lieux autorisés, sous peine de recevoir une amende. Il est prudent de camper dans les centres agréés ou près d’un lieu habité, de bien verrouiller son véhicule et de garder son téléphone près de soi pour appeler des secours en cas de nécessité. Pour de plus amples informations, consulter la page dédiée à ce sujet sur le site du gouvernement néo-zélandais

Risque sismique

La Nouvelle-Zélande est située sur deux lignes de faille, dans une zone de forte activité sismique enregistrant environ 20 000 secousses par an. Pour plus d’informations sur la conduite à tenir en cas de séisme, consulter la fiche réflexe Séismes . Les sites internet (en anglais) GeoNet et Get ready/Earthquakes peuvent également être consultés pour se maintenir informé.

Les recommandations de base sont les suivantes :

  • s’éloigner des fenêtres, des murs extérieurs, et de tout meuble, tableau ou luminaire susceptible de se renverser ou se décrocher ;
  • s’abriter sous une table solide ou tout meuble résistant, ou rester debout sous un encadrement de porte.
  • s’efforcer d’atteindre un espace libre, loin des arbres, poteaux électriques, murs ou bâtiments ;
  • dans la voiture, s’arrêter au bord de la route et attendre à l’intérieur la fin des secousses.

Il est recommandé de stocker eau, piles, allumettes, lampes électriques, trousse médicale de première urgence, radio, bougies, vivres et quelques médicaments (la liste est disponible à la dernière page de chaque annuaire téléphonique du pays).

Dans tous les cas, conserver son calme, suivre les instructions données et attendre les secours, si nécessaire. Il faut savoir que tout séisme important est susceptible d’être suivi d’une série de secousses secondaires.

Si un tremblement de terre devait avoir lieu lors d’un séjour touristique, il est recommandé aux ressortissants français de prendre immédiatement contact avec leurs familles ou leurs proches afin de les rassurer sur leur sort ou, le cas échéant, en cas de problème de communication avec l’extérieur, avec l’ambassade de France à Wellington.

Conséquence de l’activité sismique importante dans la région, les côtes de la Nouvelle Zélande font régulièrement l’objet d’alertes aux tsunamis. Il est important de se renseigner sur le dispositif mis en place localement lorsque l’on séjourne dans des zones à risque, afin de pouvoir évacuer rapidement en cas de besoin, et se réfugier en hauteur. Pour plus d’informations sur la conduite à tenir en cas de tsunami, consulter le site internet (en anglais) Get ready/Tsunamis

Activité volcanique

L’attention des randonneurs est particulièrement attirée sur les précautions à prendre avant de se rendre sur deux sites volcaniques du pays situés dans l’île du Nord et dont l’activité peut reprendre à tout moment :

  • le mont Ruapehu et le mont Tongariro ainsi que tout le parc du même nom ;
  • l’île volcanique de White Island située dans la baie d’Abondance (Bay of Plenty).

Il est fortement conseillé aux visiteurs de se renseigner sur l’accessibilité de ces deux sites auprès des bureaux d’information avant de s’y rendre.

La Nouvelle-Zélande est sujette à des variations météorologiques rapides et imprévisibles (chute des températures, tempêtes de vent, forte pluie ou neige), quelles que soient la saison et la région, et en particulier en montagne. Les intempéries sont susceptibles d’affecter les infrastructures et les réseaux de communication, ainsi que la navigation. Il est recommandé de prêter une attention particulière à la météo, d’adapter ses déplacements et de s’équiper en conséquence pour y faire face, notamment en se munissant, en toutes circonstances, de vêtements chauds et imperméables. Il convient de suivre les informations et consignes de la protection civile néo-zélandaise et des services météorologiques sur les sites (en anglais) du National Emergency Management Agency et de Metservice (en anglais).

Zones de vigilance

Illust:224.4 ko, 608x705

Activités sportives à risque

La Nouvelle-Zélande est connue pour sa pratique des sports d’aventure et sports extrêmes (saut à l’élastique, parachute, rafting, jetboating, ascension sur glacier, quad, spéléologie, ponts suspendus, etc.). L’attention des voyageurs est attirée sur la condition physique et la prudence requises dans l’exercice de telles activités, surtout en cas de pratique non encadrée. Il est recommandé de vérifier que son assurance couvre également ces pratiques sportives.

Formalités d’entrée

Mesures liées à la covid-19.

Il n’y a plus de mesures restrictives liées à la Covid-19 actuellement en vigueur. Les voyageurs sont cependant invités à consulter régulièrement les sites internet (en anglais) de Immigration New Zealand et du ministère néo-zélandais de la Santé .

Les ressortissants français peuvent visiter la Nouvelle-Zélande sans visa pour une période inférieure à 90 jours. Tout visiteur doit par contre disposer de son passeport en cours de validité, d’une autorisation de voyage électronique (NZeTA), d’un billet d’avion de retour ou à destination d’un pays tiers et pouvoir prouver qu’il disposera sur place de moyens suffisants pour son séjour.

Pour les autres types de demandes, il convient de se renseigner sur le site de Immigration New Zealand .

Autorisation de voyage électronique (NzeTA)

Tous les visiteurs doivent présenter la preuve de l’obtention de la NZeTA (autorisation de voyage électronique et taxe touristique pour la préservation de la nature valable pour deux ans). Consulter le site de Immigration New Zealand .

Les escales internationales à l’aéroport d’Auckland sont autorisées pour des périodes inférieures à 24h. Pour les passagers en transit, l’obtention d’une autorisation NZeTA est également nécessaire. Pour plus de précisions, consulter la page dédiée sur le site de l’ Immigration

Enfin pour toute information complémentaire, prendre l’attache de l’ ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris .

Programme Vacances-Travail (PVT)

Les autorités néo-zélandaises autorisent les ressortissants français âgés de 18 à 30 ans à séjourner en Nouvelle-Zélande à titre individuel dans le but d’y passer des vacances, en ayant la possibilité d’y exercer un emploi pour compléter les moyens financiers dont ils disposent. Elles leur délivrent à cet effet un visa vacances-travail à entrées multiples d’une durée de validité d’un an.

À l’arrivée en Nouvelle-Zélande, les bénéficiaires du programme se voient délivrer par le service de l’immigration une autorisation de travail valable 12 mois. Ils sont tenus de se conformer à la législation locale du travail.

La demande de visa s’effectue en ligne via le site des services de l’immigration néo-zélandaise (en anglais).

Pour toute information complémentaire, il convient de consulter le site de l’ ambassade de France en Nouvelle-Zélande et de prendre l’attache de l’ ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris .

Règlementation douanière

Certaines précautions et gestes simples permettent d’éviter des complications douanières.

La loi néo-zélandaise en matière de règles douanières et biosanitaires est intransigeante. L’introduction dans le pays de produits prohibés est étroitement contrôlée. Il est donc recommandé de se conformer strictement à la règlementation en vigueur. Tout manquement peut être sévèrement sanctionné, à commencer par un refus d’entrée sur le territoire.

Contrôle biosanitaire

Une attention scrupuleuse est accordée aux menaces extérieures pouvant affecter l’écosystème (bactéries, insectes ou autres petits animaux) par les services de contrôle aux frontières. L’approche « bio-sécurité » est d’une extrême rigueur lors des contrôles effectués à l’aéroport, une amende de 400 dollars néo-zélandais pouvant être infligée sur le champ en cas d’infraction (même pour un fruit), voire beaucoup plus si l’intention de frauder est établie.

Des déclarations frauduleuses ou incorrectes à la douane néo-zélandaise peuvent faire l’objet d’amendes immédiatement exigées (allant jusqu’à 400 dollars néo-zélandais).

De manière générale :

  • lorsque l’on prépare ses bagages, penser à bien respecter la liste des produits interdits et ceux qui doivent être déclarés (voir ci-après) ;
  • en transit, si l’on pense acheter un souvenir ou des denrées durant l’escale, s’assurer que ces produits sont bien autorisés sur le territoire néo-zélandais ;
  • à la descente de l’avion, penser à ne rien emmener de ce qui était à bord (boissons, fruits, pâtisseries) ;
  • aux douanes, faire de son mieux pour faciliter le travail des douaniers.

Sont notamment strictement interdits les produits suivants :

  • viandes aviaires (poulet, dinde, canard) et dérivés (foie gras frais), œufs ;
  • viande de porc et charcuterie (saucisson, pâté, saucisse etc.) ;
  • fruits frais, légumes et champignons ;
  • miel et produits dérivés, pollens, cire et résine végétale ;
  • animaux vivants (dont chiens et chats), animaux de compagnie, oiseaux, œufs d’oiseaux, poissons et insectes ;
  • fleurs et feuillages, colliers de fleurs et assimilés ;
  • emballage en paille ou autres herbes ;
  • corail, ivoire (incluant les instruments de musique), peau de serpent, produits à base de cuir de crocodile ou d’os de baleine (dont colliers, bijoux, artefacts ou ornements) ;
  • coquillages et carapaces de tortues.

Ces produits seront systématiquement détruits ou, si le voyageur accepte de payer le service, réexpédiés chez lui.

Produits devant être obligatoirement déclarés à l’arrivée :

  • viandes (autres qu’aviaires), poissons et crustacés ;
  • produits à base d’œufs (pâtes, pâtisseries) ;
  • fruits et légumes secs ;
  • pâtes et riz ;
  • noix, graines, céréales, herbes et épices ;
  • tous produits végétaux ou à base de plantes ;
  • produits à base de fleurs séchées ;
  • produits rembourrés avec des graines/céréales, de la paille ;
  • produits à base de bambou, canne à sucre, noix de coco, paille ;
  • tous produits contenant du bois ou à base de bois (incluant les instruments de musique) ;
  • tous produits contenant ou à base de plumes, pelage, poils, peaux et os ;
  • tous trophées de chasse ou animaux empaillés ;
  • vêtements et chaussures ayant été en contact avec des animaux (dont animaux dits « de la ferme »), du matériel pour animaux, du matériel vétérinaire ou des cages à animaux ;
  • tous matériels et vêtements de camping, de trekking et de marche ayant déjà été utilisés à la campagne ou à la montagne.
  • les marchandises transportées à des fins professionnelles ou commerciales
  • les marchandises transportées pour le compte d’une autre personne
  • au-delà d’une certaine quantité : le tabac, l’alcool, les médicaments, les devises en liquide

Après inspection, ces produits seront retournés au voyageur, pour la grande majorité. Les autres seront traités à ses dépens puis seront rendus et, dans des cas plus rares, seront détruits ou, si le voyageur accepte de payer le service, réexpédiés chez lui.

Ces listes de produits ne sont pas exhaustives. Pour de plus amples informations sur les conditions d’accès au territoire et sur les douanes néo-zélandaises, se reporter au site du ministère néo-zélandais des Industries primaires ou au site des services de la douane néo-zélandaise .

Contrôle des appareils électroniques

Les agents chargés du contrôle aux frontières peuvent inspecter les appareils électroniques (ordinateurs, tablettes ou smartphones) des passagers à l’arrivée sur le territoire néo-zélandais et demander aux intéressés de fournir les codes d’accès, mots de passe ou clefs de chiffrement permettant l’inspection de ces appareils s’ils ont des « motifs raisonnables de soupçonner une infraction ».

Toute personne qui refuserait de fournir les codes permettant l’accès aux données des appareils qu’il détient s’expose à une amende de 5 000 dollars néo-zélandais et à se voir interdire l’entrée sur le territoire.

Les voyageurs sont invités à prendre toute précaution pour protéger leurs données confidentielles.

Un séjour à l’étranger implique pour tout voyageur de prendre certaines précautions en matière de santé. La rubrique ci-dessous mentionne les indications essentielles. Elles ne dispensent toutefois pas le voyageur d’une consultation chez son médecin traitant et/ou dans un centre hospitalier, suffisamment longtemps avant la date de départ pour permettre le rappel des vaccins.

Avant le départ

Frais d’hospitalisation et dépenses de santé.

Afin de faire face aux frais d’hospitalisation et aux dépenses de santé parfois très élevés à l’étranger, il est vivement recommandé de disposer d’un contrat d’assistance ou d’une assurance permettant de couvrir tous les frais médicaux (dont chirurgie et hospitalisation) et de rapatriement sanitaire, au risque de ne pas avoir accès aux soins, y compris en cas d’urgence vitale. Ces frais ne pourront en aucun cas être pris en charge par l’ambassade de France sur place.

La liste des hôpitaux dans les principales villes du pays est disponible sur le site du ministère néo-zélandais de la Santé (en anglais). En cas d’urgence, appeler le 111.

Indemnisation des dommages corporels en cas d’accident

La Nouvelle-Zélande dispose d’un système de couverture universelle en cas d’accident nommé ACC, qui, le cas échéant, garantit une prise en charge des dommages corporels à toutes les personnes résidant ou voyageant sur le territoire. L’ACC ne remplace en aucun cas une assurance voyage, qui reste nécessaire pour prendre en charge un éventuel rapatriement, les frais médicaux liés aux maladies (…). Par ailleurs, dans certains cas, l’assurance voyage est obligatoire pour souscrire à un visa. Pour plus d’informations sur le dispositif, consulter le site de l’ Accident Compensation Corporation

Recommandations pour sa santé

Consulter si besoin son médecin traitant ou un centre de vaccinations internationales pour faire une évaluation de son état de santé et bénéficier de recommandations sanitaires, notamment sur les vaccinations.

Consulter éventuellement son dentiste avant son départ.

Constituer sa pharmacie personnelle en conséquence et n’emporter que les médicaments nécessaires ; ne jamais consommer des médicaments achetés dans la rue (risque de contrefaçons). Pour plus d’informations, consulter la fiche Informations pratiques .

Vaccinations

Il est recommandé d’être à jour des vaccinations diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) et rougeole-oreillons-rubéole (ROR).

Risques sanitaires

Plus d’informations et recommandations sur la fiche Coronavirus et sur la page Risques sanitaires / Coronavirus.

Infection par le virus VIH – IST

Concernant les infections sexuellement transmissibles (IST), il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque.

Des cas d’hospitalisation ou d’overdose liés à la consommation de cannabis synthétique sont signalés par les autorités sanitaires locales. Pour rappel, la consommation de stupéfiants est totalement interdite en Nouvelle-Zélande.

Quelques règles simples

  • Se tenir à distance des cadavres d’animaux, des animaux et de leurs déjections ;
  • Ne pas approcher les animaux errants et les chiens (risque de morsure et de rage) ; ne pas caresser les animaux rencontrés ;
  • Veiller à sa sécurité routière (port de la ceinture de sécurité, port du casque en deux-roues).

Pour se préserver des contaminations digestives ou de contact :

  • Se laver les mains régulièrement avec des solutions de lavage hydro-alcooliques, surtout avant et après les repas ou le passage aux toilettes ;
  • Veiller à la qualité des aliments, et surtout à leur bonne cuisson.
  • Institut Pasteur
  • Santé publique France
  • Organisation mondiale de la santé

Conduite en Nouvelle-Zélande

Le permis de conduire français est reconnu pendant un an, à condition qu’il soit accompagné du permis international ou d’une traduction effectuée par un traducteur agrée par la New Zealand Transport Agency .

Au-delà d’un an, il est impératif de se soumettre aux épreuves du code néo-zélandais.

Il convient d’être en mesure de présenter son permis national accompagné du permis international (à solliciter par courrier sur Service-public.fr ) ou, à défaut, d’une traduction officielle en anglais. La location d’un véhicule n’est ouverte qu’aux conducteurs âgés de plus de 21 ans. Il est essentiel d’anticiper les réservations en haute saison (décembre-janvier).

L’assurance automobile n’étant pas obligatoire, il est fortement conseillé de s’assurer « tous risques ». En cas de location, vérifier que le contrat autorise l’emprunt des voies non goudronnées. Si ce n’est pas le cas, éviter scrupuleusement toutes les routes empierrées et chemins de terre sur lesquels le voyageur ne serait pas assuré. Pour les conseils pratiques, se référer à la rubrique Les règles de la sécurité routière en Nouvelle-Zélande du site de l’ambassade de France en Nouvelle-Zélande.

Sur la route

La conduite est à gauche et, sauf indication contraire, la priorité à droite. Cela nécessite une vigilance accrue pour les conducteurs français. Il convient d’être prudent lorsque l’on débute la conduite ou pendant les moments de fatigue ou d’inattention particulièrement favorables à un relâchement de vigilance et à un retour de réflexes liés à la conduite à droite.

Les routes de type nationales sont en très bon état mais souvent sinueuses. En zone rurale, l’état des routes peut varier du bitume au gravier et aux pistes. Le port de la ceinture de sécurité est obligatoire en tout temps et pour tous les occupants d’un véhicule. Le taux d’alcoolémie toléré au volant est de 80 mg/100 ml. La limitation de vitesse est de 100 km/h sur route, 60 ou 70 km/h à l’approche des agglomérations, et 50 km/h en ville.

Il est recommandé d’éviter de conduire la nuit.

L’alcoolémie au volant et les excès de vitesse sont lourdement sanctionnés (fortes amendes, retrait de permis, etc.). Les contrôles sont fréquents.

Responsabilité pénale

Des poursuites judiciaires peuvent être engagées à l’encontre d’un conducteur dont la responsabilité est mise en cause en cas d’accident, notamment s’il y a eu des blessés graves ou des décès. Les peines prononcées pour mise en danger de la vie d’autrui peuvent aller d’une forte amende à la prison ferme.

Réseaux et communications

Le taux de couverture mobile en Nouvelle Zélande est bon. Il reste encore des zones blanches notamment dans les parcs nationaux et les zones reculées. Le cas échéant, il est judicieux de prévenir la famille et les proches pour qu’ils ne s’inquiètent pas inutilement. Trois opérateurs principaux se partagent le marché : Vodaphone, Spark (opérateur historique) et 2 Degrees. Plus de la moitié de la population a aujourd’hui accès au réseau 4G. La fibre se développe et devient de plus en plus disponible dans les hôtels des grandes villes. La Wifi est disponible dans tous les grands hôtels et aéroports, et plusieurs centres villes disposent de zones de wifi gratuite.

Législation locale

À l’arrivée en Nouvelle-Zélande, toute personne suspectée de consommer des stupéfiants, même occasionnellement, peut se voir refuser l’accès sur le territoire. L’usage de stupéfiants (y compris de cannabis) est interdit et tout contrevenant est passible d’amendes conséquentes et d’expulsion, généralement précédée d’une période de détention.

Infractions

Les petits larcins ou les infractions à la réglementation du séjour des étrangers peuvent également être sanctionnées par des amendes importantes et par une expulsion du pays.

Alcoolémie

La législation contre l’alcoolémie au volant est plus sévère qu’en France et elle est appliquée avec rigueur.

Visas d’affaires

Les ressortissants français n’ont pas besoin de visa pour entrer en Nouvelle-Zélande pour un séjour de moins de 90 jours consécutifs. Il suffit pour le voyageur d’affaires de disposer à son entrée dans le pays d’un billet retour et de la NZeTA.

Pour un séjour supérieur à quatre-vingt-dix jours consécutifs ou des séjours totalisant plus de 180 jours par an, quel que soit le motif, la sollicitation d’un visa de travail auprès de l’ Immigration New Zealand est nécessaire.

Données économiques

Consulter la fiche repères économiques Nouvelle-Zélande .

Contacts utiles

Service économique.

Les Services économiques auprès des ambassades sont des services extérieurs de la Direction générale du Trésor. Ils ont pour missions l’analyse et la veille économique et financière, sur une base macroéconomique, l’animation des relations économiques, financières et commerciales bilatérales avec les pays de leur compétence, et le soutien public au développement international des entreprises. La Nouvelle Zélande dépend du Service économique de Canberra.

Service économique de Canberra

Ambassade de France en Australie 6 Perth Avenue, Yarralumla (Canberra) ACT 2600 Tél. : +61 2 6216 0116 Télécopie : +61 2 6216 0114 Courriel : canberra chez dgtresor.gouv.fr Site Internet

Business France

Opérateur public national au service de l’internationalisation de l’économie française, Business France valorise et promeut l’attractivité de l’offre de la France, de ses entreprises et de ses territoires.

La Nouvelle-Zélande relève du bureau de Sydney :

Bureau Business France Australie 31 Market Street - St Martins Tower 35th floor Sydney NSW 2000 - Australia Tel : +61 2 9264 2711 Courriel : sydney chez businessfrance.fr

Les Chambres de commerce et d’industrie (CCI) françaises à l’international sont des associations indépendantes de droit local qui regroupent des entreprises françaises et étrangères. Elles constituent un réseau mondial de relations et de contacts d’affaires de plus de 32 000 entreprises françaises et étrangères dans 83 pays.

Chambre de commerce et d’industrie France Nouvelle-Zélande (FNZCCI) Auckland Chamber of Commerce Level 3, 100 Mayoral Drive PO Box 47 Auckland 1010 Tél : +64 9 302 99 32 Courriel : info chez fnzcci.org.nz ou fnzcci chez gmail.com Site Internet

La Nouvelle-Zélande et le FMI

« J’avais l’impression que c’était pour les autres » : dans la nouvelle vie d’Océane, ex-infirmière devenue digital nomad

Ex-infirmière en réanimation, Océane, 26 ans, est sortie éreintée de la crise sanitaire liée au Covid-19. Elle s’est lancée depuis un an et demi dans une nouvelle aventure dans le numérique, tout en voyageant à travers le monde.

Océane a traversé cinq pays et exercé au moins autant de métiers : elle est devenue « slasheuse sur les routes » et nomade digital. Le Parisien-DA/DR

Notre série « Dans la nouvelle vie de » recueille la parole d'hommes et de femmes qui ont décidé, un jour, de donner un nouveau cap à leur existence, de changer de métier, de pays... Ils nous expliquent cette envie qui finit par devenir réalité, et racontent leur nouveau bonheur.

Elle ne nous aurait jamais répondu il y a deux ans. À l’époque, Océane était « beaucoup plus réservée », pas à l’aise quand il s’agissait de parler d’elle-même. Surtout pas dans les médias. Mais la jeune femme de 26 ans n’est plus la même. En quelques mois, elle a traversé cinq pays, et exercé au moins autant de métiers : elle est devenue «  slasheuse ( une personne qui cumule plusieurs emplois ) sur les routes » et digital nomad.

Une nouvelle vie qui lui a apporté beaucoup de maturité et de confiance en elle. « J’ai appris à m’affirmer à force de me vendre pour trouver de nouveaux contrats et des clients avec qui travailler », sourit-elle, derrière l’écran de son ordinateur.

Au moment où nous échangeons, Océane se trouve en Polynésie. Elle y a débarqué avec son petit ami au printemps, après avoir passé trois mois en Australie. La jeune femme y a trouvé un emploi d’infirmière – son métier de formation – en renfort pour les Jeux olympiques .

Une mission qu’elle va cumuler avec son activité principale de rédactrice web et d’assistante virtuelle, qu’elle exerce en tant qu’autoentrepreneuse. De quoi charger un peu plus son emploi du temps, avec des semaines de plus de 60 heures. « Mais c’est moi qui l’ai décidé, explique-t-elle. J’aime beaucoup cette possibilité d’être polyvalente, d’avoir plusieurs vies en une. »

« J’avais envie de me challenger »

Ce choix, Océane l’a fait il y a deux ans. Infirmière en réanimation dans un hôpital à Sion, en Suisse, elle sort éreintée de la crise sanitaire . « Ce qui était dur, c’est la façon dont on parlait de nous dans certains médias : on accusait les soignants de ne pas prendre assez de précaution et de contribuer à propager l’épidémie », se souvient la jeune femme, qui confie aussi avoir eu du mal avec l’accompagnement des familles.

Océane, qui a la passion des voyages, a envie d’aventure. Elle a aussi le sentiment d’avoir « sauté une étape » en commençant à travailler dès l’âge de 20 ans, sans avoir vraiment connu les joies – et les galères – de la vie étudiante. « Je me suis dit que c’était le moment de découvrir autre chose, retrace-t-elle. C’était aussi une manière pour moi de partir à ma rencontre, de savoir ce que j’aimais et ce dont j’avais vraiment envie. J’avais envie de me challenger et de changer de vie. »

Elle ne veut pas se précipiter pour autant. « J’ai des amis qui sont partis sur un coup de tête, et qui se sont épuisés ou qui n’ont pas profité parce qu’ils ont voulu aller trop vite. Je n’avais pas envie de ça », indique Océane, qui veut aussi laisser le temps à ses parents de se faire à l’idée de son départ. La jeune femme commence par faire un « grand ménage » dans sa vie : elle démissionne de son CDI, vend sa voiture et se sépare de son petit ami de l’époque, qui ne veut pas quitter la Suisse. « À la fin, il ne me restait que trois cartons de vêtements », s’amuse-t-elle.

Il faut ensuite choisir une destination. Ce sera la Nouvelle-Zélande, pour les paysages et l’anglais, que la jeune femme compte apprendre avec son nouveau compagnon. Le pays présente aussi l’avantage d’être souple dans l’attribution des visas « vacances-travail ».

Nouvelle-Zélande, Thaïlande, Malaisie…

Une fois sur place, Océane et son compagnon passent les premiers mois à voyager à bord d’un van. La jeune femme en profite pour faire son « introspection », et décide de se former aux métiers du numérique pour pouvoir travailler à distance, tout en continuant à voyager. Un rêve qu’elle caressait depuis un moment, sans savoir comment se lancer. « J’avais l’impression que c’était pour les autres, je ne pouvais pas imaginer que j’y arriverai », affirme-t-elle.

Son autoentreprise créée, Océane trouve rapidement ses premiers clients en France. Avec eux, la jeune femme met tout de suite les choses au clair : « Je leur précise bien que je suis à l’étranger et que mon but est d’être libre et de continuer à bouger d’un pays à l’autre si j’en ai envie ». Ce qu’elle fait. Après un an en Nouvelle-Zélande, Océane et son petit ami s’envolent pour l’Asie. Ils y passent deux mois, d’abord en Thaïlande, puis en Malaisie. « On avait envie de faire une pause et d’aller à un endroit plus avantageux financièrement », avant d’enchaîner avec un nouveau road trip en Australie, indique-t-elle.

En Asie, Océane peut vivre « complètement » de son activité numérique. Mais elle a parfois plus de mal à joindre les deux bouts en Nouvelle-Zélande et en Australie, où la vie est plus chère. Quand la demande baisse, la jeune femme doit prendre un petit boulot en plus. Des expériences qui lui permettent aussi de rencontrer de nouvelles têtes.

« Sinon il y a des moments où tu es devant ton ordinateur toute la journée, sans voir personne », assure-t-elle. Avec son petit ami, la jeune femme ne s’interdit pas non plus de reprendre la route quand ils se sentent coincés. Ils avaient prévu de rester au moins un an en Australie. Fatigués de leur road trip et déçus de l’expérience, ils n’y resteront finalement que trois mois, avant de gagner la Polynésie.

« Ralentir le rythme »

Après plus d’un an et demi à courir sur les routes du monde entier, Océane ressent désormais le besoin de « ralentir le rythme ». Si elle affirme « adorer » sa nouvelle vie, et la liberté qui l’accompagne, la jeune femme se dit aussi « fatiguée » par ses contraintes : « dans chaque nouveau pays, il faut se refaire un cercle d’amis, qui deviennent comme une seconde famille quand tu es si loin de chez toi, explique-t-elle. Ça commence à me peser de créer ces nouvelles relations, de s’investir, pour tout lâcher au bout de quelques mois. Là, on avait besoin de se poser un peu. »

Mais l’envie de voyager, « peut-être plus lentement », est toujours là. Océane et son petit ami n’envisagent pas de rentrer en France pour le moment. Et quand on lui demande si elle se voit reprendre un mode de vie sédentaire un jour, la jeune femme secoue vigoureusement la tête. « Peut-être que dans deux ans j’en aurai marre et que je ne rêverai que de ça, mais pour l’instant, non. Il y a trop de choses à voir dans le monde pour s’arrêter ! »

voyage nouvelle zelande travail

Notre séléction

Les restes d'un bipeur explosé, après l'attaque mardi visant des membres du Hezbollah au Liban, qui a tué 12 personnes et blessé 2 800 autres. AFP

IMAGES

  1. Vacances-travail en Nouvelle-Zélande : Un guide unique pour 2023

    voyage nouvelle zelande travail

  2. Travailler en Nouvelle-Zélande via le Programme Vacances-Travail

    voyage nouvelle zelande travail

  3. Le PVT en Nouvelle-Zélande : Tout savoir sur le Visa Vacances Travail

    voyage nouvelle zelande travail

  4. Partir travailler en Nouvelle-Zélande avec le Programme Vacances

    voyage nouvelle zelande travail

  5. À la recherche d'un travail en Nouvelle-Zélande • Kowala

    voyage nouvelle zelande travail

  6. Travailler en Nouvelle-Zélande (PVT) : Combien j'ai économisé

    voyage nouvelle zelande travail

VIDEO

  1. nz

  2. Road trip en Nouvelle-Zélande pendant un PVT !

  3. Live n°18 : Compte-rendu du voyage d'un vainqueur du Hobbit Fan Contest

  4. nouvelle Zélande : 1er conditions pour avoir un contrat de travail dans un ferme

  5. Voyagez En Nouvelle-Zélande

  6. Voyage en Nouvelle Zélande : Episode 18 : Mes activités à la ferme

COMMENTS

  1. Travailler en Nouvelle-Zélande

    Pour travailler en Nouvelle-Zélande, il est indispensable de réaliser certaines formalités. À part le passeport, il faut un visa de travail. Il en existe 3 types différents dans ce pays : le skilled migration visa ; le work visa ; le Visa Vacances Travail (VVT).

  2. Tutoriel PVT Nouvelle-Zélande 2024 : obtenir un Visa Vacances-Travail

    Le Visa Vacances Travail, aussi connu sous le nom de Working Holiday Visa, est un visa qui vous permet de passer un an en Nouvelle Zélande (jusqu'à 23 mois, si vous êtes canadien) avec le droit d'y voyager et d'y travailler.

  3. Programme Vacances-Travail (PVT)

    Nouvelle-Zélande : Convention relative au programme vacances-travail entre la France et la Nouvelle-Zélande signée à Paris le 2 juin 1999 et entrée en vigueur le 6 avril 2000 (décret n°2000-400 paru au Journal officiel du 12 mai 2000).

  4. Tout savoir sur le PVT (Working Holiday Visa) Nouvelle-Zélande

    Pour travailler en Nouvelle-Zélande, vous devez obligatoirement obtenir un visa de travail au préalable : un Visa Vacances-Travail (qui vous autorise à travailler pour différents employeurs au cours de votre séjour) ou un visa de travail classique, qui nécessite que vous trouviez un employeur prêt à vous embaucher (les démarches sont ...

  5. Le Programme Vacances-Travail en Nouvelle-Zélande, comment ça

    A leur arrivée à l'aéroport en Nouvelle-Zélande, les autorités compétentes chargées de l'immigration octroient aux ressortissants français titulaires d'un visa vacances-travail une autorisation de travail valable 12 mois.

  6. Faire un PVT en Nouvelle-Zélande : le guide étape par étape

    Même avec la prolongation, sachez que vous ne pouvez travailler que pendant 12 mois. Si votre demande est approuvée, vous recevrez une lettre de visa Vacances-Travail pour la Nouvelle-Zélande. Pour les français la durée proposée n'est que de 12 mois. Faut il souscrire à une Assurance voyage pour faire un PVT en Nouvelle-Zélande ?

  7. PVT Nouvelle-Zélande : infos, pré-requis et procédure complète

    La Nouvelle-Zélande est le pays idéal pour partir dans le cadre du Programme Vacances Travail, mais pour que cette expérience se déroule au mieux, une bonne dose d'organisation est nécessaire. Vous souhaitez visiter la Nouvelle-Zélande pour toute une année en étant autorisé à travailler sur place ?

  8. Le Permis Vacances Travail (PVT) en Nouvelle-ZÉlande

    Avec votre permis vacances travail partez pour une aventure exceptionnelle d'un an en Nouvelle-Zélande ! la formule du PVT est proposée aux ressortissants français de 18 à 30 ans qui souhaitent visiter la Nouvelle-Zélande tout en effectuant de petits jobs.

  9. Partir Vivre en Nouvelle-Zélande : S'installer et travailler [Guide]

    C'est pour ça que le Programme Vacances Travail (PVT) (ou Working Holiday Visa "WHV" en anglais) est le compromis idéal pour voir si la vie en Nouvelle-Zélande pourrait te plaire. Le WHV t'offre l'opportunité de partir vivre au pays des Kiwis pendant une année entière.

  10. Working Holiday Visa Nouvelle-Zelande

    Le Working Holiday Visa, ou Permis-Vacances-Travail (PVT) est un visa longue durée d'un an (prolongeable 3 mois sous conditions). Il est destiné à des personnes âgées de 18 à 30 ans, qui veulent découvrir la Nouvelle-Zélande et travailler.

  11. Le PVT un visa pour travailler en Nouvelle-Zélande un an

    Le PVT un visa pour travailler en Nouvelle-Zélande un an. Vous avez entre 18 et 30 ans et une irrésistible envie d'aller voyager et travailler en Nouvelle-Zélande ? Le PVT (Programme ou Permis Vacances Travail, aussi appellé Visa Vacances Travail ou Working-Holiday Visa (WHV)) est fait pour vous.

  12. Travailler en Nouvelle-Zélande (PVT) : Combien j'ai économisé

    Travailler en Nouvelle-Zélande [Guide complet] : Combien j'ai économisé en 5 mois ? Tout savoir sur le travail en Nouvelle-Zélande : marché de l'emploi, meilleurs secteurs et mon récit d'expérience.

  13. Les visas de travail en Nouvelle-Zélande

    Il existe de nombreuses possibilités de visa de travail en Nouvelle-Zélande, et vous devez déterminer quel visa correspond le mieux à vos compétences, ainsi qu'à l'objectif et à la durée de votre séjour.

  14. Travailler en Nouvelle Zélande, le guide complet

    Lepetitjournal.com vous propose un guide complet de ce qu'il faut savoir pour travailler en Nouvelle Zélande en 2023. Comment décrocher un emploi en Nouvelle Zélande ? Comment obtenir...

  15. PVT Nouvelle-Zélande

    PVT Nouvelle-Zélande - Programme Vacances Travail. COVID-19 / PVT OUVERT. PVT Nouvelle-Zélande. "Le Working holiday Visa est un visa temporaire destiné aux jeunes qui souhaitent visiter la Nouvelle-Zélande pendant 1 an tout en y travaillant pour financer ce voyage.

  16. Trouver un travail en Nouvelle-Zélande

    C'est pourquoi, dans ce dossier, nous abordons des points pratiques afin de vous aider au mieux à trouver un travail en Nouvelle-Zélande. Alors quel type d'emploi chercher ? Est-ce que la Nouvelle-Zélande recrute dans ma branche ? Que faire si mon niveau d'anglais est insuffisant ? Comment chercher et trouver un travail en ...

  17. Obtenir un visa de travail en Nouvelle-Zélande en 2023

    Le Permis Vacances Travail (PVT) ou Working Holiday Visa (WHV) est une excellente opportunité pour voyager et / ou travailler en Nouvelle-Zélande pendant un an. Facilement accessible aux jeunes français entre 18 à 30 ans, ce visa permet de rester sur le territoire néo-zélandais pendant 12 mois.

  18. Visa Vacances Travail

    Objectifs : améliorer son anglais, voyager et travailler en Nouvelle-Zélande pendant un an. Cette formule Travail-vacances, le Working Holiday Visa, est proposée aux ressortissants français âgés de 18 à 30 ans révolus.

  19. Visa Nouvelle-Zélande

    Le Working Holiday Visa (WHV), ou Permis-Vacances-Travail, est un visa longue durée d'un an destiné aux Français ou Belges (pas pour la Suisse) âgés de 18 à 30 ans, qui veulent découvrir la Nouvelle-Zélande et travailler.

  20. Comment travailler en Nouvelle Zélande

    Pour travailler en Nouvelle Zélande, plusieurs solutions s'offrent à vous : Pour les jeunes âgés de 18 à 30 ans, le visa Vacance-Travail peut être un bon choix.

  21. NZetA, Visitor Visa & Working Holiday Visa Nouvelle-Zélande

    Durée. La NZeTA est valable 2 ans et permet de multiples entrées dans le pays. Avec cette autorisation, vous pouvez rester 90 jours en Nouvelle-Zélande. Restrictions. Cette autorisation ne permet pas de travailler en Nouvelle-Zélande. Comment faire la demande.

  22. Nouvelle-Zélande

    La Nouvelle-Zélande est située sur deux lignes de faille, dans une zone de forte activité sismique enregistrant environ 20 000 secousses par an. Pour plus d'informations sur la conduite à tenir en cas de séisme, consulter la fiche réflexe Séismes.

  23. « J'avais l'impression que c'était pour les autres » : dans la nouvelle

    Ce sera la Nouvelle-Zélande, pour les paysages et l'anglais, que la jeune femme compte apprendre avec son nouveau compagnon. Le pays présente aussi l'avantage d'être souple dans l ...